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Culture Historique

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descriptionCulture Historique - Page 3 EmptyHistoire

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Histoire Alternative 1 :

La Première comme la Seconde Guerre mondiale sont des périodes que je m’efforce de connaître le mieux possible car elles correspondent à une époque pas si lointaine où les évènements auraient pu, si ils avaient été autres, changé le cours de notre Histoire de façon fondamentale. Avec des « si » on refait souvent l’histoire, je n’ai pour ma part aucune nostalgie du passé, mais j’aime à imaginer, tout en me référant à des évènements précis, ce qu’il ce serait passé si….

La Fin d’un Bel Eté :

- En août 1914 l’Allemagne envahit le Belgique et ses armées déferlent sur le nord de la France. Les forces Françaises sont obligées de refluer.
- Les Russes attaquent la Prusse-Orientale (Bataille de Gumbinnen) le 19 août 1914, et grâce aux attaques combinées des généraux Ranainkampf et Samsonov encerclent et anéantissent la 8° Armée Allemande à la Bataille de Tannenberg. Königsberg tombe le 30/08/14 après des combats de rues épouvantables.
- Du 04 au 22/02/15, lors de la Bataille des Lacs Mazurie, les Russes font plus de 100 000 prisonniers Allemands et s’emparent de la ville de Dantzig le 04/03/15 où le général Samsonov fait une entrée triomphale. La forteresse de Thorn tombe le 10/04/15 après un intense bombardement d’artillerie.
- Suite aux deux Batailles de Lemberg les Russes pénètrent en Galice Orientale et ferment les cols du Massif des Carpates. La 9° Armée Allemande partie de Cracovie pour menacer Varsovie est encerclée dans les boucles de la Vistule en Haute-Silésie.
- Face à la menace Russe à l’Est, les généraux Prussiens font reculer leurs troupes à l’ouest, et se replient sur l’Aisne, où ils se retranchent pour supporter les attaques Anglo-Françaises en champagne, la Somme, en Lorraine et en Flandres durant toute l’année 1915. Il n’y a pas de course à la mer. Les positions restent figées.
- Du 1 au 3/05/15 les Austro-hongrois repoussent les attaques russes lors des Batailles de Tarnov et de Gorlitz en Galicie et Bukovine.
- Le 01/07/15 les Armées Russes sous le commandement du général Samsonov lancent une grande offensive sur la Warthe. La ville de Posen est prise le 05/08/15, Glogau tombe le 18/08/15 et Breslau est assiégé le 25/08/15. La ville-forteresse est bombardée et conquise le 18/09/15 après une résistance acharnée de la part des Allemands.

- Depuis le saillant de Verdun, les Français lancent une grande offensive entre le 21/02/16 et le 21/07/16 qui débouchent sur la libération des villes de Montmédy et de Longwy. Cette Bataille restera dans les mémoires sous le nom de « l’Enfer de la Meuse », où des milliers d’hommes se seront entretués pour des gains territoriaux journaliers dérisoires. Saignée à blanc, malgré le roulement des troupes, l’Armée Française ne peut prolonger son offensive sur le Luxembourg pour culbuter les forces du Kaiser comme le souhaite le général Pétain.
- Les Anglais profitent des offensives Françaises pour lancer des attaques depuis Cassel, La Bassée, Lorette et Arras. Face à l’effondrement de l’immense front de l’Est les Allemands sont obligés de transférer des hommes depuis l’ouest pour consolider leurs positions orientales et espérer pouvoir contre-attaquer. Ils ne laissent face aux anglo-français qu’un cordon défensif de troupes retranchées.
- Depuis l’Est jusqu’à l’ouest l’Empire Prussien est pris dans un étau et subit de plein fouet le blocus maritime économique Anglais. Les Armées de Guillaume II ne peuvent tenir des fronts élargis et se replient sur l’Escaut d’une part et l’Oder à l’Est.
- 1916, Constantinople et la flotte Turque sont incendiées et coulées par des opérations conjointes de l’Armée de Terre Russe depuis la Roumanie et de la Marine du Tsar partie d’Odessa via la Bulgarie, qui reste neutre.
- Entre les 4 et 6 août 1916 le général Brousilov lance une énorme offensive sur la Galicie et s’empare de Cracovie et de Limanova. Les pertes Autrichiennes sont considérables. La Bataille de Tarnopol, du 6 au 19/09/16 finit par démoraliser la population Hongroise qui revendique son indépendance. Les Allemands tentent de reprendre la Bukovine mais sont repoussés et des mutineries éclatent sur tous les fronts.

- En 1917, les Russes contrôlent la Thrace et les détroits. Les Anglo-Français font le blocus de la Grèce et la force à entrer dans la guerre. Depuis son territoire ils lancent de puissantes attaques contre les Autrichiens qui refluent de Serbie en Croatie.
- A partir d’avril 1917 des grèves et des révoltes urbaines éclatent en Allemagne contre la poursuite de la guerre.
- Le 3/05/17, la Hongrie fait sécession sous l’égide du Comte Károlyi. A Prague les Tchèques s’insurgent contre la Monarchie Danubienne. 6/07/17, révolution en Allemagne : départ de Guillaume II pour l’exile, et armistice sur tous les fronts.
- 24/10/17, Révolution Spartakiste à Berlin : combats de rues. L’Empire sombre dans la guerre civile entre Révolutionnaires Socialistes et Militaires Conservateurs.
- Lors de la conférence de Versailles le 2/11/17, les Alliés octroient le droit de sécession pour tous les peuples de l’ancien Empire Allemand. Bien que cela remette en cause leur propre politique impériale les Russes signent les accords le 5/01/18.

- Le 6/01/18, prétextant son désaccord avec le traité de Versailles, le Tsar Nicolas II en profite pour abdiquer comme il en avait depuis longtemps envi. Son fils étant hémophile, Nicolas II choisit le Prince Lvov pour lui succéder. Celui-ci proclame l’avènement d’un Empire Libéral avec une Constitution Fédérale. Kerenski devient son Premier Ministre. Dans le même temps l’Autriche-Hongrie se disloque.

- Jusqu’en 1920, plusieurs Pays accèdent à l’indépendance : la Bohême-Moravie, la Slovaquie, la Galicie, la Hongrie et la Yougoslavie sous la protection de la France. La Pologne devient indépendante avec un fort partenariat Russe. L’Alsace et la Moselle reviennent à la France, alors que la Prusse est annexée à la Russie.
- Face à l’anarchie qui déchire l’Allemagne, la Bavière proclame son indépendance le 18/01/19, et le Palatinat et le Wurtemberg se place sous protection Française dans une zone démilitarisée. Certains politiques Anglais y voient une résurgence de l’ancienne Confédération Germanique Napoléonienne. La France annexe la Sarre après référendum.
- L’Empire Ottoman est partagé entre les vainqueurs. Ce qu’il reste de la Turquie est placé sous protection (protectorat) Russe. Les Anglais s’emparent du Moyen-Orient et de l’Arabie. La France occupe la Syrie et le Liban. L’Italie annexe plusieurs territoires Autrichiens et place Vienne sous sa protection face aux revendications de l’Etat Communiste Allemand.

- La Pologne, en 1921, se voit ajouter les Provinces de Haute-Silésie, de Poznanie et de Prusse Occidentale après une guerre larvée contre des corps-Francs Germaniques.
- Suivant les recommandations du Président Américain Wilson, un Cordon Sanitaire est créé entre la France et l’Allemagne :
1) les Länders de Bade et du Wurtemberg sont rattachés à la Bavière, qui est dirigée par Anton Drexler depuis 1919. Son bras droit, Adolf Hitler, en devient le Président en 1923. Ce dernier milite pour un rattachement de la Bavière à l’Autriche, Son Pays d’origine. Cela sera chose faite en 1938 lors de l’Anschluss, après la Conférence de Munich, où les Alliés Anglo-Français voient d’un bon œil la formation d’un état Allemand qui fait face à la RDA. Hitler dirigera l’ « Ostmark » jusqu’en 1964, année de sa mort. Le « Guide » de la République Fédérale d’Allemagne bien connu pour son homosexualité notoire aura réussi à se faire élire sans interruption. Il aura été un ardent mécène de la Culture Germanique mais son antisémitisme prononcé aura fait s’exiler quelques personnalités scientifiques et artistiques vers la France, les USA ou l’Australie.
2) Les Provinces de Rhénanie et du Palatinat, rattachées au Luxembourg et à la Belgique formeront l’Etat de Bourgogne-Lotharingie sous l’autorité du Roi des Belges et de la protection Anglo-Française.



La guerre d’Espagne verra s’affronter sur le sol Hispanique les Italiens Fascistes, les Allemands Communistes de RDA aidés par les Brigades Internationales. La guerre va durer de 1936 à 1943 et servir, tour à tour, de champ de bataille à toutes les Nations Européennes.

A partir de 1925, le Japon et les USA s’affrontent en un conflit maritime qui va s’étendre à l’ensemble du Pacifique. En 1936, les Japonais attaquent la Chine divisée en un ensemble d’états où règnent les « Seigneurs de la Guerre ». En 1939, les Russes attaqueront, depuis la Mongolie, les Nippons en Manchourie, pour reprendre le Contrôle de Port-Arthur. La pleine puissance de l’Industrie Américaine battra son plein dès 1927. Il n’y aura pas de crise économique planétaire : la guerre favorisant le plein essor du Capitalisme Mondial.

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Histoire Alternative 2 :

C’est en Septembre….

- L’empire Allemand envahit la Belgique et déferle sur la France. Du 6 au 9/09/14 la Bataille de la Marne fait rage : les Allemands ne battent pas en retraite, et Joffre inerte à son GQG ne trouve pas de manœuvre pour contrecarrer l’avance ennemi. La parade des « Taxis de la Marne » épuise inutilement les réserves Françaises, et les régiments Anglais sont étrillés au sud de Soisson.
- Les Allemands repoussent les Français jusqu’à la Seine, et le 10/09/14 la Première Armée Allemande met le siège de Paris. La Dixième Armée Allemande occupe les Ports de la Manche et repoussent les restes du « Corps Expéditionnaire Anglais » qui est anéanti à Calais.

- L’Angleterre déclare que la Mer du Nord est Territoire de Guerre et fait le blocus maritime de l’Allemagne. Dans le même temps les Forces de la Huitième Armée Allemande sous les ordres du général Hoffman écrasent les Russes à Tannenberg.
- Toutes les tentatives de percées parties depuis la Loire et Tours, pour secourir Paris, échouent pendant la « Drôle de Guerre d’Hivers » du 16/02/15 au 20/03/15. Le gouvernement Français accepte l’armistice le 22/04/15. C’est la fin des hostilités sur le Front de l’Ouest.

- Ayant appris que la Guerre allait prendre fin les Italiens sont entrés en guerre aux côtés du Reich une semaine avant la fin des combats, et ont pénétré dans l’Hexagone jusqu’à Menton. C’est dans les faubourgs de Nice que les Troupes Alpines sous les ordres du général Foch ont arrêté l’infâme invasion du « Coup de Poignard dans le dos » et repoussé les Transalpins.
- Le 06/11/15, débutent dans le Sud-ouest de la France, ainsi qu’en Provence, des Mouvements Contestataires. Le 24/06/16, lors du Congrès de Tours, pour doter la France d’une nouvelle constitution, les affrontements entre Conservateurs Royalistes et Révolutionnaires Socialistes débouchent sur une guerre civile : l’Armée du Gouvernement composée en majorité de régiments venus de Bretagne et de Vendée tire sur les manifestants et les députés venus du Centre et du Sud de la France. Les régiments du Midi, à fort électorat de Gauche n’ayant pas été démobilisés et ayant gardés leurs armes se mutinent, fusillent leurs officiers et passent dans le maquis. L’insurrection ouvrière soutenue par une grève généralisée plonge le Pays dans le chaos. La Guerre civile durera jusqu’en 1923, année où le général Pétain ayant réussi à centraliser le pouvoir réduira le dernier foyer Communiste situé dans la Nièvre. La Gauche trop divisée politiquement n’aura pas su vaincre ses adversaires qui se seront appuyés sur les Troupes Coloniales Africaines pour la vaincre.


- 1916, en Mer du Nord la Guerre sous Marine fait rage. Les USA exigent que l’Angleterre lève le blocus économique de l’Allemagne pour favoriser le commerce du « Libre-échange ». Les U-Boots se gardent bien d’attaquer les navires neutres qui ravitaillent la Grande-Bretagne, mais des raids de Dirigeables bombardent Londres. En contrepartie la Chasse Anglaise se développe et le ciel de la Manche devient l’enjeu d’un affrontement aérien colossal. La Marine Britannique et ses Porte-aéronefs dominent la Méditerranée. Si les Détroits Turques restent inaccessibles, les Flottes Ottomanes, Italiennes et Autrichiennes sont coulées en Mers Egée et Adriatique.

- 1917, en réparation des « Dommages de Guerre » le Reich exige un fort tribut de la France et annexe la Meurthe et Moselle. Les Départements du Nord et du Pas-de-Calais sont rattachés à la Belgique qui devient Protectorat Allemand. Le Luxembourg et la région de Liège sont annexées à l’Allemagne. Le Maroc, enjeu d’avant guerre, recouvrera une indépendance pleine et entière sous « protection » Allemande. La Tunisie sera annexée par l’Italie qui en contrepartie lèvera ses exigences sur le Comté de Nice et la Savoie.


- La Grèce et la Roumanie restent neutres durant toute la Guerre. La Serbie est vaincue par les Empires Centraux, et la Bulgarie annexe la « Macédoine ».


- L’Empire Ottoman tentera d’envahie l’Egypte mais sera battu sur terre comme sur mer par les Britanniques qui finiront par s’emparer et tout le Moyen-Orient. Seule la Turquie sera sauvée par l’implantation de garnisons Allemandes sur son sol.
- Suite à la Bataille du Jutland en Mer du Nord, les Flottes Anglaises et Allemandes se défient sans interruption au large des côtes du Danemark. Les Sous-marins de l’Amiral Muller finissent par forcer le blocus Anglais.

- La Russie sombre dans le chaos révolutionnaire et l’Allemagne en profite pour créer de nouveaux Pays qui s’ajoutent à son espace vital : l’Ukraine (22/01/17), l’Estonie (18/11/17), la Géorgie et l’Azerbaïdjan (26/05/17), la Pologne (03/11/17), la Lettonie (18/11/17), et la Lituanie (11/12/17). Cette dernière sera finalement annexée à l’Allemagne en 1939. En 1923, les Communistes prennent le pouvoir en Russie. En France comme en Russie l’Allemagne préfaire voir ses rivaux sombrer dans des conflits internes, et elle rester un modèle de stabilité.

- En Autriche Charles I donne à son Empire une Constitution Fédérale. Lui, comme sa femme Zita, ne sont pas pro-Allemands. Il cherche donc une sortie à la guerre. Le 10/09/19 l’Autriche cède une partie de l’Istrie à son alliée l’Italie, et entame des pourparlers avec Londres. Par le Traité de Trieste l’Autriche et l’Empire Britannique signe la paix le 10/08/20. Sous la pression du Président Wilson l’Angleterre, ruinée par la guerre et isolée politiquement, signe l’armistice en 1922, lors des accords de Washington où les Espaces Maritimes pour les Droits de pêches en Atlantique Nord entre Anglais, Canadiens et Américains sont redéfinis.

- A partir de 1927 se créée une tension entre les USA et le Japon pour la Domination du Pacifique. Pour le général Tanaka le Japon doit dominer l’Asie. La guerre devient inévitable et dégénère en conflit ouvert en 1937, lors de l’attaque de la Chine par l’Empire Nippon. Le Conflit tournera essentiellement autour des îles Philippines. La supériorité industrielle des Américains viendra à bout de l’Empire du Soleil Levant en 1943 lors de l’Opération « Olympique » avec le débarquement des GIs dans l’Archipel Japonais. Les Russes occuperont la Manchourie et Port Arthur en 1944.

- En 1937, la Guerre d’Espagne verra s’affronter sur son sol d’un côté les forces Progressives avec les Socialistes et Communistes Espagnols, les Troupes Russes et les Brigades Internationales composées à forte majorité par des Français, résurgence de la guerre civile dans l’Hexagone. Dans l’autre camp se masseront les Conservateurs Espagnols et les Fascistes Italiens, déjà engagés dans la conquête de l’Afrique Orientale. La guerre durera jusqu’en 1940 et se concrétisera par une victoire de Franco soutenu par l’Angleterre, qui a signée des accords économiques avec lui.

- L’Empire Allemand redéfinira sa politique extérieure afin de faire sortir l’Europe de plus d’un quart de siècle de Crise. Cela sera le « Printemps des Peuples », qui verra le jour avec l’avènement du III° Reich et la montée sur le trône de Guillaume III en 1941 et la mise en place d’un gouvernement Socialiste d’ouverture constitutionnel. Ainsi, la Meurthe et Moselle et la Wallonie seront rattachées à la France qui retrouvera aussi ses départements du Nord. La Flandre sera elle annexée aux Pays-Bas. L’Allemagne régnera alors sur l’Europe en paix en ayant des accords politico-commerciaux avec La Grèce, l’ensemble de la Scandinavie, la Pologne, l’Ukraine, la Roumanie, les Pays-Bas, la Turquie et la Bulgarie. En 1968, lors de la « Révolution Culturelle » Française une liesse sans précédant de Bic-Nics, de Punks et d’Intellos-Gauchisant verra l’Alsace-Moselle revenir dans le giron de la « Gaîte France » : des milliers de Français et d’Alsaciens franchissent la frontière entre les deux Pays et réclament le retour de « la Ligne Bleue des Vosges » au sein de la République. Des accords sont alors signés aux profits d’une « Union Européenne » qui veut rester en paix. La réunification à la France sera chose faite en 1989. La Russie deviendra à son tour un Pays Démocratique en 1992 et passera des accords commerciaux avec l’Angleterre et les USA pour relancer son économie.

Histoire Alternative 3 :

Nous n’irons plus au bois….

- Suite à l’écrasement rapide de l’Armée Polonaise en Septembre 1939, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à L’Allemagne. Les belligérants s’installent dans une « Drôle de Guerre ». Le 10/05/40, les forces du Reich entrent en Belgique et en Hollande. Les généraux Français qui prévoient une reprise du plan Schlieffen font que la 7° Armée pousse son avance jusqu’à Anvers.
- Par la « Percée des Ardennes » les Allemands espèrent couper en deux les Troupes de Weygand. Guderian poussent ses chars sur Dinant et Sedan le 13/05/40. Sedan devient le nouveau Verdun de l’Armée de la République. Le général Corap voit converger toutes les troupes de réserve sur ses positions défensives : Infanterie, Chars, Artillerie et Aviation convergent sur la « Forteresse des Ardennes ».
- Le 17/05/40, Bruxelles tombe aux mains des Allemands, mais une puissante contre-offensive Franco-anglaise partie de Lille repousse les envahisseurs au-delà de l’agglomération. Une terrible bataille aérienne oppose les deux parties.
- Le 19/05/40, l’Armée Française prend position sur la Meuse dans le Massif Ardennais.
- Seule une attaque Allemande arrive à percer en direction de Chauny, mais le Colonel De Gaulle la stoppe à Montcornet. Depuis Valenciennes, en suivant la Sambre, les Troupes Françaises établissent une Ligne de Front qui va de Sedan-Dinant-Namur-Bruxelles-Anvers. Plusieurs offensives sont lancées par les Anglais en direction de Lièges. La 7° Armée avance sur Rotterdam entre les 23 et 25/05/40.
- Le 05/06/40, Hitler furieux de l’arrêt de ses Armée vient inspecter le Front Belge et meure dans l’explosion de son avion. L’attentat est perpétré par l’opposition Militaire antinazie. Le 10/06/40, des négociations de paix sont entamées par les nouvelles autorités du Reich.
- Le 22/06/40, l’armistice est signé à Compiègne. Les Troupes Allemandes évacuent la Hollande et la Belgique et payeront des dommages de guerre aux deux Pays. La Wehrmacht se retire de sa zone d’occupation Polonaise mais l’union de Dantzig et de la Haute-Silésie avec l’Allemagne est confirmée. La Tchécoslovaquie retrouve son indépendance mais est séparée en deux Pays distincts : Bohême-Moravie et Slovaquie.
- Après rectification des Frontières en leur faveur les Russes sont obligés d’évacuer la Pologne sous peine d’un blocus économique et d’une action militaire conjointe des Anglais depuis la Norvège, et de la France depuis la Syrie.

Dernière édition par Berold le Jeu 24 Avr 2008, 17:35, édité 1 fois

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Histoire Alternative 4 :

Le linge sur la Ligne Siegfried.

- En Mars 1935, avec le rétablissement du Service Militaire obligatoire, Hitler qui continue à proclamer sa volonté de paix et le départ de l’Allemagne de la SDN en octobre 1933, les autorités Françaises commencent à douter de sa bonne foi.
- La dénonciation en Mars 1936 du pacte de Locarno ne fait que confirmer les soupçons de sa duperie : en Novembre 1936 le pacte anti-Kominterm entre l’Allemagne, le Japon, l’Italie et l’Espagne, ainsi que la mise en place d’un axe Rome-Berlin pousse la France à renforcer ses défenses : extension de la Ligne Maginot et accord politique avec l’Urss. La France envoie des Troupes en Espagne pour soutenir les Républicains.
- L’annexion de l’Autriche par le Reich en Mars 1938 et les revendications Allemandes sur la Tchécoslovaquie amène à la conférence de Munich le 29/09/38 : les politiques Français et Britanniques refusent de céder le territoire des Sudètes à Hitler. Celui enrage et ordonne à la Wehrmacht de se préparer en vue du Plan Vert.

- Le 21/10/38, Hitler donne l’ordre de liquider la Tchéquie. La guerre est déclarée et les Troupes Allemandes foncent en direction de Prague depuis l’Allemagne et l’Autriche. Le 26/10/38, la mobilisation générale a été décrétée dans l’Hexagone, et les Armées Françaises attaquent en Sarre dès le 30/10/38 avec ses régiments d’engagés.

- Le 29/10/38, le Drapeau Tricolore flotte sur Kaiserslautern, Mayence et Coblence suite aux percées du Colonel De Gaulle avec ses chars soutenus par l’aviation. La flotte Anglaise sort de Scapa Flow et bloque les ports Allemands. Après un an de guerre et la prise de Francfort par les Troupes Coloniales Françaises du général Juin, l’Allemagne signe l’armistice après la mort d’Hitler survenue dans un attentat perpétré par l’opposition militaire allemande et la menace de l’entrée en guerre des Russes.

- 1939, l’Autriche reste unie au Reich et la guerre d’Espagne prend fin avec la Victoire du Front Républicain contre les fascistes.



Histoire Alternative 5 :

Demain le monde, le Triomphe de la Volonté.

- Suite à la Campagne de Pologne en Septembre 1939, et conformément au Plan Jaune, la Guerre éclair est lancée à l’Ouest. Fin Octobre 1939 la Wehrmacht écrase les Armées Belges, Hollandaises et culbute l’Armée Française prise de court. Le BEF est anéanti à Dunkerque. Le 11/02/40 la France signe l’armistice et est occupée. Les accords commerciaux entre le Reich et l’Urss rendent caduque le blocus maritime de l’Angleterre. Le 10/05/40 la Luftwaffe commence à attaquer et bombarder les îles Britanniques. Au soir du 04/06/40 la RAF est totalement anéantie et la flotte Anglaise prend le large pour éviter d’être coulée.

- Du 05/06/40 au 24/06/40 a lieu la Bataille d’Angleterre. L’Opération Otarie voit le débarquement des soldats du Reich sur les plages sud de l’Angleterre et l’occupation de Londres le 14/06/40. Les Troupes Blindées de Guderian atteignent Birmingham le 16/06/40, York le 17/06/40 et Edimbourg le 19/06/40. L’armistice est signé le 22/06/40 à Coventry par un gouvernement fantoche. La Famille Royale s’est réfugiée avec la Royal Navy au Canada.

- Le 10/06/40 l’Opération Hercules fut lancée contre Gibraltar depuis l’Espagne. A partir du 10/07/40 des « Puppets States » sont mis en place avec des dirigeants tout acquis à la cause Allemande : Mussert, Degrelle, Pétain, Quisling, etc….

- Le 03/07/40, la Flotte Anglaise partie d’Egypte bombarde la Flotte Française à Mer-el-Kébir. La rencontre entre Hitler et Pétain à Montoir fait entrer la France comme allié passif du Reich, suivant le désir de Darlan, avec une Armée de 100 000 Hommes dans l’Hexagone, la Souveraineté de sa Flotte et la « Garde active » de ses colonies.
- En Septembre 1940, l’Italie attaque l’Egypte. Les Britanniques contre-attaquent, mais l’arrivée de l’Africakorps ébranle tous les espoirs Anglais. L’Asiakorps débarque au Liban et Jérusalem est conquise le 29/01/41 en même temps que l’île de Malte. En Juin 1942, les Forces de Vichy conjointement avec la Wehrmacht marchent sur Port-Saïd. En Octobre 1942, Mussolini entre dans le Caire aux côtés de Rommel. Dans le même temps la Grèce est conquise et la Yougoslavie démantelée. Les Parachutistes Allemands conquièrent Chypre en Juin 1942.

- Le 02/06/41, le Reich attaque l’Urss sans déclaration de guerre. La 18° Armée Allemande s’empare des Pays-Baltes et atteint Leningrad en Juillet. La 16° Armée via Vilna, Dunabourg, Cholm et Demiansk atteint Takhin et le Lac Ladoga en Août où elle est rejointe par l’Armée Finlandaise. Les 4° et 9° Armées foncent à travers la Russie Blanche, et les Forces Allemandes se concentrent en un puissant assaut sur Moscou. Au Sud, les 6° et 17° Armées Allemandes, les 3° et 4° Armées Roumaines, les Slovaques, les Hongrois et le Groupement Italien du général Messe se livrent à de grandes batailles d’encerclement en Ukraine. Kiev est prise le 27/07/41.

- Le 16/10/41, les Allemands entrent dans Moscou après la triple bataille de Viazma-Briansk-Toula. Les Groupements Blindés N°2 et N°3 ayant fait leur jonction se retrouvent sur la Place du Kremlin. Staline resté dans la Capitale en état de siège est exécuté par son opposition. Le général Joukov lance son « Offensive d’Hiver » depuis Kalinine, mais elle échoue sur les Bastion de Cholm et de Demiansk.

- 1942, au Sud la Péninsule de Kertch et la Mer d’Azov sont bouclées, et la Wehrmacht campe à Rostov. Au Printemps Voronej et Maïkop sont atteintes. La 6° Armée Allemande investie Stalingrad et passe sur la rive droite du Don le 21/08/42. La 4° Armée Blindée atteint l’Oural le 16/09/42, et l’ « Offensive d’Eté » Allemande sous les ordres du Führer a surpassé toutes les espérances. Sans le matériel US la Contre-offensive Russe menée par Koniev se brise dans les Faubourgs d’Astrakan.

- Le 31/01/43, le général Vlassov placé à la tête de l’état Russe de Moscovine. Les Etats-Baltes forment l’ « Ostmark », l’Ukraine devient indépendante sous protectorat Allemand, tout comme la région du Caucase qui devient la « Tartarica ».

- 1943, avec la capitulation de 250 000 soldats Anglais sur le sol Africain et la prise d’Addis-Abeba en Mai, les Sud-Africains sortent de la guerre en août, et l’Union-Sud-Africaine signe des accords avec les Reich. L’Italie se taille un Empire Africain à la mesure de l’ambition du Duce : Libye, Egypte, Soudan, Uganda, les Somalies, l’Abyssinie, l’Ethiopie et le Kenya. Le Tanganyika, l’île de Zanzibar et le Mozambique forment l’Afrique Orientale Allemande. L’Angola revient à l’Espagne, qui a annexée le Portugal en 1942, et le Congo Belge et le Nigeria sont cédés à la France.

- Fin 1943, l’Asiakorps pénètre en Perse via l’Irak, et atteint la frontière Indienne. Le 22/11/43, à la conférence du Caire, Ribbentrop, l’évêque Titus, le Comte Ciano, l’Amiral Horthy, Mussert, Franco, Degrelle, Antonescu et Laval sous la Présidence de Mussolini signent des accords sur la partition de l’Afrique et les sphères d’influences Européennes dans le Monde.


- A la conférence de Téhéran le 28/11/43, Ribbentrop, le Comte Ciano et le général Tojo signent des accords concernant les nouvelles zones d’influences politiques et économiques mondiales. Les Japonais ont coulé la Flotte Américaine à Pearl Harbor, où ils ont lancé une troisième attaque pour localiser les porte-avions US. Ils ont vaincu les Britanniques en Inde via l’île de Ceylan, remporté la bataille de la Mer de Corail, et débarqués à Midway. Etranglée économiquement la Chine ne peut plus soutenir son effort de guerre. A l’Est de l’Europe, 12 millions de « personnes indésirables » et déportées sont mises à mort dans des « camps de la mort » gérés par les SS sous la férule de Rudolph Hoss.

La guerre prend fin en 1948 avec une partition en trois sphères de la planète : Une Europe Fasciste, une Asie Nippone et une Amérique Isolationniste à outrance.


Histoire Alternative 6 :

Pas de Violon en été….

- Le 06 Juin 1944, le débarquement Anglo-américain n’a pas eu lieu, suite au mauvais temps et aux sabotages, et assassinats de Hautes Personnalités, orchestrés par l’unité Brandebourgeoise du Contre-espionnage Allemand.
- Continuant sur leur lancée les généraux Russes Joukov et Koniev foncent à travers l’Europe de l’Ouest et écrasent sans vergogne toutes les Armées Allemandes. Les Soviétiques depuis la Poméranie et le Lac Balaton se fixent deux grands axes de progression où les généraux Russes se livrent à une véritable compétition à savoir qui arrivera le premier à Paris.
- De leur côté les Américains organisent l’Opération Dragon dans le Midi de la France, le 15 août 1944 et remontent jusqu’à Lyon où une puissante Contre-attaque de la 6° armée SS tente de les arrêter. Celle-ci sera stoppée à Montélimar par l’Armée de la France Libre commandée par De Lattre. Le général Leclerc lancera une attaque violente en direction de Paris qui finalement sera libérée en octobre. La Campagne de Normandie, visant à libérer l’Ouest de la France, commencera en février 1945. La jonction entre les Forces soviétiques et les Anglo-américains se fera Le 8 mai 1945 sur les rives du Rhin.

Et si, pour toutes les raisons possibles et imaginables les Américains n’avaient pas débarqués en Juin et Août 1944 :

Les Soviétiques auraient « libérés » l’Europe dans son ensemble et rien n’auraient pu les arrêter. Les Armées Allemandes surpassées par le matériel, tant du point de vue qualité, puissance et résistance auraient été Balayées comme la Plume au Vent. Déjà à Stalingrad là où les Allemands alignaient environ 1000 canons les Russes en avaient plus de 48 000, et sur le Front de la Vistule là où les Armées du Reich en avaient 600, les Soviétiques ont déployées 60 000 pièces d’artillerie. L’armement individuel allait de paire : dès 1942 chaque soldat Soviétique a une arme individuelle type fusil mitrailleur. Seul le Lieutenant Allemand dispose d’une telle arme tout au long de la guerre. La qualité du combattant Soviétique, son équipement et son nombre, ne sera jamais égalé par les Armées Occidentale. En 1945, rien n’aurait pu arrêter les Armées commandées par Joukov, Rokossovki et Koniev. On peut sans problèmes Imaginer que les Communistes aient procédé à une épuration de la classe politique en Europe, et des intellectuels, en 1948 en Hongrie, 1956 en Tchécoslovaquie, 1968 en France et en 1979 en Pologne. Seule l’Italie du Sud et l’Afrique du Nord auraient été épargnées, du fait de leurs occupations Anglo-américaine, par la dictature des Soviets. L’ouverture Démocratique aurait pu avoir lieu en France en 1981, avec l’élection de Mitterrand, premier Président de Droite de l’Après-guerre en Europe.

Et si Patton avait survécu à son « accident » de voiture ? Jamais les Russes ne se seraient risqués dans une guerre contre les Occidentaux qui possédaient la bombe atomique. La Hongrie et la Tchécoslovaquie en 1948 seraient redevenues des états Démocratiques. Et si les USA avaient continués la guerre contre les Soviétiques ? Avec un fort % de Communistes déterminés en Europe Occidentale et Orientale il y a fort à parier que la Victoire inexorable du Capitalisme Mondial aurait énormément coûté à ses promoteurs.

descriptionCulture Historique - Page 3 EmptyHistoire

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Altérations :

Toutes ces Histoires Alternatives ne sont que de fumeuses suppositions sur ce qui aurait pu arriver. Mais soyons sûrs d’une chose : jamais l’Allemagne nazi n’a été en mesure de gagner une guerre mondiale planétaire, ne serait ce qu'européenne. La raison en est fort simple : le III° Reich portait en lui les germes de sa propre destruction, comme tout système totalitaire à plus ou moins long terme : surestimation de sa propre pensée, dénigrement des autres et foi en sa force militaire. Jamais le Reich n’a eu les moyens matériel ou humain pour conduire une guerre Européenne Totale en 1940. Certes il lui a été facile de venir à bout d’une Pologne sous-développée ou d’une France à l’Etat-major si nullissime. Le Reich aurait pu anéantir le BEF à Dunkerque, mais jamais l’Allemagne n’a eu les moyens d’envisager un débarquement en Grande-Bretagne, ou de faire plier le gouvernement Britannique. C’est parce que le Reich a pillé la Tchécoslovaquie qu’il a eu les moyens d’envahir la Pologne, et d’attaquer la France et le Benelux. C’est parce que le Reich a pillé la France (20 milliards de Dollars) et son armement qu’il a pu attaquer la Russie. Mais déjà en Juillet 1941, après un mois de Campagne, Hitler a compris qu’il a sous-estimé son adversaire. Là où le Führer gonflait exagérément ses effectifs pour impressionner ses adversaires, Staline lui les diminuait pour rassurer ses ennemis potentiels, c'est-à-dire le reste du monde. Les Japonais s’y sont cassés les dents sur Vladivostok et en Mongolie en 1939. Si Hitler n’avait que 60 divisions réellement équipées pour mener une offensive de pointe durant l’hiver 1941-1942, Staline en avait 400, alors que ses adversaires lui en supposaient 200. C'est là toute la différence entre un homme d'action et un stratège comme le dit Schnetzler : bien qu'ils prennent tous les deux des décisions le premier examine les conditions de l'action, le deuxième ses conséquences. Le Stratège laisse le minimum de place à l'imprévu. Hitler était un visionnaire de génie incapable d'une activité rationnelle, un dilétante aux merveilleuses injonctions incapable de calculs à long terme : il fut un homme d'action, tout comme Trosky. Staline ou Franco furent des Stratèges, ce dernier arrivant à occuper Tanger avec l'accord des Anglais en juillet 1940, et à entrer dans leur zone Sterling. Quant à Staline il devint ce « diable » si respectable que les Anglais lui donnèrent la Bombe Atomique après-guerre. On ne parle plus là d'un génie, mais d'un....d'un....Les mots m'en manquent. Durant la WWII, une seule Armée a su maintenir son esthétisme, sa dicipline et être économe de ses troupes : l'Angletrre. A partir de 1941, l'Armée du Reich, la Heer en tous cas, n'est qu'un amalgame vestimentaire venant de tous les surplus. Ainsi, les Soldats de la Grossdeutchland se retrouvent ils avec des brelages de parachutistes dès fin 1941. Les armes de poings sont en rupture. La logistique ne suis pas. Le marériel blindé est déficiant et toujours en sous nombre. Les désaccords sont profonts entre l'OKW et l'OKH, et rien ne ressort des « débats » entre Hitler et ses généraux. Au contraire Staline laissera toujours la bride sur le cou à Joukov, Timichenko, Koniev, Boudienni ou Rokossovki. Les Russes disposeront d'un potentiel humain quasi inépuisable avec leurs troupes asiatiques qu'ils n'hésiteront pas à sacrifier dans les pires situations. Seuls les Officiers Supérieurs étaient Blancs. Des Troupes Coloniales en somme, qui palieront un temps à l'insuffisance de matériel lourd. Hitler n'a pas compris qu'on ne gagne pas une guerre en attendant que les autres la perdent.

descriptionCulture Historique - Page 3 EmptyLes Sources du Nil.

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Les Sources du Nil.

En 60 de notre ère, dans sa folie des grandeurs, Néron l’Empereur de toute l’Europe Occidentale veut conquérir l’Afrique Orientale. Pour ce faire il convoque Burus, le chef de ses Prétoriens, et Sénèque son précepteur et confident. Les trois hommes évoquent la possibilité de relancer l’économie impériale par une nouvelle extension de la sphère de prospérité romaine. Là où Alexandre, Cambise et César ont échoué, Néron lui veut réussir à prendre possession de l’Ethiopie où se trouve la source du grand fleuve : le Nil. Néron veut à tout prix prendre possession de l’Afrique Orientale car en dominant cette partie du monde l’Empire Romain aura une porte d’accès directe pour commercer par la mer avec l’Inde et la lointaine Asie, sans passer par l’intermédiaire des tribus nomades Arabes qui convoient les marchandises à prix d’or à travers le Moyen-Orient. La voie de la conquête passe par le cours du Nil qui reste le chemin privilégié pour s’enfoncer en pays hostile. En 3000 ans les Rois d’Egypte n’ont jamais pu conquérir l’Ethiopie, et ni Hérodote ou Eratosthène n’ont pu expliquer les causes et les raisons des crues du Nil. On pense alors que c’est la chaleur du soleil qui fait monter les eaux, ou que se sont les vents du Nord qui font déborder le fleuve.

Burus demande des volontaires pour partir à l’aventure en terre sauvage. Un Prétorien, le Centurion Caïus, décide de monter l’expédition qui doit mener aux sources du Nil. Il rassemble cartes et témoignages pour mettre en œuvre son plan d’action. Néron lui alloue une cohorte de Prétoriens composées de 400 fantassins et de 100 cavaliers. En dehors de la perspective d’une grande conquête, la motivation première de Caïus est de quitter Rome où les complots et les tueries qui tournent autour de la personne de l’Empereur pourrissent l’atmosphère de la capitale du Monde Méditerranéen.

C’est donc en Egypte, en Mai 61, à Alexandrie le second port commercial de la Méditerranée où l’on parle le Grec, que débarquent les troupes du Centurion Caïus. La cohorte caserne dans le camp de la vingt-deuxième légion romaine. Dans la grande cité Egyptienne le Centurion retrouve un de ses vieux amis qui a pignon sur rue : Marcus Papirus Rufus. C’est un ancien légionnaire qui est devenu détaillant en vins et s’est installé en terre conquise. Rufus trafique un peu dans tous les ports, et on le connait dans les tavernes sous le nom de Pyrrhos-le-Roux. Caïus expose son plan d’expédition à son ami de jeunesse. Rufus décide de se joindre à la cohorte avec une compagnie de mercenaires à sa solde. Il y voit l’opportunité d’ouvrir le premier de nouvelles routes commerciales. Officiellement il servira de guide aux romains. Il va être aidé en cela par son esclave borgne du nom de Cyclope. Ce dernier est né en amont de l’île de Méroé, là où ni les grecs ni les romains ne sont jamais allés. Il sait qu’il y six cataractes à passer, et il connait les dangers du désert. Mais après pour lui c’est l’inconnu et le pays des hommes noirs. Rufus, lui, a appris par rumeur de taverne qu’il y aurait deux mois de navigation en hautes eaux sur le Nil depuis Alexandrie, après personne ne sait rien.

Le quinzième jour avant les calendes du mois d’août (18 juillet) l’expédition prend le départ. Hommes et chevaux embarquent dans des bateaux à fond plat. En plus des soldats un Tribun représentant officiellement l’Empire, des géographes et plusieurs porteurs accompagnent la troupe. La navigation sur le fleuve est paisible et une semaine après son départ la cohorte arrive à Syène où grondent les eaux tumultueuses de la première cataracte. Il faut douze jours d’effort aux Romains pour franchir le 10 Kms de rapides en halant leurs 8 navires des deux côtés de la rive. Ceux-ci sont tirer et poussés sur la terre ferme. Les romains découvrent ainsi le site d’Abou-Simbel, le temple édifié par Ramsès II. A Ouadi-Halfa la troupe de Caïus doit passer les redoutables chutes d’eau de la deuxième cataracte. A partir de là commence le désert et il y a encore 20 Kms de rapides à franchir sous une chaleur écrasante.
Après la deuxième passe franchi dans les mêmes conditions que la première les romains reprennent leur navigation. Ils sont alors attaqués par des nomades depuis les bords du fleuve. Les Bédouins les harcèlent de flèches. Les pillards du désert sont repoussés avec difficulté lors de débarquement qu’imposent les haltes pour refaire les provisions en eau en “pays hostile“. Pour ce faire les Romains se mettent en ordre de bataille, comme pour une attaque classique, et chargent au pas de course leurs adversaires. Les Bédouins très mobiles sur leurs chevaux arabes leurs échappent toujours sans engager le combat. Pour faire face à la menace qui devient quasi permanente Caïus décide de ne garder que deux bateaux : les quatre centuries et tous les cavaliers longeront dorénavant le fleuve pour maintenir la sécurité des vivres contenus dans les embarcations. Bien qu’ils soient en plein soleil les hommes ne souffrent pas de la chaleur : le fleuve leurs apporte toute l’eau voulue.

Sur les rives beaucoup de soldats meurent à cause des morsures de serpents (Dipsade) qui pullulent, et lors des embuscades tendues par les nomades. Pour remédier à cela Rufus prend le commandement d’un groupe de soldats et avec une poignée de cavaliers il part à la poursuite des pillards du désert. Mais dans cette immensité de sable où trouver l’ennemi ? L’opération sans grand résultat militaire a néanmoins pour effet d’éloigner les Bédouins, et sur le Nil la navigation continue paisiblement. Les romains passent la troisième cataracte sans plus de problème et à la quatrième chute d’eau ils parviennent à la ville de Tergedus à 80 milles en amont du site de Napata. 1 Mille romain est égal à 1472 m. La ville est un poste frontière où Egyptiens, marchands Grecs et romains commercent avec les caravaniers bédouins et Soudanais les denrées rares qui viennent du cœur de l’Afrique Noire. Rufus et son groupe de cavaliers, sans déserter ouvertement, quitte alors les rives du Nil. Le commerçant a fait miroiter aux soldats que s’ils trouvent un, ou le campement des bédouins ils pourront s’emparer de leurs richesses. C’est donc sous le couvert d’opérations de “représailles-pillage“ lucratives contre les nomades que les cavaliers partent à l’aventure en plein désert.

Caïus reprend sa marche le long du fleuve pourvu de provisions. La troupe est reposée et repart à la conquête de l’Afrique. Toujours selon le même principe : les soldats marchent sur les rives couvrant ainsi la navigation des bateau sur le fleuve. Cependant aucune attaque n’a lieu de la part des nomades. Le groupe des cavaliers de Rufus le tiendrait il à distance ? Au coude du Nil à Abou-hamed, à 587 milles de Syène, les géographes romains déchiffrent des hiéroglyphes : “Tout Nubien qui viole cette frontière aura la tête coupée. Son bétail périra, il mourra sans enfant“.
Pour Caïus c’est la preuve que des Egyptiens sont venus en des temps reculés jusqu’ici. Au détour d’un méandre les éclaireurs romains découvrent un village. Le chef parle Grec. Son grand-père était romain. Il était venu ici avec les troupes de Pétronius, le Préfet de l’Egypte lors de l’expédition de Rome contre l’Ethiopie en 24 avant J-C. selon le chef du village le fleuve est trop bas pour que les romains poursuivent leur périple par la voie de s eaux. Mais le Tribun et Préfet de l’expédition qui accompagne Caïus en décide autrement. Il est vrai que lui descend le fleuve sur l’un des bateaux avec tout le confort possible du à son rang. Les romains repartent de plus bel vers l’inconnu.

A la cinquième cataracte, comme l’avait prévu le chef du village, arrive une catastrophe : les bateaux naviguant sur les eaux du fleuve trop basses sont pris par surprise au détour d’un coude dans les rapides en furie. Les embarcations brayées par les flots coulent à pic avec les vivres qu’elles contenaient. Le Préfet s’en sort indemne. La colonne reprend alors sa route vers le Sud sous un soleil de plomb affamée et le ventre creux. Quoi qu’il en coûte pour Caïus l’expédition doit se poursuivre le long du fleuve au beau milieu du désert pour la grandeur de Rome.
Les efforts de la troupe sont bientôt récompensés : les rives du Nil commencent à se couvrir de broussailles puis de hautes herbes. Les Romains sortent du désert et se mettent à chasser tout se qu’ils trouvent. La cohorte tout en suivant le cours du Nil s’enfonce dans la savane et découvre l’Afrique, son exotisme et ses dangers : les éléphants et les lions. Le fleuve commence alors à s’élargir et une terre se dessine au milieu de ses eaux : c’est l’île de Méroé. La colonne impériale, qui se déplace dans la brousse ne passe pas inaperçu. Des guetteurs africains vont faire leur rapport à leurs maîtres qui ne voient pas d’un bon œil leur terre ainsi “envahie“. Les Romains se mettent en charge de trouver du bois pour construire des bateaux pour atteindre l’île. Une armée Ethiopienne venue à la rencontre des Romains leur barre la route. L’élite des soldats de Rome ne se fait pas prier, et même affaiblie, engage aussitôt le combat à la surprise de leurs adversaires. Les Romains se forment en position de combat et manœuvrent les Ethiopiens. Il en résulte que les Africains sont taillés en pièces au cours d’un combat sanglant. Caïus fait poursuivre les ennemis, découvre plusieurs villages et s’en empare. Quelques jours plus tard l’émissaire de la Reine Candace de Méroé qui parle Latin vient négocier la paix. Escortés par les soldats Ethiopiens la cohorte fait une entrée remarquée dans la capitale de l’Afrique Orientale. Une troupe de soldats blancs vient à la rencontre des Romains : Ô surprise, Rufus et ses hommes les accueillent au milieu des indigènes.

Les deux chefs Romains sont conviés par la Reine Candace dans son palais. Caïus soupçonne son “ami“ d’avoir voulu mener sa propre expédition pour son seul profit. Le centurion rend les hommages à la Reine et un Concile a lieu avec les géographes, le Préfet et les conseillers de la Reine où les Romains expliquent le but de leur venue : ouvrir des comptoirs pour commercer avec l’Inde. En ce sens l’Ethiopie pourrait devenir un état client de Rome. En soirée un somptueux banquet est donné en l’honneur de la cohorte où Caïus et Rufus se réconcilient. Rufus explique à son compagnon que lui et sa troupe ont poursuivi les pillards dans le désert, qu’ils s’y sont égarés, et qu’ils ont erré ainsi plusieurs jours jusqu’aux limites de la jungle. S’y enfonçant ils sont arrivé jusqu’ici et se sont fait passés pour un méhari de commerçants.

La Reine de Méroé ne tient pas à entrée en conflit avec Rome, et recherche même à se concilier le Centurion Caïus. Elle fournit donc à la cohorte une escorte militaire pour conquérir les terres de ses ennemis au confluent du “Nil Blanc“ et du“Bahr-El-Ghazal“ : une terre d’immenses marais dont personne ne connait l’issue, où la végétation se transforme en jungle insondable et où les sangsues pullulent. L’expédition pénètre donc dans ce labyrinthe forestier. Les géographes notent en détail tout le chemin parcouru. La moiteur et la terre spongieuse rendent la progression difficile. Cyclope, l’esclave de Rufus, en profite pour s’éclipser et “rejoindre“ les siens. Les Romains vont toujours plus loin vers le Sud et traversent de nombreux villages où ils se ravitaillent et où les Ethiopiens affirment leur autorité. Dans les marécages la troupe finit par s’égarer : les hommes meurent de dysenterie, de morsures de serpents et de l’infection des plaies mal soignées. Pour l’anecdote le Préfet accompagnant les soldats meure tué par un hippopotame qui charge la troupe. Caïus décide de continuer toujours plus loin pour trouver la source du Nil et surtout une sortie à ce méandre de liane et de sables mouvants. Après plusieurs semaines passés dans les marais les Légionnaires trempés, dévorés par les insectes, sans vivres et à bout de force commencent à gronder. Rufus conseille à son ami de faire demi-tour afin d’éviter une mutinerie. Par chance, entre deux rochers, un éclaireur trouve une source. Ce n’est pas le Nil, mais les Romains s’en contenteront. Caïus décide que c’est la “Source“ tant convoitée et après en avoir pris toute les coordonnées cartographiques le Centurion annonce à la troupe que leur mission est accomplie. Les hommes de troupe sont de nouveau motivés, et grâce à la discipline de fer qu’instaure Rufus les Romains refont sans encombre le chemin inverse.
En repassant par un village hostile la cohorte délivre plusieurs prisonniers dont le pauvre Cyclope que ses congénères avaient emprisonné en vue de le mettre à mort : après tant d’années d’absence il était à leurs yeux devenu un étranger.

Au printemps 63, une centaine de Soldats Romains font leur entrée dans Alexandrie. C’est tout ce qu’il reste de l’expédition Romaine qui, sur son retour, a du de nouveau combattre les nomades du désert, et supporter la faim et la chaleur. Caïus rentre à Rome un mois plus tard pour faire son rapport à l’Empereur. Il l’informe qu’il faudrait au moins 10 légions (60 000 hommes), soit la moitié de l’Armée Romaine, pour conquérir l’Ethiopie et sécuriser durablement le désert. Néron est vexé : il pensait conquérir l’Afrique avec une poignée de soldats. Ses rêves de débouchés sur la Mer Rouge Méridionale s’effondrent. Caïus est chassé de la cour. Il finira par rejoindre son ami Rufus. Sénèque consignera par écrits l’histoire de l’expédition pour en garder une trace.

Les Sources du Nil captiveront encore longtemps les Européens, et pendant 18 siècles aucun explorateur Occidental ne pénètrera plus loin au Sud que les troupes de Néron. Le 21 avril 1618 le Père Paez, un missionnaire, croit avoir trouvé les Sources du Nil dans la même région que Caïus. Son erreur est démontrée en 1839 par une expédition Egyptienne commandée par Selim Ibrahim qui atteint le village de Bor sur le Nil Blanc, après avoir passé le “Sudd“ (les marais) où s’était perdue la cohorte Romaine. En 1856, les Anglais Burton et Speke tentent à leur tour de trouver les Sources du Nil. Partis de l’île de Zanzibar ils atteignent le Tanganyika. L’île de Zanzibar et le Tanganyika forment aujourd’hui la Tanzanie. Speke est convaincu que le Lac Victoria est la source du Nil. Francis Burton est mandaté par la Reine pour trouver les origines du grand fleuve. Il recrute des porteurs en Afrique et la colonne des deux Anglais s’enfonce dans la savane puis la jungle. Burton tombe malade, et les porteurs désertent tous peu à peu l’expédition qui les conduit en terre inconnue. Speke continue seul son périple en terre hostile. Le 3 août 1858 il parvient au lac après avoir descendu le Nil. Il lui reste à prouver son hypothèse. En 1862, Speke accompagné de l’explorateur Grant, son “copain“ à la ville, entreprend de démontrer ses dires en suivant le cours du fleuve qui sort depuis le Nord du Lac Victoria, pendant que Samuel et Florence Baker, un couple d’explorateurs, remontent le Nil vers le Sud. Leur rencontre a lieu le 15 février 1863 à Gondokoro. La preuve est faite. Il aura fallu 20 siècles pour résoudre l’énigme des Sources du Nil.

descriptionCulture Historique - Page 3 EmptyHistoire Alternative

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Quand mon fils me demande la différence qu'il peut y avoir entre le nazisme et le communisme je lui réponds: de 1933 à 1945 les Allemands et leurs alliés sont responsables de la mort d'un peu plus de 12 millions de personnes, et le communisme de 80 millions de personnes jusqu'à nos jours. La différences provient juste du fait que l'un de ces deux mouvements fascistes a survécu à la seconde guerre mondiale. Ainsi donc reprenant une ancienne Histoire Alternative :

Histoire alternative. La Révolution Bolchevique Européenne.


Novembre 1918, Suite à la défaite des Puissances Centrales, la Pologne se reforme. Les alliés fixent la frontière orientale de la Pologne par la “Ligne Curzon“. Mais le général Pilsudski veut profiter du chaos de la guerre civile Russe pour former une grande fédération Lithuanienne, Ruthène et Ukrainienne sous la férule des Polonais en recréant l’ancien état Slave du 15° siècle.
En avril 1919, l’Armée Polonaise, avec le matériel récupéré sur la Reichswehr, envahit la Russie Blanche (Belarus) et balaie les maigres forces Bolcheviques qui gardent la frontière. La ville de Minsk tombe rapidement. Dans le même lapse de temps le gros des forces Polonaises précédé par des régiments de cavalerie fonce à travers les plaines d’Ukraine. Le Pays est en proie au plus sombre des chaos : Les hommes de l’anarchiste Makhno y sévissent et font régner la “Terreur Noire“ sur l’ensemble de la région. Profitant des batailles qui opposent les révolutionnaires à l’Armée Blanche du général Wrangel, les Polonais conquièrent la ville de Kiev.
En 1920, les Russes Blancs sans coordination perdent pieds dans un conflit où seules les propres ambitions de leurs généraux les supportent. Dès Janvier 1920, les Armées Bolcheviques contre-attaquent sur tous les fronts : Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, organise entre Février et Mars l’Armée Rouge et reconquière le Golfe de Carélie, tenu par un corps expéditionnaire contre-révolutionnaire Anglo-américain. Le général Bolchevique Ordjozenike s’empare du Caucase en proie à des revendications nationalistes en Avril. Le Commissaire Politique Staline et le général Boudiény s’assurent de l’Oural et de la Sibérie, où les Japonais ont fait des incursions en Mai. Pendant ce temps, depuis Smolensk, le général Kirov rassemble des volontaires regroupés en 20 divisions d’infanterie, 7 divisions de cavalerie et 1 division d’artillerie. A Kharkov, de son côté, le général Vorochilov met sur pieds 8 divisions d’infanterie et 3 de cavalerie. Lénine ordonne alors la reconquête des territoires de l’Ouest et de passer par les armes tous les opposants au régime.
En Juin 1920, Kirov lance son attaque avec la Première Armée Rouge : passant par la ville de Vilna ses troupes bousculent toutes les divisions Polonaises qui se débandent vers Varsovie. Les Russes débordent alors leurs adversaires et les annihilent dans de vastes mouvements tournant. Répondant à la panique qui s’empare du Maréchal-Président Polonais Pilsudski les Alliés, sous la conduite du Maréchal Foch, dépêchent sur place 3 régiments Français, 1 cirque d’aviateurs Américains, 2 régiments d’infanterie Britanniques et 1 brigade d’artillerie Anglaise. Le Corps Expéditionnaire prend position le long du fleuve Vistule, et réceptionne les restes de l’armée Polonaise en complète déconfiture. Vorochilov et la Deuxième Armée Rouge accrochent les troupes Polonaises qui approchent du Fleuve Dniepr. Vorochilov poursuit ses ennemis qui retraitent dans les plaines Ukrainiennes : Kiev est libérée. Les Bolcheviques remontent ensuite plein Nord sur Varsovie. Les Polonais harcelés tombent d’embuscades en guet-à-pans.
Le 16 Août 1920, l’armée de Kirov arrive dans les faubourgs de la capitale Polonaise. La population civile en proie à la panique quitte la ville. Foch concentre les forces alliées sur les pourtours de Varsovie. L’artillerie Anglaise pilonne les lignes Bolcheviques qui stationnent le long de la Vistule.
18 Août 1920, un impétueux raid de cavalerie cosaque perse le front au Nord de la ville de Modlin. Kirov y fait s’engouffrer toutes ses divisions en ne laissant face aux Polonais et Alliés qu’une maigre ligne de fantassins qui dissimule sa tactique. Vorochilov s’empare de la ville de Lvov et poursuit son avance sur la cité de Radom.
Le 19 Août 1920, la Première Armée Rouge encercle Varsovie. La ville est prise d’assaut et incendiée. Les alliés l’évacuent et se replient sur la cité de Plock.
A Plock, Foch espère rétablir un front continu des forces Alliées, mais le général Kirov ne reste pas l’arme aux pieds : ses divisions poursuivent sans relâche les fuyards. Ceux-ci retraitent sur Dantzig, dans un foutoir absolu, où trois croiseurs Anglais couvrent l’embarquement des troupes Occidentales pour Copenhague.
Fin Août 1920, Trotski envahit les Pays Baltes et les soumet à la volonté des Soviets. Dans l’Est du Reich des Conseils d’ouvriers et d’anciens soldats révolutionnaires, portés par l’avance des Bolcheviques, enflamment les grandes villes : à Königsberg, Posen, Globau, Breslau, Liegnitz et Görlitz flotte le drapeau rouge. Les émeutes tournent au massacre des nantis et des bourgeois, parmi lesquels les Von Braun.
Le 1° Septembre 1920, le général Kirov entre dans la cité de Kustin et campe sur les rives de l’Oder. Vorochilov lance de grandes incursions en Galice et s’empare de Cracovie. Les Corps Francs nationalistes Allemands et la Landwehr combattent les Communistes Allemands à Stettin, Breslau et en Haute-Silésie : les combats de rues sont quotidiens. Seul le défaut de la logistique Russe empêche Kirov de poursuivre son avance. Cela n’empêche pas les Commissaires Politiques Bolcheviques de rentrer en contact avec les agitateurs Communistes Allemands. Partout dans l’Europe de l’Est se soulèvent des Forces Révolutionnaires : à Vienne, Budapest, Agram, Munich et surtout Berlin. Les affrontements entre Conservateurs et Communistes dégénèrent en guerre civile dans tout le Reich. Le chef de la Reichswehr, Von Seeckt, opère un regroupement de ses régiments à Hambourg pour la région Nord, et à Nuremberg pour le Sud. Plusieurs attaques ont lieu sur Lubeck et Parchim pour dégager les environs de Rostock tenue par les forces armées d’un puissant Conseil d’ouvriers. Dans les Pays Baltes et la Pologne la répression des Soviets est terrible : 30 000 personnes sont fusillées, des intellectuels et des politiques, et 60 000 personnes sont déportés en camps de concentration. 30 % des femmes Baltes et Polonaises sont violées par les troupes Bolcheviques qui progressent vers l’Ouest. Les Russes forment plusieurs régiments de volontaires Allemands et Polonais enclins aux idées Progressistes : ils leurs fournissent armes et munitions, seuls les uniformes viennent à manquer mais rien d’entame la détermination des prolétaires. Le général conservateur Kapp tient Berlin avec ses troupes Nationalistes et fait un coup d’état. Face à cela les Communistes redoublent dans leurs actes de violence.
Janvier 1921, une armée anglaise Débarque à Wilhelmshaven. Elle est composée de 3 brigades d’infanterie, 2 brigades d’infanterie de marine, 1 bataillon de chars, 1 régiment d’artillerie lourde et de 2 régiments de génie. Les Anglais s’emparent du Holstein et du Slevig pour sécuriser les ports du Nord, et contrer les Communistes. De leur côté les Français déploient 5 régiments coloniaux, 1 régiment d’artillerie lourde et 1 régiment d’artillerie de montagne dans le Wurtemberg. Les Belges sécurisent la Ruhr et se livrent à une sanglante répression contre les révolutionnaires.
Avril 1921, à l’annonce du putsch du général Kapp les Conseils d’ouvriers Communistes prennent le contrôle des principales grandes villes du Reich. Kapp et la Landwehr tentent à plusieurs reprises de dégager la ville de Dresde en proie à la folie insurrectionnelle. Les “assassinats“ de capitalistes se compte par centaines. Après le meurtre de Haase, dirigeant du SPD, parti socialiste allemand, par des Nationalistes, les militants Socialistes qui craignent pour leur action politique rejoignent les Communistes de Hoelz. Le parti des Junkers et les milieux capitalistes se mettent à la disposition de l’ultra conservateur Comte Westrap, qui engage avec plusieurs corps francs des actions militaires contre les Communistes : ils lui fournissent l’argent nécessaire à l’achat d’armes afin de sécuriser les villes de Brême et de Hanovre où les Nationalistes sont rejoints par des éléments Britanniques. A Berlin les Spartakistes ravagent la Capitale en de violents combats de rue Meurtriers : ils proclament la République Communiste Allemande, RDA ou DDR.
Mai 1921, Les généraux Lüttwitz et Ludendorff avec 6 000 hommes des corps francs du Baltikum encerclent Berlin pour en chasser les révolutionnaires. Les communistes se replient sur Dresde, et le général Kapp reprend le contrôle de la ville.
Juin 1921, les Français créent une République Rhénane qui comprend le Palatinat et le Wurtemberg où se réfugient les intellectuels aisés de gauche et les politiciens Allemands de droite. La Bavière devient le bastion des Nationalistes Allemands des DNVP et du NSDAP (Parti National Socialiste Allemand) qui comptent plus de 50 000 membres. Les Sociétés secrètes et les Corps Francs des anciens combattants du gouverneur local Von Kahr restent fidèles à la dynastie des Wittelsbach. Von Kahr s’octroie le titre de Commissaire Général de L’Etat Bavarois. Le général Von Lossow se met au service de Von Kahr et ils organisent une division d’infanterie de 10 000 hommes armés et équipés avec du matériel de récupération.
Le 8 Novembre 1921, Ludendorff et Hitler, Führer du NSDAP, rassemblent une partie des troupes Nationalistes et des activistes d’extrême droite stationnés en Bavière et marchent sur Dresde pour en déloger les Communistes.
Le 9 Novembre 1921, ont lieu les morts de Ludendorff et d’Hitler lors des combats de la ville de la Halle opposant les 20 000 ouvriers en armes de Hoelz à 4 000 soldats Conservateurs. Le leader Nationaliste Ernst Röhm rassemble ce qu’il reste des troupes du NSDAP et trouve refuge en Bavière. Trotski rassemble une Armée d’ouvriers, de prolétaires et de paysans à Arnswalde, au Nord-est de Berlin, qui viennent s’ajouter aux 21 divisions d’infanterie, 3 divisions motorisées, 4 divisions de cavalerie et 1 régiment d’aviation de l’armée de Kirov, nouvellement reformée avec des troupes Asiatiques fraiches.
Le 18 Novembre 1921, Kirov lance son attaque sur Berlin. La ville est submergée par les forces Bolcheviques qui se répandent dans ses artères telles des vagues d’assaut sans cesse renouvelées que rien ne peut arrêter. Aucune atrocité ne sera épargnée aux habitants de la cité : assassinats, vols, viols, pendaisons, exécutions sommaires. Leaders Communistes Allemands et Dirigeants Bolcheviques Russes se réunissent à Dresde et établissent un “Programme Commun de l’International Communiste“, qui verra son aboutissement dans la “Dictature du Prolétariat“ sur l’ensemble du continent. Ils forment le “Kominterm“. En Saxe et en Thuringe sont mises en place des Républiques des Conseils. 20 000 opposants sont passés par les armes.
Fin 1921, L’Armée Rouge du général Kirov occupe le Reich et le coupe en deux, de la Bavière en suivant la Weser jusqu’au Danemark. Après la bataille de Lubeck, contre les Russes et les Communistes allemands, les Anglais évacuent le Holstein mais se maintiennent au Danemark pour éviter l’invasion du Pays. Vorochilov, impatient, lance une attaque mal préparée contre la Rhénanie : les Russes sont repoussés par l’Armée Française lors des batailles de Wurtzbourg et de Gundremmigen, où les troupes coloniales Françaises sont mises à forte contribution. Ainsi, la Rhénanie-Palatinat et le Bade-Wurtemberg sont préservés des frasques des Soviétiques.
1922, Faute de moyens logistiques les Armées rouges stoppent leurs attaques, et selon une directive de Lénine les Soviets consolident la puissance militaire et économique de l’URSS, en vue de reprendre les combats. Hoelz devient Secrétaire Général de la République des Conseils d’Allemagne : RDA ou DDR. Comme il faut rétablir l’ordre : 300 000 personnes sont exécutées, après avoir été sommairement jugées, pour collaboration avec les Forces capitalistes, et 100 000 autres sont déportées en camps de concentration sous des prétextes fallacieux, pour relancer l’économie de l’Allemagne. Un “Rideau de Fer“ parsemé de tranchées et de miradors tombe entre la RDA et la Rhénanie, et scinde l’Allemagne en deux.
Trotski continue de mener la lutte armée sur tous les fronts : la Hongrie de Bella Kun devient Communiste à son tour. Les Nobles fuient en Autriche, ou sont fusillés.
Juin 1922, depuis la fin de la guerre, l’Italie est secouée par un élan révolutionnaire : partis de Milan et de Turin les Socialistes et les Communistes marchent sur Rome.

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Juillet 1922, à leur tour Naples et les Pouilles s’embrasent. Les Révolutionnaires Italiens renversent la Monarchie et prennent le pouvoir. Le Roi et les Fascistes fuient en Lybie et sur l’île de Rhodes. La Marine Italienne Loyaliste mouille à Tobrouk. Par le “Traité de Rapallo“ La RDA, l’URSS et l’Italie signent plusieurs conventions d’aides économiques et militaires qui sous la formule d’un “Axe“ Nord-Sud a pour but de favoriser l’expansion du Marxisme.

Août 1922, les Communistes Russes organisèrent une grande famine dans les régions de la moyenne et basse Volga, et une partie du Kazakhstan. 30 millions de personnes sont touchées, et 5 millions meurent de faim. Cela sans compter les pogroms contre les juifs autour de Kiev et de Tchernoziom dues aux troupes anarchistes de Makhno et des Ukrainiens et de Zeleny. La Tcheka compte 285 milles agents de répression et instruit 62 milles dossiers. Suivant un schéma bien précis 2 691 prêtres, 1 962 moines et 3 447 nones sont tués. La répression militaire suit son cours dans le Caucase avec 12 578 exécutions officielles et l’écrasement des Tchétchènes à l’artillerie lourde dont le nombre de victimes reste inconnu.

1924, assurées du soutien de la France, de laquelle elles reçoivent des armes, la Tchécoslovaquie, la Grèce, la Bulgarie, la Yougoslavie et la Roumanie repoussent des troupes Prolétariennes Communistes désorganisées et mal préparées qui cherchaient à infiltrer leurs territoires. Ces Pays Conservateurs deviennent des refuges pour les minorités ethniques menacées par les Rouges.
Février 1924, les Pays-Bas, la Belgique et la France signent des traités d’alliances militaires pour faire barrage au “Rot Front“ Germano-Soviétique. Face à la menace extérieure qui fait rage aux frontières les militaires de l’Hexagone ne désarment pas et perfectionnent les tactiques de combats des dernières années de la Grande Guerre : plusieurs projets “d’Avions de Chasse“, et de “Chars de Combat“ voient le jour et débouchent sur la formation d’unités blindées et d’artillerie portée.
Mai 1924, depuis la fin de la guerre l’Angleterre est confrontée à une forte crise économique. Portés par l’élan de la “Révolution Socialiste Continentale“ les Partis de Gauche entendent par tous les moyens faire aboutir leurs revendications. La grève générale qui paralyse le pays depuis le début de l’année dégénère en émeutes de rues : Le patronat prend peur face à l’ampleur que prennent les évènements, et ne veut rien lâcher comme a pu le faire le patronat Allemand. Les évènements d’Allemagne et l’angoisse de perdre leurs privilèges incitent les nantis à ne rien céder face aux émeutiers car pour eux la situation et les revendications ne feraient qu’empirer. Il faut tuer l’insurrection dans l’œuf : Les soldats de sa Gracieuse Majesté tirent sur les manifestants pour dispersée les travailleurs, d’anciens soldats de la Grande Guerre, qui bloquent les usines. La Masse Populaire écrasée par les impôts et crevant de faim n’a plus rien à perdre. La Révolution éclate et le Pays s’embrase : Les ouvriers prennent les armes et la confrontation entre les Forces de l’Ordre et les Forces Travaillistes dégénère en lutte armée. La Famille Royale très Conservatrice fuit en Ecosse et la Navy va mouiller à Scapa Flow. Le Pays sombre dans la guerre civile. Les Propriétés Bourgeoises sont prises d’assaut, les magasins pillés et tout ce qui ressemble de prêt ou de loin à un Dandy est abattu sur place sans somation dans les rues de Londres. A son tour la population Ecossaise revendique des droits sociaux et autonomistes. La Famille Royale fuit au Canada et la flotte va mouiller aux Bahamas. En Irlande les Indépendantistes envahissent Belfast. Les Travaillistes Anglais prennent le pouvoir au cours de la “Deuxième Révolution Parlementaire“ où la République est proclamée. La plupart des Officiers de l’Armée et les ¾ des Tommies Loyalistes s’exilent dans les colonies outre-mer : Australie, Canada, Inde et Nouvelle-Zélande pour y maintenir le contrôle de la Couronne. Mais déjà le Condominium Anglais par en morceau, et chaque Pays même su il reste loyal au Roi se proclame indépendant vis-à-vis de la métropole.
Les Communistes Anglais, ne contrôlant pas les Territoires de l’Empire, appellent tous les Peuples des colonies à évincer les Compagnies Commerciales Anglaises et à s’autogérer. En Inde les minorités ethniques entrent en conflit les une avec les autres : les Autorités Royalistes Britanniques submergées par les émeutes et la guérilla urbaine se retranchent sur Ceylan et à Singapour où mouille la Flotte Pacifique. En Egypte les Anglais perdent pieds : soulevés par des activistes Communistes les Arabes s’en prennent aux civiles Britanniques qui sont obligés de quitter le Pays. Les autorités Royales Egyptiennes se rapprochent alors des Italiens Royalistes basés en Lybie : les Notables Egyptiens craignent une insurrection civile et préfèrent se rapprocher des Occidentaux pour parer tout soulèvement révolutionnaire Islamiste. L’Afrique du Sud se déclare indépendante : les Boers rejettent les Anglais et se délient de la Couronne. Les Tommies Anglais ne peuvent s’opposer aux revendications indépendantistes de la Bourgeoisie Sud-Africaine qui cultive une haine viscérale contre les Britanniques depuis 1904. Favorisée par les USA cette séparation se conclue par de nombreux contrats économiques et militaires entre Américains et Afrikaners. Les Australiens, ainsi que les Néo-Zélandais, et les Canadiens restent les seuls Dominions fidèles au Roi en exil. Sir Oswald Moseley devient premier ministre du gouvernement royaliste basé dans les Bahamas à Nassau.

1922-1937, Lénine et Trotski prônent la “Révolution Mondiale“ : c’est le début des Grandes Purges dans les Pays Soviétiques où Staline et les membres de l’aile droite du Parti Communiste sont éliminés lors de procès arrangés. Les intellectuels et les grands noms de la science fuient la répression aux Etats-Unis. La mise aux pas des minorités ethniques par les Russes fait à nouveau 3 millions de morts en Ukraine, 50 000 victimes dans les Pays Baltes, 100 000 tués en Pologne et 60 000 en Europe Centrale. 2 millions de personnes sont déplacées depuis le Caucase jusqu’en Oural. Entre 1930 et 1940, 4 millions de Juifs des différents Pays du “Pacte de Varsovie “sont déportés en Sibérie orientale dans la région marécageuse de Birobidjan où la plupart meurent du typhus. Les Pays Communistes signent leurs adhérences au “Pacte de Varsovie“ : qui voit la mise en place d’une politique commune entre tous les Signataires. Trotski se réserve le droit d’intervention dans chaque “Pays Frère“ où les fondamentaux du Communisme seraient remis en cause. La Russie et l’Allemagne redéfinissent à leurs avantages les frontières Polonaises. La Galicie devient indépendante avec Cracovie comme Capitale.

1924, à la mort de Lénine, Trotski reste le seul maître de l’URSS. Dans l’ensemble du Monde la Stavka et les différents appareils des services secrets Soviétiques favorisent et financent les soulèvements sociaux, indépendantistes ainsi que les assassinats de personnalités bourgeoises. A partir de 1927 la révolution rouge se saigne elle-même avec la chasse aux Staliniens. Ceux-ci voulaient arrêter l’expansion de la Révolution Armée. 30 proches du Commissaire Politique sont exécutés et 72 000 personnes fichées sont déportées en Sibérie. Les déportations d’opposants passent de 578 000 en 1926, à 709 000 en 1927, à 909 000 en 1928 et à 1178 000 en 1929. Pour peupler la région de Narym, 350 000 km2 de taïga en Sibérie, Trotski approuve la dékoulakisation, ou déportation de tous les paysans aisés de Russie. Ainsi 2 000 000 de personnes sont déportées. 300 000 meurent en cours de route, 30 000 trouvent la mort entre 1930 et 1931. Morts du à la famine et aux maladies inhérentes à la région. En 1932 les Communistes organisèrent contre les Ukrainiens une nouvelle grande famine au court de laquelle 6 000 000 de civils meurent. Des révoltes eurent lieu qui sont réprimées par 25 245 exécutions. En 1933, 18 000 tsiganes sont déportés, ainsi que 40 000 juifs dans la région de Birobidjan. Le but des communistes était de créer un “état national juif“.

1925, en RDA, Hoelz fonde la “Loi de Programmation“. A cause de la fuite des devises vers les USA tout est à reconstruire. L’industrie, les usines et tous les moyens de production passent aux mains des Conseils. Les terres des gros propriétaires terriens sont redistribuées aux petits paysans. Ainsi, en 10 ans d’un plan économique imposé à tous et de la mise au travail du prolétariat la RDA restaure toute son économie en s’appuyant sur ses usines de Saxe, et rationnalise l’économie Russe en lui fournissant du matériel industriel lourd et des ingénieurs. La RDA finance en sous-main les “Révolutions Prolétariennes“ à travers le Monde, surtout en Amérique Latine, et s’offre des débouchés dans tous les Pays Communistes. Pendant cette période de prospérité 1 million de personnes contestataires sont déportées en camps de concentration où “le travail rend libre“. Conjointement avec les Russes les Allemands restructurent leurs armées. Une tactique d’attaque fulgurante est mise au poing par les Généraux Allemands pour percer le front adverse en cas de guerre : l’infanterie, avec l’expérience des Stosstroupen, sera soutenue par l’aviation pour effectuer des “Actions Eclairs“ promptes à bousculer les centres de résistances de l’ennemi. Les blindés suivront alors l’avance des troupes pour servir d’appuis feu et consolider les acquis de terrain comme cela avait été préconisé à la fin de la Grande Guerre.

1929, La France devient, avec le Benelux, le seul rempart Occidental contre le Bolchevisme. Elle reçoit à cet effet des fonts privés des USA qui craignent l’avancée du Communisme, et du Gouvernement Canadien Loyaliste pour son effort de guerre. L’Effort de Guerre est porté sur la production de Chars de Combats. Le Ministre Maginot fait mettre en place en Rhénanie toute une série de fortifications autour de points stratégiques comme les villes de Lörrach, Fribourg, Offenburg, Baden-Baden, Landau, Zweibrücken, Sarrelouis et Trêves. La petite Armée Allemande Rhénane est organisée en Troupes de Forteresses aptes à soutenir une attaque frontale de la part des Armées Communistes, et à servir de rempart à la France.
1930, malgré l’ampleur des fonds d’investissement la crise économique Américaine touche la France de plein fouet. Dans l’Hexagone les Communistes ne manquent pas d’appui : dans de nombreux départements du Centre et du Sud la population se montre ouvertement pro Soviétiques. 37 départements ont une majorité électorale de Gauche. Seule une coalition entre Conservateurs et Socialistes, qui redoutent une prise de pouvoir de l’Extrême Gauche, maintient le pouvoir Républicain en place. L’agitation Ouvrière terrorise la Bourgeoisie qui voit déjà poindre une nouvelle Révolution du type 1789, et la Terreur de 1793 avec son cortège d’assassinats.

1930-1940, en Union-Soviétique n’ayant aucune confiance dans les peuples de type asiatique ou arabe, les communistes déportent 900 000 Tchétchènes, Ingouches, Tatares, Karatchaïs, Balkars, Kalmouks, 86 000 Turcs, kurdes, Khenchines, Arméniens et Grecs de Géorgie. 80 000 juifs sont déportés dans l’Oural pour raison ethnique. Il y a en URSS 8 700 exécutions pour crimes politique. Le taux de mortalité dans les camps de concentration soviétiques est de 18% par mois. Tous les opposants au régime sont systématiquement déportés en Sibérie.


1934, la corruption qui mine l’Hexagone, les heurs et les provocations des Communistes Français attisent la peur d’une prise de pouvoir par les Rouges de Maurice Thorez. Les associations des anciens combattants marchent sur l’Assemblée Nationale afin de faire chanceler le régime parlementaire. Mais le Pouvoir Républicain tient bon : les meneurs fascisant sont interpelés et dans le même temps de nombreuses personnalités d’extrême Gauche sont arrêtées et emprisonnées en camps d’internement dans la région de Pau. D’autres activistes de Gauche fuient en Espagne où ils rejoignent les membres du “Poum“.

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L’Espagne devient démocratiquement Républicaine : les Socialistes et les Communistes prennent le pouvoir : les églises sont pillées et les persécutions contre les Libéraux entrainent leur exile en Amérique du Sud ou en Algérie Française. Le Général Franco est muté au Maroc. Il rassemble autour de lui une multitude de mécontents et fermante un plan de Coup d’Etat soutenu par les Anglais et les Italiens Nationalistes.

Avril 1936, poussée à bout et exaltée par la “Révolution Mondiale“ la Masse Ouvrière Française se soulève contre la main mise du Patronat sur la vie publique. Un ras–le–bol général entraine spontanément une série de mises en grève successives. D’importantes manifestations ouvrières ont lieu dans les grandes villes, et les manifestants les plus virulents établissent des barricades. Les activistes les plus acharnés se réclament des Communards et lancent un programme “Fédéral“ pour une “République Socialiste“ dans l’Hexagone. Les revendications salariales et civiles des travailleurs suscitent l’étonnement, et l’incompréhension des Conservateurs. Des agents étrangers marxistes infiltrent l’hexagone pour y commettre des attentats et encadrer les émeutiers. La presse de tous bords, sauf l’Humanité, dénonce la collusion entre les Communistes Français et les Soviétiques Allemands.
Juin 1936, le “Front Populaire de la Défense des Libertés“ paralyse toute la France. Face au pouvoir Capitaliste la “Masse Salariale“ de toutes les institutions et de toute l’industrie est en grève. Les syndicats, pris de court par cette formidable agitation sociale, tentent de récupérer le mouvement à leur profit. Les Communistes dressent des barricades et défient les Forces de l’Ordre en des affrontements sanglants. Léon Blum, Secrétaire Général du Parti Socialiste, passe plusieurs accords avec les financiers Français : il les rassure quand aux aboutissements des grèves. Il se dénie de toute compromission avec les Communistes pour retourner le Pays et le plonger dans la guerre civile. Le Patronat paniqué décide alors de soutenir les Socialistes et les Radicaux pour éviter des débordements extrémistes qui déstabiliseraient le Pays sans favoriser les investissements et le plongeraient dans le chaos.

Juillet 1936, ce qui se passe en Allemagne et en Angleterre : émeutes, meurtres, vols, viols, déportations, incite la majorité de population Française Ouvrière peut enclin à s’entretuer à négocier, au grand dam des syndicats en cheville avec les Communistes. Léon Blum devient Président du Conseil et entreprend des pourparlers avec les Syndicalistes pour sauver la République. Blum fait plusieurs discours où il appelle le peuple à la raison : les salariés obtiennent plusieurs avancées sociales : hausse des salaires, la semaine de 50 heures, une multitude de primes et 15 jours de congés payés. Les Communistes tentent bien de relancer la grève mais, mis à part dans les grandes villes où des sursauts insurrectionnels ont lieu, la population satisfaite et lassée par les appels à la furie révolutionnaire des Marxistes ne suit pas : la France reste très agricole et catholique, et la classe ouvrière ne pense qu’à une chose en cet été : profiter des premières vacances de son histoire. Les financiers rassurés restaurent l’économie, et l’armée veille aux frontières. Une insouciance bonne enfant s’instaure dans l’esprit des Français qui veulent oublier la crise mondiale et ses affres.
Août 1936, Thorez, dépité par l’échec de la Révolution manquée, est reçu à Moscou par Trotski. Plusieurs accords sont mis en place pour liquider les Bastions du Capitalisme en Europe : Belgique, Hollande, France, Rhénanie, Yougoslavie, Grèce, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Luxembourg et Roumanie. La Russie se chargera personnellement de la Finlande et de la Turquie. Maurice Thorez assure Trotski de son entière collaboration en cas de guerre ouverte contre la France et l’assure que les Communistes Français collaboreront avec les “Forces de Libération Prolétariennes“ qui déferleront sur l’Occident pour écraser le Capitalisme. En province, dans le Limousin, plusieurs caches d’armes et dépôts de munitions clandestins Communistes sont installés pour répondre à l’appel de tout soulèvement.
En Espagne Socialistes, Communistes et Anarchistes se déchirent quand à savoir qui doit diriger le Pays : l’Espagne sombre dans la guerre civile où chaque Parti revendique le contrôle des institutions. Le général Franco profite du Chaos pour débarquer en Europe avec ses troupes coloniales et revendiquer le pouvoir. Les Russes, les Italiens et les Allemands avec la Légion “Nibelungen“ envoient des armes, des chars, des avions et des soldats pour aider les Communistes à venir à bout de leurs opposants. De son côté Franco reçoit de l’aide militaire et financière des Italiens Nationalistes du Général Badoglio, des Allemands Rhénans enrégimentés dans la Légion “Condor“ et des Français de la Légion “Jeanne d’Arc“. En Asie les Russes prennent le Contrôle de L’Afghanistan et de la Mongolie Extérieure, et Trotski apporte son aide au mouvement révolutionnaire de Mao Tsé Toung. Plusieurs délégués des Soviets sont envoyés dans les Pays colonisés d’Afrique et d’Asie pour fomenter des révoltes. Partout en Occident les Commissaires Politiques Soviétiques formatent les mouvements des “Jeunesses Communistes“ afin de rendre leurs jeunes adhérents prodigues de leur sang lorsque le moment sera venu. Les armées des différents Pays du Pacte de Varsovie se préparent à un conflit majeur en vue de “libérer“ les Peuples opprimés par le “Grand Capital“ de par le Monde. Les usines Allemandes, Anglaises et Russes produisent en abondance des armes individuelles, des chars, des canons, des avions pour les “Divisions du Peuple“ dont les généraux mettent sur pieds des plans d’invasion pour l’Europe. Le général Toukhatchevski réorganise l’Armée Rouge pour que joue à plein la Blitzkrieg. Le Commissaire du Peuple Khrouchtchev établit des “listes“ de personnes à appréhender et à liquider sur l’ensemble de l’Europe par des agents actifs et des troupes spécialisées dans “l’épuration sociale“.
Mai 1939, après de longues semaines de préparation la RDA et la Russie Soviétique attaquent la Bavière, la Rhénanie, l’Autriche, la Finlande et la Roumanie dans des actions fulgurantes : c’est la Blitzkrieg où l’aviation soutient l’avancée de l’infanterie légère qui fonce à travers les lignes ennemies sans prendre le temps de souffler et exploite directement le terrain. Les différentes armées de des Nations attaquées sont pulvérisées par la surprise et la virulence de l’attaque des troupes Communistes. Cependant les mouvements de mise en place des troupes Communistes ne sont pas passées inaperçues des services de renseignements Français. Ainsi, Les Civiles sont évacués sans débâcle et les restes des Armées Allemandes Nationalistes trouvent refuge en France. Seule la forteresse Rhénane de Fribourg résiste à la déferlante de la Volksarmee. Les Armées Belges et Hollandaises sont rejointes par la 7° Armée des généraux Giraud et Frère afin de protéger le Benelux d’un débordement. Le général Hollandais Winckelmann retranche son Armée dans la “Forteresse Hollande“.

Juin 1939, La France se retranche derrière la “Ligne Bleue des Vosges“ et les rives du Rhin. Une contre-offensive est lancée avec la 1° Armée du général Blanchard et la 9° du général Corap dans la Sarre où d’âpres combats ont lieu autour de Kaiserslautern.
Les réfugiés des départements du Nord affluent de toutes parts, et beaucoup trouvent refuge dans le Sud Ouest et le Bordelais. Les autorités Américaines et les Canadiennes mettent en placent un embargo maritime militaire pour rendre imperméables leurs Espaces Océaniques aux incursions des navires Marxistes. Déjà des Destroyers Communistes Anglais viennent croiser dans les Eaux Canadiennes et les incidents diplomatiques se multiplient. Les activistes communistes tentent de rallier à eux les Québécois avides d’indépendance, mais la loi « Cadenas » mise en place par le ministre francophone Duplessis empêche tout débordement socialiste dans le territoire. Bien que restant dans une neutralité relative les USA sous la pression des industriels et de Roosevelt apportent tout leur soutien militaire et financier à la France. Les Américains s’ouvrent ainsi des marchés extérieurs qui boostent leur économie.
Juillet 1939, Les Japonais Impérialistes poussés par un orgueil démesuré attaquent l’URSS depuis la Mongolie pour étendre leur hégémonie sur la Sibérie et faire valoir leur statut de puissance mondiale.
Les Soviétiques contre-attaquent dans la foulée avec leurs troupes Asiatiques, et le général Joukov annihile toutes les velléités Nippones dans la région en moins d’un mois. Le désarroi est total dans le camp des Nippons, et leur rêve de conquête continentale s’écroule pour se transformer en déroute. Les Communistes Anglais, en concertation avec le polit-bureau de l’internationale Communiste, avec leur maigre flotte maritime s’emparent des Îles Féroé, de l’Islande et de la Norvège, où depuis Narvik ils contrôlent tout l’Atlantique Nord et la Zone Arctique. Les Suédois mobilisent leur armée pour parer à toute invasion et en appellent à la France pour que celle-ci lui envoie des renforts en cas de conflit. Les combats entre Finnois et Russes se poursuivent dans le Golfe de Carélie où l’offensive des Soviets s’enlise. Des éléments Français débarquent à Helsinki.
Avril 1940, Grande Offensive Soviétique : les Armées Rouges Allemandes renouvellent leurs attaques et écrasent les Armées Belges, Danoises et Hollandaises en 6 semaines dans une déferlante de vagues d’assauts irrésistibles de l’aviation et des chars de la Volksarmee. Les Communistes Français et Belges collaborent d’entrée avec les envahisseurs et commettent plusieurs attentats qui visent les gouvernements et les Familles Royales. Maurice Thorez tente de s’emparer du pouvoir en appelant à Révolution au cours d’une manifestation armée dans les rue de Lille. Il manque de peu d’être arrêté et s’enfuit en RDA avec ses militants les plus proches. Le rocher de Gibraltar est pris d’assaut par les Espagnols Communistes.
Juin 1940, la Guerre devient totale : Retenant les leçons des dernières années de la Grande Guerre l’Aviation Française est formée en Armée autonome. L’Armée Blindée sous la férule du Colonel De Gaulle et du Général Prételat est organisée en unités indépendantes qui soutenues par des régiments d’infanterie portée percent la ligne de front en direction de Stuttgart avec la 3° Armée du général Besson. Les nouveaux chars lourds Renault G1 surclassent tous leurs adversaires. Plusieurs Généraux allemands Rhénans: Von Lewinsky (Von Manstein), Guderian, Leeb, Kleist, Rommel et Steiner apportent tout leur soutien au général Georges avec leurs régiments Allemands Nationalistes équipés et du matériel Américain. De nombreux financiers et investisseurs Allemands Rhénans fuient la guerre en Afrique du Nord où les Français tentent de se reformer des régiments de troupes Anglaises Royalistes sous le contrôle de l’Amiral Darlan à Mer el Kébir. Les Russes et les Communistes Chinois, en poursuivant les troupes Japonaises en retraite, se lancent à la conquête de l’Asie. Les USA, en sous mains, financent l’Armée Nationaliste Chinoise et le Japon pour que ceux-ci poursuivent la lutte contre les Rouges. Pétrole et matières premières sont acheminées jusqu’à Tokyo via les îles Hawaïennes, Midway et Guam. La Flotte Combinée Japonaise lance plusieurs attaquent aéroportées contre Vladivostok et coule toute la marine Soviétique du Pacifique au cours de la “Bataille de Sakhaline“.
Juillet 1940, la Royale en représailles aux attaques de commandos Communistes Italiens sur la Corse bombarde la ville de Gène et le littoral Ligurien.
Sur ordre du gouvernement les troupes Alpines du général Altmayer passent le Col de Tende, longent le Pô. La 10° Armée Française s’emparent de Turin et déboulent dans la vallée d’Aoste. Les Français sont accueillis comme des libérateurs face aux Forces Marxistes : l’Armée Italienne sous équipée ne peut s’opposer aux troupes d’élite Franco-anglaises Royalistes qui foncent sur la ville de Milan depuis Nice et Menton via San Remo. La Flotte Française soutenue par la Royal Navy et les flottes Royale Serbes et Grecques sillonne la Mer Méditerranée qui devient un “Lac Français“. Les Allemands Communistes passent le Col du Brenner pour porter secours à leurs Frères d’Armes Latins. Les belligérants se combattent en Toscane. Soutenus par des éléments locaux antimarxistes les Français retranchés tiennent bon.
Août 1940, en Espagne les Forces du Général Franco prisent dans la tourmente de la guerre civile se regroupent à Benabarre et Pampelune. En France les vieilles forteresses Pyrénéennes sont remises en service actif pour repousser toute tentative d’invasion méridionale.

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Le leader du Parti Ouvrier Espagnol d’Unification Marxiste : Andreu Nin, devient le dirigeant de la Républiques Socialiste Espagnole. Les autres chefs de parti ont été éliminés Une répression sanglante à lieu contre les Basques et les Catalans qui cherchent à s’émanciper de l’unification Marxiste Ibérique : 90 000 personnes disparaissent dans les tueries.
Octobre 1940, les Hongrois dirigés par Ernö Gero s’emparent de la Slovaquie et de la Transylvanie. Les Polonais de Witold Pilecki se joignent aux armées Soviétiques du Commissaire Khrouchtchev qui combattent la guérilla Serbe et Croate dans les Balkans et le long de la Côte Adriatique : 1 million de personnes sont tuées par les Marxistes.
Février 1941, Des éléments Italiens Nationalistes sous la protection de la marine Française, aidés par un Corps Blindé Anglais sous les ordres du général Gort débarquent en Sicile : Plusieurs affrontements ont lieu entre Anglais et Italiens Marxistes jusqu’à Palerme. Des Régiments Allemands Communistes foncent à travers la péninsule Italique pour stopper les “Fascistes“ et installent des camps fortifiés sur un axe Rome-Naples-Brindisi. De nombreux troubles indépendantistes éclatent dans tout le Moyen-Orient où les leaders Arabes aidés par des subsides Soviétiques soulèvent les “Peuples Opprimés“ contre les Occidentaux et appellent au Djihad. Les entrepreneurs Européens sont massacrés aux cours de manifestations.
Mars 1941, les Armées Russes s’emparent des Balkans : La Roumanie, la Bulgarie et la Grèce sont submergées par la puissance de l’attaque des Armées Blindées Communistes du Général Timoshenko. La Yougoslavie explose en une multitude d’états revendiquant leurs autonomies : la région s’embrase dans une guerre civile aussi brutale que sanglante. Les Grecs Nationalistes se regroupent en Crête où leur ravitaillement est assuré par la marine Française.
Février 1942, les Armées Russes du Général Yérémenko contrôlent les côtes de la Mer Noire et occupent la Turquie Européenne, s’ouvrant ainsi les “Détroits“ et permettent à la Flotte Rouge d’Odessa de naviguer en Méditerranée. Les troupes Soviétiques du général Yakovlev entrent en Syrie, repoussent les maigres troupes Françaises, et s’emparent du Moyen-Orient. Des Divisions Italiennes Nationalistes de “Chemises Noires“ sous les ordres du Général Messe débarquent à Anzio et entrent dans Naples. Des Compagnies Anglaises Conservatrices sous les ordres du général Wavell attaquent les forces Marxistes à Foggia et s’emparent des villes du Golfe de Tarente. Vorochilov, commissaire à la défense soviétique, ordonne un redéploiement des Forces Prolétariennes face à la résistance des peuples des Pays envahis. Partout la guérilla mène la vie dure aux occupants : dans les Carpates, en Dalmatie, dans les Alpes Autrichiennes, dans l’ensemble de la Grèce, en Scandinavie et en Pannonie.
Mars 1942, les troupes de montagne de la 49° division de la Volksarmee et de l’Armée du général Popov envahissent la Suisse pour rejoindre Turin et Milan, et couper ainsi la 10° Armée Française de ses bases. Zurich et Berne sont pillées. L’Armée Helvète se retranche entre Genève et Lausanne. Les refuges souterrains dans lesquels se sont abriter les civiles pour échapper aux combats deviennent des tombeaux : sans état d’âme les Soviets gazent systématiquement toutes les vallées. Meurtres et viols se succèdent dans Berne en feu. Depuis Bruxelles le général Russe Kirponos opère une violente attaque frontale comprise entre Hazebrouck et Maubeuge. Les chars Russes T-34/76 accompagnés par de l’infanterie portée font exploser le front Français. Les Stosstroupen Communistes Allemands prolongent les combats jusqu’à Amiens, où les SA, Sturm Abteilung, d’Ernst Röhm sont casernés. Il s’en suit de durs combats de rue et sur les bords de la Somme entre Allemands Marxistes et Nationalistes. Le Colonel De Gaulle, pour contrer l’assaut Soviétique, lance une attaque de 500 chars B1 bis, Somua, R-35 et G1 bis dans les Ardennes sur les conseils du général Allemands Von Manstein qui reprend le plan du général Joffre de 1914. Partie de Signy-L’abbaye l’offensive Française atteint Chimay, Charleroi, Mons et Tournai et prend de flanc les troupes Communistes passées en France. En une semaine De Gaulle encercle 10 divisions ennemies et fait exploser l’attaque adverse. Le Front se stabilise entre Lille et Charleville-Mézières. L’armée Française contre attaque et atteint Courtrai et Gand.
Mai 1942, l’Inde se déclare indépendante sous l’égide de Gandhi et de Chandra Bose.
Juillet 1942, le Pakistan se déclare indépendant et rejoint le Pacte de Varsovie. Les Armées Soviétiques envahissent alors la Perse, l’Irak et l’ensemble du Moyen-Orient : les Russes contrôlent ainsi le Marché du Pétrole Arabe. Les Compagnies Pétrolières Américaines spoliées de leur “ bien“ en appellent au gouvernement Américain dont l’isolationnisme commence à avoir d’importantes retombées négatives sur l’économie Américaine. Mais l’opinion publique rechigne encore à une entrée en guerre et à la lutte armée.
Décembre 1942, aux Philippines à lieu une explosion dans les soutes du Croiseur “Nevada“. Est-ce un fait de la CIA ? Un sabotage délibéré ? L’acte est imputé à des activistes Communistes. Le prétexte est tout trouvé par le Président Roosevelt pour faire entrer son pays dans la guerre par cet “acte d’infamie“. A partir de là rien ne peut plus stopper le développement de la Machine de Guerre Américaine liée aux profits de la guerre : les porte-avions et les Task Forces navales US sillonnent l’Atlantique et viennent à bout des maigres flottes ennemies qui croisent dans les Océans Atlantiques et Pacifiques.
1943, les Américains soutiennent financièrement et militairement la France et le Portugal, et la ligne de bataille se stabilise sur un front coupant en deux la Belgique et longe le Rhin. Un corps d’armée de Gis débarque à Brest et prend position dans les Ardennes face aux Russes. S’associant aux Australiens et aux Japonais les USA mènent une Guerre “contrôlée“ en Asie, et y financent une guérilla sauvage mais encadrée au Viêt-Nam et au Laos contre les Chinois. Les USA associés aux Anglais Loyalistes, ainsi qu’aux Canadiens, contrôlent entièrement l’Océan Atlantique, et envisagent un débarquement en Terre Britannique. Le Président Roosevelt met un protectorat de fer sur l’ensemble du Continent Américain et cherche à porter la guerre au Moyen-Orient pour reprendre le contrôle du Pétrole Arabe. Le financement de groupes Islamistes terroristes antimarxistes est décrété. Après référendum les Italiens de la Vallée d’Aoste réclament leur rattachement à la France. Celle-ci y construit toute une série de fortifications où s’implantent des troupes de Forteresse. Le long du Rhin les villes de Lörrach, Freiburg, Offenburg et Baden-Baden sont annexées à la République.
En 1945, l’explosion de Trois Bombes Atomiques Américaines en Chine Communiste stoppe l’expansion des Marxistes en Asie. Les Russes sont obligés de se retirer du littoral Chinois sous la menace de bombardements nucléaires. En Amérique Latine les Soviets en sous main financent des groupes d’extrêmes gauche ce qui donne lieu à des “Chasse aux Sorcières“, des massacres et à une répression féroce de la CIA envers les activistes Communistes. L’Arabie, le Moyen-Orient et le Golfe Persique sombrent dans le chaos où s’affrontent milices islamistes, Chrétiennes, Royalistes Arabes et éléments séparatistes juifs. L’Afrique à son tour s’enflamme et seule l’Afrique du Sud reste stable. Le tiers-monde est ravagé par de “sales guerres“ où rien n’est épargné aux civils : exactions, meurtres, viols et exécutions sommaires.
1946, sous la menace d’une guerre Atomique la guerre ouverte s’arrête. Le conflit continue néanmoins sous forme larvé en Afrique et dans les Pays Arabes. L’Algérie et la Tunisie deviennent le refuge des Italiens Royalistes qui sont obligés de quitter la Lybie qui comme l’Egypte devient indépendante et pro Américaine. Seul le Canada reconnait encore l’autorité de la Famille Royale Anglaise. La France devient le sanctuaire des intellectuels Européens de tous poils et représente pour tous les peuples opprimés l’idéal de la Liberté.

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Et si la France était devenue Communiste en 1936 ?

Rien n’aurait pu empêcher l’Internationale Communiste de contrôler l’ensemble de l’Europe. Les USA isolationnistes à outrance, mettant un protectorat de fait sur le continent Américain, entretiendraient de part le Monde une guérilla anti Marxiste financée par la CIA. La planète divisée entre deux idéologies frontalement opposées serait à tout moment exposée à une guerre mondiale. Qui en serait sorti vainqueur….
Altération de l’Histoire alternative. La Révolution Bolchevique Européenne 2.

1930, malgré l’ampleur des fonds d’investissement la crise économique Américaine touche la France de plein fouet. Dans l’Hexagone les Communistes ne manquent pas d’appui : dans de nombreux départements du Centre et du Sud la population se montre ouvertement pro Soviétiques. 37 départements ont une majorité électorale de Gauche. Seule une coalition entre Conservateurs et Socialistes, qui redoutent une prise de pouvoir de l’Extrême Gauche, maintient le pouvoir Républicain en place. L’agitation Ouvrière terrorise la Bourgeoisie qui voit déjà poindre une nouvelle Révolution du type 1789, et la Terreur de 1793 avec son cortège d’assassinats.
1934, la corruption qui mine l’Hexagone, les heurs et les provocations des Communistes Français attisent la peur d’une prise de pouvoir par les Rouges de Maurice Thorez. Les associations des anciens combattants marchent sur l’Assemblée Nationale afin de faire chanceler le régime parlementaire. Mais le Pouvoir Républicain tient bon : les meneurs fascisant sont interpelés et dans le même temps de nombreuses personnalités d’extrême Gauche sont arrêtées et emprisonnées en camps d’internement dans la région de Pau. Des autres activistes de Gauche fuient en Espagne où ils rejoignent les membres du “Poum“. L’Espagne devient démocratiquement Républicaine : les Socialistes et les Communistes prennent le pouvoir : les églises sont pillées et les persécutions contre les Libéraux entrainent leur exile en Amérique du Sud ou en Algérie Française. Le Général Franco est muté au Maroc. Il rassemble autour de lui une multitude de mécontents et fermante un plan de Coup d’Etat soutenu par les Anglais et les Italiens Nationalistes.
Avril 1936, poussée à bout et exaltée par la “Révolution Mondiale“ la Masse Ouvrière Française se soulève contre la main mise du Patronat sur la vie publique. Un ras–le–bol général entraine spontanément une série de mises en grève successives. D’importantes manifestations ouvrières ont lieu dans les grandes villes, et les manifestants les plus virulents établissent des barricades. Les activistes les plus acharnés se réclament des Communards un lance un programme “Fédéral“ pour une République Socialiste dans l’Hexagone. Les revendications salariales et civiles des travailleurs suscitent l’étonnement, le mépris et l’incompréhension des Conservateurs. Des agents étrangers marxistes infiltrent l’hexagone pour y commettre des attentats et encadrer les émeutiers. Combats de rue entre Cagoulards et Communistes. Mai 1936, le “Front Populaire de la Défense des Libertés“ paralyse toute la France. Face au pouvoir Capitaliste la “Masse Salariale“ de toutes les institutions et de toute l’industrie est en grève. Les syndicats, pris de court par cette formidable agitation sociale, tentent de récupérer le mouvement à leur profit. Les Communistes dressent des barricades et défient les Forces de l’Ordre en des affrontements sanglants. Léon Blum, Secrétaire Général du Parti Socialiste, passe plusieurs accords avec les financiers Français : il les rassure quand aux aboutissements des grèves. Il se dénie de toute compromission avec les Communistes pour retourner le Pays et le plonger dans la guerre civile. Le Patronat reste paniqué par les débordements des extrémistes qui déstabilisent le Pays sans favoriser les investissements et le plongent dans le chaos.
Juin 1936, la majorité de population Française Ouvrière peut enclin à négocier après des siècles de servage, multiplie les actions de force et les manifestations. Blum fait plusieurs discours où il appelle le peuple à la raison, mais rien n’y fait. Juillet 1936, Les Communistes relancent la grève. Dans les grandes villes où le climat insurrectionnel est le plus fort, la population lassée par les promesses sans suite du gouvernement donne libre cours à sa furie révolutionnaire. Les bourgeois sont pris à parti. Les financiers fuient aux frontières pour échapper aux lynchages. Beaucoup passent en Suisse. Partout dans l’Hexagone les forces de l’ordre sont dépassées par les émeutes, et beaucoup de policiers et gendarmes issus de la classe ouvrière et de la paysannerie rejoignent “les Forces Progressives“.
Un flottement sans précédent a lieu à la tête de l’état. C’est la panique à tous les niveaux : diplomates, politiciens et fonctionnaires fuient avec femmes et enfants les grandes villes. Certains vont en Belgique, d’autres en Afrique du Nord où le gouvernement s’installe à Alger. Août 1936, Maurice Thorez euphorique et porté par la Révolution, est reçu à Moscou par Trotski. Plusieurs accords sont mis en place pour liquider les Bastions du Capitalisme en Europe : Belgique, Hollande, Rhénanie, Yougoslavie, Grèce, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Luxembourg et Roumanie. La Russie se chargera personnellement de la Finlande et de la Turquie. Maurice Thorez assure Trotski de son entière collaboration en cas de guerre ouverte contre tout ennemi des Soviets, et l’assure que les Communistes Français collaboreront avec les “Forces de Libération Prolétariennes“ qui déferleront sur l’Occident pour écraser le Capitalisme. En province, et plus particulièrement dans le Limousin, où plusieurs dépôts de munitions clandestins Communistes sont installés dans la clandestinité de longue date, pour répondre à l’appel de tout soulèvement, les Communistes livrent des fusils à tous les activistes formés en “Compagnies Prolétariennes“. Ceux-ci investissent les mairies et les préfectures et commencent à fusiller les notables et tous leurs opposants. Septembre 1936, l’insurrection armée des Communistes Français prend alors tout son essor et la France sombre dans la guerre civile. L’armée jusqu’à maintenant tenue à l’écart des affrontements est jetée dans des combats de rue sanglants par ses généraux conservateurs. Mais comme dans les Forces de l’Ordre beaucoup de militaires issus de milieu défavorisés sont touchés par les idées Progressistes. A Langres comme à Rodez de simples soldats passent par les armes leurs officiers sans autre forme de procès. La France se scinde en deux : les conservateurs et les Marxistes. Dans l’Ouest, Bretagne et Vendée deviennent des refuges pour des centaines de réfugiés chrétiens et catholiques : les Marxistes y sont chassés comme des bêtes. La Royale quitte Toulon où un “Comité du Salut Public“ chapote la ville, et rejoints Mer el Kébir. En Espagne Socialistes, Communistes et Anarchistes se déchirent quand à savoir qui doit diriger le Pays : l’Espagne sombre dans la guerre civile où chaque Parti revendique le contrôle des institutions. Le général Franco profite du Chaos pour débarquer en Europe avec ses troupes coloniales et revendiquer le pouvoir. Les Russes, les Italiens et les Allemands avec la Légion “Nibelungen“ envoient des armes, des chars, des avions et des soldats pour aider les Communistes à venir à bout de leurs opposants. De son côté Franco reçoit de l’aide militaire et financière des Italiens Nationalistes du Général Badoglio.

1937, face à l’imbroglio politique Français et à la guerre civile qui ravage le Pays, beaucoup d’Allemands de Rhénanie quittent le Palatinat et le Wurtemberg. Ils partent pour les USA ou l’Amérique Latine. Les Allemands Nationalistes ne se font plus d’illusions quant à leur avenir en Europe, et les Pays jusqu’à lors protégés par la France, se sentant abandonnés, commencent déjà à négocier leur futur statut au sein du Pacte de Varsovie. Seules la Bavière et l’Autriche restent opaques au Communisme et multiplient des annonces diplomatiques où elles invitent les Forces Nationales à radicaliser leurs actions envers les marxistes. Des régiments de Communistes Russes et Allemands pénètrent en Rhénanie et par pelotons indépendants infiltrent l’Est de la France pour aidés à la prise de pouvoir de leurs Frères d’Arme Français. Des combats contre l’Armée Française régulière se déroulent en Alsace et jusqu’à Chaumont. L’Armée française devant faire face à l’invasion et harcelée par des Francs-tireurs perd peu à peu pieds dans un conflit de guérilla urbaine. De nombreux militaires conservateurs passent en Afrique du Nord. En Asie les Russes prennent le Contrôle de L’Afghanistan et de la Mongolie Extérieure, et Trotski apporte son aide au mouvement révolutionnaire de Mao Tsé Toung. Plusieurs délégués des Soviets sont envoyés dans les Pays colonisés d’Afrique et d’Asie pour conserver les Empires Français et Anglais dans leur ensemble et les faire tomber dans le giron Communiste.
1938, Partout en Occident les Commissaires Politiques Soviétiques formatent les mouvements des “Jeunesses Communistes“ afin de rendre leurs jeunes adhérents prodigues de leur sang lorsque le moment sera venu. Les armées des différents Pays du Pacte de Varsovie se préparent à un conflit majeur en vue de “libérer“ les Peuples opprimés par le “Grand Capital“ de par le Monde. Les usines Allemandes, Anglaises et Russes produisent en abondance des armes individuelles, des chars, des canons, des avions pour les “Divisions du Peuple“ dont les généraux mettent sur pieds des plans d’invasion pour l’Europe. Le général Toukhatchevski réorganise l’Armée Rouge pour que joue à plein la Blitzkrieg. En France le “Conseil du Peuple“ décide d’en finir avec “l’Ouest Capitaliste“ : au cours de ce qui devient la “Seconde guerre de Vendée“ tous les départements de Bretagne et des Pays de la Loire sont envahis, pillés et ruinés par l’Armée de la RFF, République Fédérale Française. Meurtres, excusions sommaires, vols et viols viennent à bout de toute résistance. Les églises sont incendiées et le clergé éradiqué. 2 millions de civils sont exécutés. De nombreux Français s’exilent alors depuis Nantes et Brest en Argentine, au Mexique et aux Etats-Unis. Le colonel De Gaulle forme à Boston un Comité de soutien aux exilés. Le Commissaire du Peuple Khrouchtchev établit des “listes“ de personnes à appréhender et à liquider sur l’ensemble de l’Europe par des agents actifs et des troupes spécialisées dans “l’épuration sociale“ : 4 Millions de personnes disparaissent sans laissées de traces. Les “Accords de Munich“ ont lieu où les dirigeants Communistes planifient leurs futures actions militaires et un partage de l’Europe Prolétarienne. Les Jacobins Français se forment en “Milice“ pour traquer leurs opposants.
Mai 1939, après de longues semaines de préparation la RDA et la Russie Soviétique attaquent la Bavière, la Rhénanie, l’Autriche, la Finlande et la Roumanie dans des actions fulgurantes : c’est la Blitzkrieg où l’aviation soutient l’avancée de l’infanterie légère qui fonce à travers les lignes ennemies sans prendre le temps de souffler et exploite directement le terrain. Les différentes armées de des Nations attaquées sont pulvérisées par la surprise et la virulence de l’attaque des troupes Communistes. C’est la débâcle des civils où d’immondes tueries ont lieu. Les restes des Armées Allemandes Nationalistes sont annihilés par la Volksarmee. Le général Hollandais Winckelmann retranche son Armée dans la “Forteresse Hollande“. Juin 1939, Les autorités Américaines et les Canadiennes mettent en placent un embargo maritime militaire pour rendre imperméables leurs Espaces Océaniques aux incursions des navires Marxistes. Déjà des Destroyers Communistes Anglais et des Sous-marins Allemands viennent croiser dans les Eaux Canadiennes et les incidents diplomatiques se multiplient. Les activistes Communistes tentent de rallier à eux les Québécois avides d’indépendance, mais la loi « Cadenas » mise en place par le ministre francophone Duplessis empêche tout débordement socialiste dans le territoire.

Juillet 1939, Les Japonais Impérialistes poussés par un orgueil démesuré attaquent l’URSS depuis la Mongolie pour étendre leur hégémonie sur la Sibérie et faire valoir leur statut de puissance mondiale. Les Soviétiques contre-attaquent dans la foulée avec leurs troupes asiatiques, et le général Joukov annihile toutes les velléités Nippones dans la région en moins d’un mois. Le désarroi est total dans le camp des Nippons, et leur rêve de conquête continentale s’écroule pour se transformer en déroute. Les Communistes Anglais, en concertation avec le polit-bureau de l’internationale Communiste, avec leur maigre flotte maritime s’emparent des Îles Féroé, de l’Islande et de la Norvège, où depuis Narvik ils contrôlent tout l’Atlantique Nord pour lancer des missions commando sur le Groenland. Les Suédois mobilisent leur armée pour parer à toute invasion. Les combats entre Finnois et Russes se poursuivent dans le Golfe de Carélie et finissent par déborder sur tout la Scandinavie qui est envahie dans son ensemble. 1 million de civils sont tués dans les combats.

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Avril 1940, Grande Offensive Soviétique : les Armées Rouges Allemandes écrasent les Armées Belges, Danoises, Suédoises et Hollandaises en 6 semaines dans une déferlante de vagues d’assaut irrésistibles de l’aviation et des chars. Les Communistes Belges collaborent d’entrée avec les envahisseurs et commettent plusieurs attentats qui visent le gouvernement et les membres de la Famille Royale. Maurice Thorez s’empare définitivement du pouvoir au cours d’un discours à l’Assemblée Nationale et proclame la “Révolution Sociale“ au cours d’une manifestation armée dans les rue de Paris. Juin 1940, Les Russes et les Communistes Chinois, en poursuivant les troupes Japonaises en retraite, se lancent à la conquête de l’Asie. Les USA, en sous mains, financent l’Armée Nationaliste Chinoise et le Japon pour que ceux-ci poursuivent la lutte contre les Rouges. Pétrole et matières premières sont acheminées jusqu’à Tokyo via les îles Hawaïennes, Midway et Guam. La Flotte Combinée Japonaise lance plusieurs attaquent aéroportées contre Vladivostok et coule toute la marine Soviétique dans le Pacifique au cours de la bataille de Sakhaline.

Juillet 1940, la Flotte Française soutenue par la Royal Navy et les flottes Royale Serbes et Grecques sillonne la Mer Méditerranée pour parer à toute invasion du Maghreb où les Français conservateurs se regroupent autour du Maréchal Pétain. Août 1940, en Espagne les Forces du Général Franco prisent dans la tourmente de la guerre civile se regroupent et rejoignent le Maroc espagnol. Le leader du Parti Ouvrier Espagnol d’Unification Marxiste : Andreu Nin, devient le dirigeant de la Républiques Socialiste Espagnole. Les autres chefs de parti ont été éliminés et une répression sanglante à lieu contre les Basques et les Catalans qui cherchent à s’émanciper de l’unification Marxiste Ibérique. Octobre 1940, les Hongrois dirigés par Ernö Gero et les Polonais de Witold Pilecki se joignent aux armées Soviétiques du Commissaire Khrouchtchev qui combattent la guérilla Serbe et Croate dans les Balkans et le long de la Côte Adriatique.

Février 1941, Des éléments Italiens Nationalistes sous la protection de la Royale Française, aidés par un Corps Blindé Anglais Royaliste sous les ordres du général Gort débarquent en Sicile : Plusieurs affrontements ont lieu entre les Anglais et les Italiens Marxistes jusqu’à Palerme. Des Régiments Allemands Communistes foncent depuis le Col du Brenner à travers la péninsule Italique pour stopper les “Fascistes“ qui sont obliger de rembarquer. De nombreux troubles indépendantistes éclatent dans tout le Moyen-Orient où les leaders Arabes aidés par des subsides Soviétiques soulèvent les “Peuples Opprimés“ contre les derniers Occidentaux qui tiennent les Pays et appellent au Djihad. Mars 1941, les Armées Russes s’emparent des Balkans : La Roumanie, La Bulgarie et la Grèce sont submergées par la puissance de l’attaque des Armées Blindées Communistes du Général Timoshenko. La Yougoslavie explose en une multitude d’états revendiquant leurs autonomies. Les Balkans s’embrasent dans une guérilla aussi brutale que sanglante. Les Grecs Nationalistes se regroupent en Crête où leur ravitaillement est assuré par la marine Française depuis Alger.

Février 1942, les Armées Russes du Général Yérémenko contrôlent les côtes de la Mer Noire et occupent la Turquie Européenne, s’ouvrant ainsi les “Détroits“ et permettent à la Flotte Rouge d’Odessa de naviguer en Méditerranée et d’attaquer les Flottes Occidentales. Plusieurs navires de toutes nationalités sont coulés au cours de sanglantes batailles navales où les porte-avions jouent un rôle essentiel dans les combats. L’île de Malte devient le pivot de tous les engagements. La Royale arrive à contenir la poussée des Soviets en Méditerranée Occidentale. Les troupes Soviétiques du général Yakovlev entrent en Syrie, repoussent les maigres troupes Françaises Conservatrices qui y séjournent, et s’emparent du Moyen-Orient. Des Divisions Italiennes Nationalistes de “Chemises Noires“ sous les ordres du Général Messe débarquent à Anzio et entrent dans Naples.
Des Compagnies Anglaises Conservatrices sous les ordres du général Wavell attaquent les forces Marxistes à Foggia et s’emparent des villes du Golfe de Tarente. Vorochilov, commissaire à la défense soviétique, ordonne un redéploiement des Forces Prolétariennes face à la résistance des peuples des Pays envahis. Les troupes Capitalistes sont alors repoussées d’Italie. Partout la guérilla mène la vie dure aux occupants : dans les Carpates, en Dalmatie, dans les Alpes Autrichiennes, dans l’ensemble de la Grèce, en Scandinavie et en Pannonie. Mars 1942, les troupes de montagne de la 49° division de la Volksarmee et de l’Armée du général Popov envahissent la Suisse. Zurich et Berne sont pillées. L’Armée Helvète se retranche entre Genève et Lausanne. Les refuges souterrains dans lesquels se sont abriter les civiles pour échapper aux combats deviennent leurs tombeaux : sans état d’âme les Soviets gazent systématiquement toutes les vallées. Depuis Badajoz en Espagne le général Russe Kirponos opère une violente attaque frontale contre le Portugal. Les chars Russes T-34/76 accompagnés par de l’infanterie portée emportent la décision en 2 semaines. Lisbonne est ravagée et un grand nombre de Portugais fuient au Brésil. Mai 1942, l’Inde se déclare indépendante sous l’égide de Gandhi et de Chandra Bose. Juillet 1942, le Pakistan se déclare indépendant et rejoint le Pacte de Varsovie. Les Armées Soviétiques envahissent la Perse, l’Irak et l’ensemble du Moyen-Orient : les Russes contrôlent le Marché du Pétrole. Les Compagnies Pétrolières Américaines spoliées de leur “ bien“ en appellent au gouvernement Américain.
1942-1945, Les USA mettent tout le continent Américain sous protectorat et prennent le contrôle de tout l’océan Pacifique. Ils aident les Japonais, les Indonésiens, les Indiens, les Malaisiens, les Birmans et les Australiens dans leurs luttes contre les Communistes.

En 1949, après de durs combats entre Nationalistes et volontaires étrangers contre Communistes de tous horizons, la Chine et la Corée deviennent entièrement Communistes, comme toute l’Asie du Sud-est. La guerre s’arrêtera sous la menace de l’éclatement d’une guerre nucléaire, et des accords de paix seront signés où chaque belligérant campera sur ses positions : Bloc Communiste contre le “Monde Libre“. L’Afrique Noire en proie à de violentes revendications sociales sombres dans des conflits larvés où Communistes Indigènes, Arabes ou Noirs, combattent les Forces Coloniales Nationalistes qui se maintiennent un temps avec l’aide Américaine. Le Maghreb dans son ensemble finit par rejoindre le “Pacte de Varsovie“. L’Amérique Centrale sera à son tour touchée par la Révolution Marxiste sous l’égide d’Eden Pastora : le Commandant Zéro. La CIA opérera de sanglantes répressions.
En France, Georges Séguy prend le pouvoir et s’oppose à la “Révolution Culturelle“ de Mai 1968. Cet élan de liberté qui plonge l’Europe entière dans une violente répression Marxiste. Il faudra attendre le 10 Mai 1981 pour que le Secrétaire Général du Parti Communiste Français : François Mitterrand, tirant intelligemment parti des leçons du passé ouvre son Pays à une forme de libéralisme, qui sera le départ à un réchauffement des relations entre l’Amérique et l’Europe. Plusieurs accords diplomatiques seront signés entre les Américains et les Sociaux-Libéraux qui déboucheront sur la fin de la Guerre Froide en 1989.

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Altération de l’Histoire Alternative, Révolution Trotskiste Mondiale, Et si :

La Révolution Bolchevique Européenne 3 :

En 1943, les Armées Communistes Françaises, Espagnoles et Italiennes débarquent au Maghreb et s’emparent d’Alger et de toute l’Afrique du Nord. Poussés à la révolte par les Activistes Marxistes les Maghrébins massacrent les Européens par centaines. Ces derniers ne trouvent leur salut que dans l’exode vers les USA et l’Amérique Latine. La Marine Française Loyaliste va mouiller à Point-à-Pitre et reste sous le contrôle du gouvernement Conservateur.
La Guadeloupe et la Martinique deviennent le refuge de tous les Métropolitains qui ont liés leur sort à celui du Maréchal Pétain. En Europe 2 millions de personnes “disparaissent“ lors de purges anti libérale. Les Russes depuis le Moyen-Orient s’emparent de l’Egypte et jettent leur dévolu sur l’Arabie. Algérie, Tunisie, Lybie et Maroc sont conquis, et l’Afrique Noire Française passe sous domination Marxiste durant l’année 1944. Les Italiens et Anglais Royalistes Conservateurs, Impérialistes et Capitalistes fuient en Amérique Latine. Seule l’Afrique du Sud, les Rhodésie du Nord et du Sud, et la Namibie soutenues par les Américains résistent à l’expansion Communiste. Une base aéronavale Américaine est installée au Cap.

8 Mai 1945, Les USA mettent tout le continent Américain, ainsi que les Antilles sous protectorat, et assoient leur contrôle sur tout l’Océan Pacifique. Ils aident les Japonais, les Indonésiens, les Thaïlandais, les Indiens et les Australiens dans leurs luttes contre les Communistes. Les GIs débarquent en Islande et chassent la maigre garnison Anglaise Communiste qui s’y trouve. L’Océan Atlantique devient chasse gardée des USA. L’Amiral Darlan succède au Maréchal Pétain et instaure un régime autoritaire sur l’ensemble des Territoires contrôlés par les Nationalistes Français.

En 1950, après de durs combats entre d’un côté Nationalistes et volontaires étrangers contre Communistes de tous horizons de l’autre : la Chine et la Corée deviennent entièrement Communistes. Le Viêt-Nam et toute l’Indochine sont ravagés par une guerre abominable où les USA engagés depuis 1946 contre le Viet-min maintiennent des dictatures financées par la CIA. La région est ravagée par des bombardements au napalm et des bombes bactériologiques. Taiwan devient la terre d’accueil du gouvernement Nationaliste Chinois.

1965, début de la guerre Indo-pakistanaise : l’Inde est soutenue par les USA et le Pakistan par le Pacte de Varsovie. La guerre d’une violence inouïe déborde sur l’Himalaya.
Mort de Trotski. Son inhumation donne lieu à de grandes festivités de part le Monde et à des défilés militaires sans précédent. Son successeur Nikita Kroutchev continue la guerre.

1974, Georges Marchais devient le chef du gouvernement de la République Fédérale Française. Le “Système“ rigide de la Révolution Marxiste ne s’assouplira en France qu’à partir de 1995 avec l’arrivée au pouvoir de Marie-Georges Buffet qui, avec le concours de Martine Aubry, ouvre la France à des réformes sociales et civiles auxquelles le Peuple aspire depuis des années. L’élection d’une femme à la tête du Parti Communiste Français est une forme de révolution en soit. Cela c’est rendu possible avec le soutien de réformateurs et la mort des anciens apparatchiks du Parti. Soutenu par son père, et à force d’abnégation, Martine Aubry finit par accéder à la tête de la République Fédérale et Démocratique Française. Elle entame alors avec son homologue Allemande Angela Merkel toute une série de sommets politiques qui aboutissent à la réforme des institutions du Marxisme-léninisme. Les deux femmes qui ont du batailler et se sont montrées obséquentes dans le milieu politique masculin se comprennent fort bien. Elles sont pour la paix avec les USA, et pensent qu’un peu de libéralisme peu relancer l’activité économique de leurs pays respectifs qui stagne depuis 1980. Si le Communisme a fait prospérer la classe ouvrière dans le juste après-guerre, la formule de la gestion des entreprises par des “Conseils d’Ouvriers“ a fini par s’essouffler au fils des années, pour totalement s’effondrer par rapport à la montée en flèche du niveau de vie des Nations du “Monde Libre“. Le Communisme a fini par se scléroser en ayant à sa tête des hommes politiques qui, bénéficiant de tous les avantages du régime, ne voulaient surtout pas laisser leurs places à la tête du Parti. En s’appuyant sur la dictature pour que rien ne change ils ont pu conserver tous leurs acquis : vacances sur les bords de la Mer Noire, voitures de luxe, villa sur la Côte d’Azure, etc….
Au lieu de progresser l’idée du Marxisme a périclité et la classe ouvrière, au fait des activités combinardes de ses dirigeants, s’est laissée aller, désabusée, à un fonctionnariat ronflant. La France et l’Allemagne finissent donc par créer un “Marché Commun de Libre Echange“ avec les Etats-Unis. Sautant sur l’occasion les autres pays du “Pacte de Varsovie“ emboitent le pas à leurs précurseurs. Dans toute l’Europe les peuples des différentes nations en ont assez d’un régime où l’individu ne peut mettre en avant ses capacités de travail pour lui-même.
C’est le “Réveil des Peuples“ et le “Printemps des Nations“. Les Russes se rendent compte que le phénomène est irréversible et qu’une intervention militaire ne servirait à rien. Comme ils ne veulent pas être en reste les Russes sont les premiers à passer des contrats avec les Américains et les Chinois Nationalistes de Taïwan. Commence alors toute une série de sommets diplomatiques et un réchauffement politique entre l’Europe et l’Amérique.

1979, les Chinois se détachent des nouveaux hiérarques Russes qu’ils jugent trop protectionnistes. Selon les dirigeants Chinois les Asiatiques doivent être dirigés par des Asiatiques. Le Fleuve Amour devient une zone de tension entre Maoïstes et Trotskistes. Cet état des choses met fin à la guerre d’Indochine où sont implantées des bases US. Les Américains soutiennent les Chinois contre les Russes et leurs fournissent du matériel et une logistique militaire. Les USA sont trop heureux de gripper les rouages du Marxisme.

1981, accords diplomatiques entre les Chinois et les USA : Les Chinois sortent du Pacte de Varsovie et la Chine devient neutre. Plusieurs accords commerciaux sont signés. Les Américains s’engagent à développer le littoral Chinois et à y implanter des sites industriels de libre échange entre le “Monde Libre“ et l’Asie.

Entre 1960 et 1987, l’Amérique Centrale et Cuba seront à leur tour touchées par la Révolution Marxiste sous l’égide de Fidèle Castro, de Guevara et plus tard d’Eden Pastora : le Commandant Zéro. La CIA opérera de sanglantes répressions qui ne laisseront aucune chance aux Putschistes et instaurera des dictatures militaires dans toute la région. Plus de 2 millions de civils sont tués dans les combats. En France, Georges Séguy prendra le pouvoir et s’opposera à la Révolution Culturelle de Mai 1968 qui selon lui est dirigé par des activistes libéraux et des fils de bourgeois ordinaires. Le Printemps des Nations n’aura pas lieu, et un mouvement contraire à toute forme de protestation plongera l’Europe entière dans la répression Marxiste. La torture est toujours une chose courante dans le Monde.

En 1989, la guerre s’arrête sous la menace de l’éclatement d’une guerre nucléaire. Des accords de paix sont signés où chaque belligérant campe sur ses positions : Bloc Communiste Russe contre “Monde Libre“. Des Hommes comme Franco, Darnand, Léon Degrelle, Quisling, Doriot, Déat, Deloncle, Mussert, ou encore Salazar en “Terre d’Exile“ rassemblent autour d’eux des Activistes Fascistes qui formés en commandos se lancent dans des actes de terrorisme ou d’enlèvements à travers le monde pour éliminer des militants Marxistes. La population Juive d’Europe qui a pu fuir les exactions Marxistes s’installe en Australie, en Afrique du Sud ou aux Etats-Unis. L’Afrique Noire en proie à de violentes revendications sociales, politiques et raciales interethniques sombre dans des conflits larvés où chaque clan, chaque tribu veut se démarquer de son voisin. L’Afrique du Sud et les USA après une courte guerre s’emparent de l’Angola et du Mozambique. Le Secrétaire d’état Mitterrand avec tout l’appui des USA devient le nouveau représentant de“ l’Union de la France Libre“ qui englobe les Antilles, l’île de Clipperton, la Guyane, Saint-Pierre et Miquelon, la Terre Adélie, la Nouvelle Calédonie, les Iles Australes et la Polynésie. Madagascar et l’Ile de la Réunion sont naturellement devenues Communistes en 1949. La Polynésie est maintenue sous le contrôle des Américains qui y ont établi une base aéronavale.
En 2002, en Europe les premières élections libres sont Françaises et amènent au pouvoir une coalition de Sociaux libéraux qui ouvrent le marché économique à l’importation de produits Américains. Des entreprises US s’installent dans l’Hexagone. En moins de 5 ans le pouvoir d’achat des Européens bondit de 20%, et les élections de Mai 2007 entérinent la Libéralisation
de l’économie en portant à la Présidence un gouvernement “Capitaliste“.

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Altération de l’Histoire Alternative, Révolution Trotskiste Mondiale 2, Et si :
La Révolution Bolchevique Européenne 4 :

En 1943, les Armées Communistes Françaises débarquent au Maghreb et s’emparent d’Alger et de toute l’Afrique du Nord. Poussés à la révolte par les Activistes Marxistes les Maghrébins massacrent les Européens par centaines. Ces derniers ne trouvent leur salut que dans l’exode vers les USA et l’Amérique Latine. La Marine Française Loyaliste va mouiller à Point-à-Pitre et reste sous le contrôle du gouvernement Conservateur. Le Flotte Russe de la Mer Noire prend le contrôle de toute la méditerranée. La Guadeloupe et la Martinique deviennent le refuge de tous les Métropolitains qui ont liés leur sort à celui du Maréchal Pétain. En Europe 2 millions de personnes “disparaissent“ lors de purges anti libérale. Les Russes depuis le Moyen-Orient s’emparent de l’Egypte et jettent leur dévolu sur l’Arabie. Algérie, Tunisie, Lybie et Maroc sont conquis, et l’Afrique Noire Française passe sous domination Marxiste durant l’année 1944. Les Italiens et Anglais Royalistes Conservateurs, Impérialistes et Capitalistes fuient en Amérique Latine. Seule l’Afrique du Sud, les Rhodésie du Nord et du Sud, et la Namibie soutenues par les Américains résistent à l’expansion Communiste. Une base aéronavale Américaine est installée au Cap.

8 Mai 1945, Les USA mettent tout le continent Américain, ainsi que les Antilles sous protectorat, et assoient leur contrôle sur tout l’Océan Pacifique. Ils aident les Japonais, les Indonésiens, les Thaïlandais, les Indiens et les Australiens dans leurs luttes contre les Communistes. Les GIs débarquent en Islande et chassent la maigre garnison Anglaise Communiste qui s’y trouve. L’Océan Atlantique devient chasse gardée des USA. L’Amiral Darlan succède au Maréchal Pétain et instaure un régime autoritaire sur l’ensemble des Territoires contrôlés par les Nationalistes Français. En Août 1945, les explosions de deux Bombes Atomiques Américaines en Chine Communiste stoppent l’expansion des Marxistes en Asie. Les Russes sont obligés de se retirer du littoral Chinois sous la menace de bombardements nucléaires. Les Américains se refusent cependant à employer leur bombe A en Europe. Néanmoins les Soviétiques prennent peur et stoppent leurs attaques directes de par le Monde privilégiant la lutte armée de groupuscules et le terrorisme. Trotski enrage et exigent que les meilleurs ingénieurs et scientifiques Soviétiques travaillent sur une arme pouvant rivaliser avec la bombe Us. En Amérique Latine les Allemands de la Volksarmee financent-en sous main des groupes d’extrêmes gauche pour renverser les gouvernements en place. Cela qui donne lieu à des “Chasse aux Sorcières“, des massacres et à une répression féroce de la part de la CIA envers les activistes Communistes. L’Arabie, le Moyen-Orient et le Golfe Persique sombrent à leur tour dans le chaos où s’affrontent milices islamistes, Chrétiennes, Royalistes Arabes et éléments séparatistes juifs. L’Afrique s’enflamme et seule l’Afrique du Sud reste stable grâce au soutien logistique des USA. Le tiers-monde est ravagé par de “sales guerres“ où rien n’est épargné aux civils : exactions, meurtres, viols et exécutions sommaires De durs combats ont lieu en chine Continentale entre d’un côté Nationalistes et volontaires étrangers sous les ordres du général Mac Arthur contre les Troupes Communistes de Mao Tsé-toung de l’autre : la Chine et la Corée deviennent des champs de batailles où les bombardiers Us déversent des tonnes de bombes incendiaires sur les villes et les villages rebelles ou considérés comme tel.
Le Viêt-Nam et toute l’Indochine sont ravagés par une guerre abominable où les Français Nationalistes engagés depuis 1946 contre le Viet-min maintiennent des dictatures corrompues financées par la CIA. La région est ravagée par des bombardements au napalm et des bombes bactériologiques. Taiwan devient la terre d’accueil du gouvernement Nationaliste Chinois et des opposants Asiatiques au régime Marxiste.

Le 12 Août 1953 explose la première bombe atomique Russe. Trotski exulte. Mais le moment n’est pas encore venu d’une attaque directe contre les USA.

10 mai 1955, Les ingénieur Sergueï Korolev, Valentin Glouchko et Andreï Tupolev qui travaillent sur un engin ou une arme susceptible de répondre au “projet Manhattan“ Américain avertissent le Polit Bureau qu’ils sont sur le point, dans le plus grand secret, d’aboutir à un résultat. Trotski réunit un comité restreint de travail qui met au point un plan visant à éradiquer la menace Américaine et la propagation du Marxisme sur l’ensemble de la planète. Partout en Afrique et en Asie les “sales guerres“ déciment les populations. Les Américains lâchent une nouvelle bombe A sur le sol Chinois pour stopper le ravitaillement des “Viets“ en Indochine sans pour cela éviter la prise d’Hanoï pour le Vietminh.

1956-1957, l’Afrique est à feu et à sang où chaque chef de tribu, chaque dictateur soutenu par un camp ou l’autre massacre ses opposants. L’Asie ravagée par le conflit ne compte plus un seul gouvernement légitime. 4 Octobre 1957, depuis le site de Baïkonour sont tirés des “Fusées Balistiques Stratosphériques R7“. Elles prennent la direction de New-York, Washington, Chicago, Boston et San Francisco. Les Fusées R7 sont porteuses d’Ogives Nucléaires misent au point par le scientifique Andreï Sakharov : 4 millions de personnes sont tuées dans les explosions. Totalement pris au dépourvu les Américains sombrent dans la panique mais ne restent pas sans réponses. Aucune retenue n’est plus de mise. Des bombardiers B-29 s’envolent depuis le Canada pour des missions suicides par delà l’Océan Atlantique : Londres, Paris, Madrid et Berlin disparaissent au cœur de champignons atomiques : 20 millions de personnes meurent dans les explosions ou suite à la cause. L’un des B-29 décollant depuis le Japon lâche une bombe H sur Vladivostok qui est rayée de la carte. En réponse de nouvelles R7 tombent respectivement sur Tokyo, Taiwan, Honolulu et Los Angeles faisant 2 millions de morts. Pour faire face à de nouveaux raids aériens Américains les Russes mettent en service le MIG-15 : un super intercepteur à réaction prompt à détruire en vol les “Superforteress“. Dans la foulée la Kriegsmarine s’assure de la maîtrise de l’Océan Atlantique tandis que la Flotte Pacifique Russe s’empare des archipels de l’Océan du même nom. Les fusillés-marins Russes débarquent en Alaska, foncent à travers le Canada et prennent la base aéronavale de Churchill. Partout dans le monde les Soviets relancent leurs offensives. Les Cubains de Fidel Castro s’emparent du pouvoir à la Havanes. Ernesto Guevara dit le “Che“ exporte la révolution en Amérique du Sud qui s’enflamme dans la guérilla.

1958-1960, la planète est ravagée par la guerre nucléaire : 3 bombes H explosent à Dresde, à Bordeaux, port de guerre, et Varsovie suite à des bombardements US. Les Etats-Unis repoussent plusieurs débarquements Marxistes en provenance de Cuba. L’Afrique, l’Europe et l’Asie passent entièrement sous le contrôle des Communistes : 80 millions de personnes de par le monde sont déportées en camps de concentration pour y être rééduquées : 40% y meurent de privations, tortures ou maladies. Du aux conséquences de la guerre l’Afrique perd les 60% de sa population, l’Asie 45% et l’Europe 30%.

1961, Vassili Michine qui a rejoint le groupe des savants Russes de Baïkonour réalise la mise en œuvre de la “Fusée Vostok“ : une bombe balistique stratosphérique autopropulsée.
La “Roquette Spatiale“ transportera la “Tsar Bomba“ une bombe thermonucléaire de 100 mégatonnes que réalise Igor Kurchatov. Deux de ces engins explosent le 31 Octobre 1961 : l’un au-dessus de Pittsburg et l’autre à la verticale de Denver à 4000 m d’altitude. Les explosions font au total 2 millions de morts. Leur rayon est de 7 Km et des retombées radioactives sont ressenties sur 180 Km autour des impacts. Durant la même période des bombardiers Tupolev 95 déversent des tapis de bombes A sur les côtes Est et Ouest des USA : Les USA et l’Amérique du Nord deviennent une terre stérile où règne “l’Hiver Nucléaire“. Seules quelques bourgades subsistent en leur centre et dans le Nord Canadien. Les Soviets et les Cubains débarquent à Miami et à La Nouvelle Orléans. Ils s’emparent de ce qu’il reste d’un état qui n’existe plus. De son côté le “Che“ fait triompher la révolution Marxiste en Amérique Latine. Les retombées radioactives sur l’ensemble de la planète feront dans les années à venir 30 millions de morts par cancer. Les animaux encore sauvages disparaissent au deux tiers. Les cultures touchées par les radiations végètent. De nombreux êtres humains deviennent stériles et des milliers d’enfants naissent mort-nés.

1962, les Soviets ont conquis le Monde et règnent sur l’ensemble des Nations. Des Commissaires Politiques régissent des Conseils qui tirent leur ligne de conduite du Polit bureau qui réfléchit aux destinées de la planète depuis Moscou.

1969, Les Soviétiques marchent sur la Lune et se lancent dans la conquête de l’Espace.

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Histoire alternative. Le Triomphe de la Volonté.

Et si Hitler avait réussi son coup d’état en 1923 en Bavière….

La prise du contrôle de la Bavière par les Nationaux-Socialistes ouvre à ceux-ci plusieurs opportunités politiques dans les autres Lander. Hitler organise alors la mise en place de sa politique aidé en cela par son ami le diplomate Max Erwin Von Scheubner-Ritter. Par la force ou par la voie des urnes les nazis finissent par s’imposer dans toutes les assemblées Allemandes. Partout ils éradiquent les mouvements Communistes et obtiennent le soutient des affairistes. Ernst Röhm, chef des “sections d’assaut“ du parti nazi, mène sur l’ensemble du Reich une véritable chasse aux soviets. Erich Von Ludendorff est élu président de la République aux cours d’élections anticipées qui rassurent les capitalistes. L’image du général tranquillise les classes moyennes et les bourgeois qui lui apportent tout leur soutien face aux marxistes. Au printemps 1924 il nomme, comme convenu par les cadres du parti nazi, Adolf Hitler Chancelier du Reich. Celui-ci intelligent s’empresse de signer un acte de neutralité avec la Russie Soviétique en cas de conflit entre celle-ci et les Puissances Occidentales. Obséquieux il rassure les Français et les Anglais quant à ses intentions gouvernementales : Hitler s’empresse de ratifier le pacte de Locarno et d’adopter le “Plan Dawes“ contre l’hyperinflation, et fait entrer l’Allemagne dans la Société des Nations. La politique économique de La République Allemande se vassalise les masses salariales et rassure les investisseurs étrangers qui voient dans le nazisme un régime autoritaire certes, mais solide, et prompt à faire de l’Allemagne un barrage actif contre le Communisme. Hitler justifie le non payement de l’intégralité la dette de guerre dans le fait que l’Allemagne a besoin de son argent pour se reconstruire afin de jouer à plein son rôle d’état tampon contre le Bolchevisme. Parallèlement à tout cela Hitler signe des accords secrets avec les Russes où l’armée de la Reichswehr va s’entrainer en territoire Soviétique contre des denrées alimentaires et des matières Premières usinées. De 1924 à 1929 l’Allemagne connait un redressement économique fulgurant grâce aux capitaux étrangers qui investissent dans l’industrie Allemande. Hitler écrit Mein Kampf depuis la Villa de Wansee. Le livre est diffusé dans tout le milieu élitiste Germanique. Hitler y écrit clairement qu’il veut l’hégémonie de l’Allemagne sur le Monde. Ernst Röhm qui représente l’aile gauche du parti nazi part en Amérique Latine où s’est établie une forte colonie Allemande. Röhm qui prêche pour une révolution nationale totale fait peur aux grands bourgeois. Hitler qui veut l’éloigner pour un temps lui confit alors la mission de monter dans le sous continent latin des bases de renseignement aptes à favoriser l’implantation de l’idéal fasciste. Le chef des SA s’installe donc au Paraguay où le gouvernement local du président German Busch fait un pont d’or à l’envoyé du Reich. Plusieurs contrats sont passés avec l’Allemagne : des matières premières sont échangées contre de l’armement et la mise en place d’une structure d’encadrement de l’armée. En tant qu’ancien officier d’état major de la Reichswehr et du renseignement Röhm s’acquitte sans problème de sa tache. De plus pour le flatter sans le vexer du fait de son éloignement Hitler lui a présenté ce travail comme d’une importance extrême. En 1925 Hitler a en fin politique signé le Traité de Locarno sans sourciller mais en lui apportant plusieurs modifications. En 1929 du fait de la crise mondiale l'économie allemande plonge dans la récession : baisse de la production, et des prix dans l'industrie et dans l'agriculture. L’Etat voit donc ses recettes diminuer par la baisse de l'activité et donc des prélèvements fiscaux. Hitler suspend donc les versements du à la dette de guerre arguant que l’Allemagne n’a plus les moyens de payer. Face à ces difficultés, le gouvernement du Reich opte pour une politique de déflation et de restauration de l'équilibre budgétaire. Le gouvernement décide également de limiter les importations afin de limiter l'endettement extérieur.
Hitler accuse les spéculateurs juifs de tous les maux qui s’abattent sur l’Allemagne. Il réclame le pouvoir absolu pour lui permettre de sauver l’Allemagne du désastre en instaurant le plein emploi. Lors d’un discours devant le Reichstag le 30 janvier 1933 Hitler accepte le poste de Führer du Peuple Allemand à condition de procéder à un référendum où il lui serait donné les pleins pouvoirs. Mais il n’en dit pas plus, ni n’en demande pas plus. Patient il attend son heure. Dès le 4 février 1933, certains journaux ayant encore une certaine liberté d’opposition sont interdits. Le 27 février 1933, le bâtiment du Reichstag est incendié par un chômeur communiste néerlandais, manipulé par le contre-espionnage allemand. Le lendemain, un décret présidentiel, le Reichstagsbrandverordnung, restreint les libertés individuelles. Hitler accuse des terroristes communistes clandestins de cet incendie. Il fait suspendre la liberté d’opinion le 28 février 1933, ce qui permet d’arrêter de nombreux antinazis de tous bords. Malgré le climat de terreur, le 23 mars 1933, la loi « sur la suppression de la misère du Peuple et du Reich » lui accorde les pleins pouvoirs pour une durée indéterminée par 441 voix contre 92. Le 12 novembre 1933, de nouvelles “ élections “ au Reichstag sont organisées sur une liste unique ne comportant que des nazis qui sont élus avec 92 % de “ oui “. Hitler supprime alors les Assemblées dans les Länder et dote l’Allemagne d’une administration centralisée. Conformément à sa stratégie, Hitler a accédé au pouvoir par la voie légale, sur un programme démagogique et populiste, avec l’aide des partis politiques de la droite et du “ Zentrum “, comme rempart contre le chaos et le communisme. Le 15 Février 1933 Franklin Delano Roosevelt, président des Etats-Unis d’Amérique est assassiné à Miami par l’anarchiste Italien Joseph Zangara. Roosevelt succédait à Herbert Hoover qui n’avait pas su éviter la crise économique qui mine les USA. Le Vice Président John Garner remplace alors Roosevelt à la tête de l’état, et met en place le système du New-Deal sans être vraiment convaincu du bienfondé du Programme de son prédécesseur.

Le 14 juillet 1933, le Parti nazi devient le seul parti légal en Allemagne : son emblème et son idéologie sont présents partout. Hitler instaure une politique raciale et discriminatoire portée par la certitude que le Peuple Allemand est fait pour diriger le Monde. Le président Ludendorff meurt en 1937, et les élections présidentielles sont supprimées. Hitler cumule alors les deux fonctions : Président de la République et Chancelier sous le nom de Reichführer. Près de 90 % des électeurs approuvent ce bouleversement constitutionnel par référendum. Par le « Führerprinzip », il affirme n'être responsable de ses discisions devant personne. Dès lors, on parle de “Troisième Reich“, même si formellement la République de Weimar n'est pas abrogée par les nazis. Hitler sur l’insistance de l’Amiral Donitz lance le programme du “Plan Z“ afin de renforcer la flotte de guerre Allemande. Un porte-avions ainsi que plusieurs cuirassés de poche sont mis en chantier, afin officiellement de renforcer la Flotte Baltique pour faire face aux Russes. Les Anglais convaincus de la bonne foi d’Hitler laisse faire bien que Wilson Churchill journaliste, ancien militaire et homme politique s’inquiète de l’essor de la marine de guerre du Reich. En 1934, un coup d’état militaire fomenté en sous main par les nazis échoue en Autriche, les Italiens menaçant d’intervenir pour préserver l’indépendance Autrichienne. Face à cette situation Hitler décide de s’allier le Duce : il multiplie les sommets politique avec les transalpins, leurs apporte une aide matérielle sur le plan militaire et les soutiens dans leur revendication quant à la conquête de l’Ethiopie. Les Etats-Unis pour leur part s’engagent par le vote de “l’acte de Neutralité“ à ne soutenir aucun belligérant dans un conflit venant à éclater et à ne pas fournir d’armes. Ils renforcent ainsi leur isolement tant politique que militaire qui comme le pense un grand nombre de Sénateurs peut amener au redressement du pays. Dans le même temps Hitler signe un accord de paix avec la Pologne, acte qui rassure et enthousiasme les Franco-anglais et ouvre au Führer des perspectives diplomatiques inespérées dans ses revendications territoriales.
Le 30 Juin Hitler, avec l’appui des Schutzstaffel, SS sous les ordres de Himmler, se débarrasse des dirigeants de la SA au cours de la “Nuit des longs Couteaux“. Röhm de retour en Allemagne et trop virulent avait fini par s’aliéner les militaires et la bourgeoisie. Hitler était accusé de ne pas tenir les troupes armées de son parti. Himmler prend alors un ascendant considérable dans le parti. Il aime parader et fait faire la coupe des uniformes de ses hommes par le couturier Hugo Boss. Le rendu est impeccable. En 1936 Hitler réinstaure le service national, et l’armée Allemande réoccupe la Rhénanie sans que ni la France ni l’Angleterre ne proteste. Par son jeu politique Hitler arrive à convaincre ses partenaires étrangers qu’il est le garant de la République et de l’ordre en Allemagne. En alternant tour à tour les discours virulents où il se plaint de “l’étranglement“ de l’Allemagne sur le plan mondial par les Capitalistes Occidentaux et juifs, et des sommets européens où tout de miel il joue la carte du rempart contre le Bolchevisme Hitler satisfait tous ses interlocuteurs. La signature du pacte anti-Kominterm avec le Japon et l’Italie vient renforcer sa position militaire. Le Japon entré dans l’ère “Showa“ adopte le concept d’Akke Ichi’u où il est défini que les Nippons sont de race supérieure et doivent diriger l’Asie. L’expansionnisme Japonais date de 1895 où l’Empereur fait appel à l’architecte naval Français Gautier pour construire une flotte de Guerre. Cette même flotte servira à défaire les Russes du Tsar, à couvrir l’invasion du continent Asiatique et à s’emparer des possessions Allemandes dans le Pacifique. Aux Etats-Unis le Républicain Landon est élu président face à un Garner qui n’a pas su sortir son pays de l’impasse économique. Landon ancre encore plus son pays dans l’isolationnisme. Mussolini doit beaucoup à Allemagne pour son soutien politique et militaire dans sa conquête de l’Ethiopie. Le Duce devenu l’allié privilégié d’Hitler ne s’oppose plus aux revendications Allemandes sur l’Autriche. Pendant la guerre du “Chaco“ opposant la Bolivie et le Paraguay le Reich fournit un soutien logistique conséquent au général Rafael Franco qui repousse les Boliviens soutenus par la Standard Oïl Américaine. L’aide militaire extérieure Allemande soutient aussi en Espagne le général nationaliste Francisco Franco y Bahamonde qui s’oppose aux Marxistes. La “Légion Condor“ regroupant des régiments d’infanterie, des blindés et de l’aviation prend part aux combats aux côtés de troupes Italiennes contre les “Brigades Internationales“ et met ainsi en pratique la protoblitzkrieg qui, pour Hitler et le maréchal Keitel, doit servir de modèle d’action pour les conflits à venir.

En Mai 1937, commencement de la Guerre Sino-japonaise : prise Pékin le 7 Juillet. Les Japonais conquièrent de vastes territoires et massacre sans vergogne des milliers de Chinois.
Edouard VIII abdique en Angleterre afin de pouvoir se marier avec une américaine divorcée. Edouard devenu duc reste très lié au milieu des affaires et ses relations le mettent bientôt en contact avec un affairiste franco-américain : Charles Bedaux. Cet homme est lié depuis des années avec les autorités allemandes : celles du Kaiser, puis celles de l'ordre nouveau. En dehors de ses affaires il fait aussi de l'espionnage pour les services du Reich. En Europe un ordre nouveau est en marche. Edouard se laisse séduire par ce milieu, et toute la rancœur bouillonnante qui l'habite le fait déborder d'énergie pour retrouver sa place parmi l'élite mondiale. Lui, le dévoué, en avance moralement sur son temps va montrer à tous ces conservateurs coincés ce qu'est un homme éclairé du 20° siècle. C'est dans ce contexte que par ses relations Charles Bedaux fait rencontrer Edouard à Goering et Hitler. Berchtesgaden est un lieu de villégiature et de réflexion fort appréciable et l'hôte est tout à l'écoute de son royal invité. Le Duc joue dans la cour des grands pour refaire le monde et il s'y plait. Il a une place, un rang correspondant à sa stature, son ambition. Le Duc embrasse sans fêlures les idées politiques du Reich. Il va devenir un ardent disciple du führer et pour sa cause un espion. Hitler ne cache rien au duc de Windsor : l'Allemagne va faire la guerre à l'Europe et infliger une défaite aux forces du Commonwealth sans pour autant humilier le royaume uni. Cela entrainera la déposition du placide George et la restauration d'Edouard.
De son côté le Duc s'engage à tout faire diplomatiquement pour qu'une fois la défaite survenue pour les alliés, l'Angleterre amorce des négociations de paix. Ce "contrat politique" est connu sous le nom de : protocole de Windsor. Durant cette période les Scientifiques Allemands arrivent à “briser“ en deux un atome d’Uranium en le bombardant avec des neutrons. La conception d’une bombe atomique leurs parait envisageable. Hitler donne son accord pour le développement du “Projet Walhalla“. Les scientifiques Hahn et Heisenberg, Carl Friedrich Von Weizsäcker, Erich Bagge, Walther Gerlach, Max Von Laue et Carl Wirtz se mettent au travail pour créer une “bombe de désagrégation“ : la Bombe Atomique. En Angleterre plusieurs contacts sont noués entre l’ambassadeur du Reich et Joseph Kennedy ambassadeur des USA qui voit dans la réussite des dictatures Européennes un model pour sortir son pays de la crise économique. A cette époque l’aviateur Charles Lindbergh est en Angleterre pour échapper à l’effervescence aux USA qui entoure encore l’enlèvement et le meurtre de son enfant. Il noue des relations amicales avec Hermann Goring qui le décore de la médaille de l’aviation Allemande et lui distille tous les bienfondés du fascisme. En Juin 1938 ont lieu les accords de Munich. Hitler revendique le droit pour tous les Allemands à appartenir à une seule et même entité : le Reich. Déjà en février 1938, Hitler a imposé Arthur Seyss-Inquart comme ministre de l'Intérieur en Autriche. Le 11 mars, Seyss-Inquart prend la tête du gouvernement et fait immédiatement appel aux troupes allemandes pour le maintien de l’ordre, qui entrent en Autriche le lendemain. Le 10 avril suivant un référendum ratifie l'Anschluss à une majorité de plus de 99 % des voix. L'Autriche devient alors une province du Reich allemand. Ainsi les accords de Munich ratifient simplement l’Anschluss de l’Autriche et annexion des Sudètes. La France et L’Angleterre y voient la paix préservée en Europe. Pour le Führer c’est le début de la mise en place de ses armées afin d’en finir avec ennemis. Début septembre 1939, Les Allemands envahissent la Tchécoslovaquie et mettent en place un protectorat sur la Bohême-Moravie. L’arsenal Tchèque tombe entre les mains de la Wehrmacht. La Slovaquie devient indépendante et vassale du Reich. Hitler demande alors à la Pologne de lui céder le territoire baltique qui sépare l’Allemagne de la Prusse. Varsovie émet un refus catégorique. Pour le Führer c’est le prétexte pour en finir avec les Slaves.

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L’Allemagne est militairement prête pour en découdre avec tous ses ennemis. De son côté le général Espagnol Franco en finit avec les Marxistes et prend définitivement le pouvoir. Forte de son expérience de la guerre d’Espagne la Wehrmacht se prépare au combat. A l’autre bout de la planête le Japon adopte la loi de mobilisation nationale pour gonfler son armée et opte pour le financement illimité de l’armement. Déjà se dessine dans le gouvernement de Fumimaro Konoe l’ambition de créer une sphère de coprospérité Asiatique dirigée par le Japon. Pour les Nippon le seul obstacle à la réussite de leur entreprise se révèle être les USA qui depuis 1925 ne vient pas d’un bon œil l’implantation des Nippons dans le Pacifique. Ainsi, l’amirauté et les généraux établissent un plan d’action en cas de conflit ouvert avec les Etats-Unis.

Le 1° septembre 1939 commence l’invasion de la Pologne par les 3, 4, 8, 9 et 14 armées de la Heer : c’est le Plan Blanc et la mise en œuvre de la Blitzkrieg. Les Russes, selon les accords Molotov-Ribbentrop, envahissent la Pologne Orientale, la Bessarabie, les Pays Baltes et la Carélie Finlandaise. En moins d’un mois il ne reste rien des forces armées de Varsovie.Hitler entrevoit alors l’opportunité d’attaquer tout de suite les Puissances Occidentales qui lui déclarent la guerre, mais qui ne sont pas encore en état de mobilisation générale. Les généraux de la Wehrmacht s’affolent de cette situation. Pour eux il est trop tôt pour lancer une offensive à l’Ouest, et de plus un avion de reconnaissance allemand avec tous les plans d’invasion de la France a du se poser en Belgique. Ses occupants sont tombés entre les mains des gendarmes Belges. Pour le Führer c’est une raison de plus pour ne pas perdre de temps.
Les troupes de la Heer passent en moins de quinze jours de Chełm à la ligne Siegfried. Hitler veut porter la guerre en terre Française et y retrancher son armée pour attendre la contre-attaque des Alliés. Le 3 octobre 1939, Hitler ordonne l’invasion de la France et du Benelux par la Wehrmacht. Bien que le Plan d’invasion du général Von Manstein soit connu des alliés occidentaux, Hitler le maintient. Le Plan Orange porte en lui plus que les promesses escomptées : le 14 octobre lors de la bataille de Sedan les régiments de panzers percent la ligne de front et bouscule sans relâche les troupes Françaises. La bataille de Dunkerque du 28 octobre au 4 novembre voit l’encerclement total du gros des divisions Françaises et Anglaises. La Panzerwaffe, soutenue par l’aviation, selon le plan du général Von Manstein écrase toute résistance adverse. Hitler n’arrête pas l’offensive de la Heer dans le Pas-de-Calais : le BEF est annihilé sur les plages du Nord de la France. En moins de trois semaines le Benelux est conquis. Le 22 novembre 1939 la France vaincue signe l’armistice et le maréchal Pétain devient le chef de l’état. La France est coupée en deux, et occupée dans sa partie nord et sur son littoral atlantique. Le 29 novembre 1939 marque le début à proprement dit de la bataille aérienne d’Angleterre. La Luftwaffe concentre ses attaques sur les stations radars et les terrains d’aviation anglais. Les Britanniques bombardent la Ruhr en représailles et pour contrecarrer l’industrie Allemande. C’est une mauvaise tactique qui coûte la vie à des centaines d’aviateurs Anglais qui sont confrontés à la supériorité de la Luftwaffe. Celle-ci multiplie les sorties et par attrition prend l’accensant sur la Royal Air force. En Sibérie les Japonais décident depuis la Manchourie d’agrandir leur sphère économique continentale et attaquent les Soviétiques pour prendre le contrôle de la Mongolie et du port militaire de Vladivostok. Les Nippons sont dès les premiers combats repoussés sans ménagement par l’armée blindée du général Joukov. L’armée d’invasion Japonaise finit par se débander. Les diplomates de l’Empereur n’ont d’autre solution que de signer la paix avec les Russes. Le Japon quitte le pacte anti-Kominterm afin d’éviter un désastre si les Soviétiques avaient la mauvaise idée de poursuivre leur contre-attaque en Chine occupée. Les Militaires Japonais face à ce camouflet pensent déjà à conquérir le Pacifique afin de redorer leur blason. L’Amiral Yamamoto mobilise la Flotte Impériale. Le 9 avril 1940 commence les invasions de la Norvège, de l’archipel du Spitsberg et du Danemark. La Bataille d’Angleterre s’intensifie. La Luftwaffe surclasse la Royale Air Force et reste la maitresse des airs. Les bombardiers Allemands attaquent les ports de guerre anglais pour former un blocus économique de la Grande Bretagne. La Royale Navy prise à partie est obligée de s’éloigner de la Manche et se regroupe à Scapa Flow. De nombreux navires de guerre Britanniques sont coulés par la Lutffotte qui opère depuis Narvik. Le manque de réalisme des Anglais les amène à entreprendre des actes irraisonnés. La marine de guerre Anglaise attaque la flotte Française à Mer el Kébir : l’Amirauté Anglaise pense que la flotte Française stationnée en Méditerranée va tombée aux mains des Allemands et décide de la détruire. L’émotion dans l’hexagone est immense. L’acte est sans fondement et réveille le vieil antagonisme franco-anglais. Aux Etats-Unis Wendell Willkie est élu président. Avec le soutien de Charles Lindbergh il impose l’acte “d’América First“ et renforce celui de “Neutrality Acte“. Les frontières US sont bouclées par l’armée et l’isolationnisme à outrance devient le let motif qui doit protéger les Etats-Unis de toute implication dans le conflit opposant le Reich aux Alliés. Les services secrets du Reich établissent néanmoins plusieurs contacts avec les autorités Mexicaines pro Allemande du général Nicolas Rodriguez C. Celui-ci a pris le pouvoir en 1938 grâce au soutien logistique de l’Abwehr et avec des fonts privés d’entrepreneurs Américains qui voient dans le soutien qu’ils apporte aux régimes fascistes Sud Américain un bon moyen de faire du bisness. Le Mexique devient un partenaire privilégié du Reich. Déjà la majeure partie de l’économie du sous continent Latin est infiltré par des entreprises Allemandes. Le Mexique n’échappe pas à la règle en ce qui concerne le pétrole et son Président-Général est tout de miel avec le Reich qui paye le précieux fluide un prix d’or.
Les Italiens sont aussi fortement implantés au Mexique et bénéficient contre la fourniture de matériel militaire des matières premières du pays. L’Or Noir Mexicain est exporté vers l’Allemagne par cargos et comme à son habitude le Reich promet un soutien logistique et industriel à son partenaire contre son obédience. Plusieurs aérodromes secrets sont implantés dans la région de Monterey afin, le cas échéant, d’avoir un point d’appui militaire en cas de conflit ouvert avec les USA. Repliés sur eux-mêmes, mais non naïfs, les Américains renforcent les contrôles de personnes pour éviter les infiltrations d’espions sur leur territoire et le gouvernement fait bloquer les fonts des belligérants de l’Axe afin, selon ses dires, de les forcer à arrêter la guerre sans pour autant entrer ouvertement en conflits avec eux. Mais la vraie raison est que les capitalistes Américains sont financièrement en recul sur toute la planète, supplantés par l’Axe. Ils recherchent donc par des “prétextes humanitaires“ des mesures aptes à contrarier les intérêts Allemands, Italiens et surtout Japonais en gelant leur argent là où ils le peuvent. Hitler et Mussolini protestent de cet état de fait, mais rien n’y fait. Le Führer prend acte, et rumine déjà un plan pour isoler et affaiblir les Usa.
Néanmoins plusieurs industriels fascistes Américains soutiennent les actions du régime Allemand. Un type de régime autoritaire qu’ils voudraient voir appliquer chez eux.

Avec l’Angleterre sans couverture aérienne et sans armée Hitler décide de ne pas ménager les Britanniques et décide de tenter le tout pour le tout. En Mai 1940 se déroule l’Opération “Lion de Mer“ : invasion de l’Angleterre depuis Boulogne sur Mer avec la 16° armée du général Busch de 13 divisions d’infanterie et 2 blindées à destination de Brighton et Folkestone, la 9° armée du général Strauss de 8 divisions d’infanterie et de 2 blindées depuis Fécamp sur Portsmouth et Plymouth. L’attaque amphibie et le débarquement sur les plages du Sud de l’Angleterre est soutenue par la Luftwaffe omniprésente du Maréchal Goering et des canons longue portée qui tirent depuis la France. Les petits ports Anglais sont pris d’assaut par la 6° armée de réserve du général Reichenau. Incapables de soutenir les combats dans la lande les Tommies se replient sur Londres qui encerclée subit un siège abominable. Les Junkers 87 “Stuka“ mitraillent tels des oiseaux de proie les civils qui fuient les combats. L’artillerie du Reich pilonne sans cesse la capitale Anglaise. En quatre semaines l’Angleterre est à genoux. La Famille Royale et le Premier Ministre Chamberlain Fuient au Canada via le port de Bristol. Rudolf Hess, le dauphin du Führer, installe le siège de l’administration Allemande dans le palais de Birmingham et devient Reichskommissar d’Angleterre. Churchill, redevenu premier Lord de l’Amirauté, se réfugie aux Bahamas où il rejoint le Prince Edouard qui attend son heure. La Royal Navy mouille et trouve refuge dans les ports canadiens. Le colonel De Gaulle organise depuis New-York un mouvement de dicidence qui encourage les Français à entrer en résistance. Mais au-delà de l’Atlantique qui l’écoute. L’US Navy patrouille dans l’Atlantique pour interdire toute pénétration d’une flotte hostile dans les eaux américaines. L’amiral Adler engage la flotte du Reich dans un blocus de l’Atlantique Nord et de la Mer Arctique. L’amiral Donitz lance ses meutes d’U-boots contre tous les navires qui croisent dans les eaux européennes, et ses sous-marins poursuivent les navires de guerre Anglais jusque dans les ports Québécois. Des Commandos SS soutenus par des Brandebourgeois s’emparent du gouvernement de l’Islande et prennent le contrôle de l’île. Les Italiens entrent en Egypte pour en chasser les Britanniques et attaque l’Afrique Orientale Anglaise. La Finlande en guerre contre l’Urss pour le contrôle de la Carélie finit par être submergée par les Soviétique. Le général Mannerheim signe la paix avec les Soviets et leurs abandonne Vyborg, la Carélie et le Golf de Turku.

Au printemps 1940, les Japonais envahissent le Sud-est Asiatique et prennent pieds au Viêt-Nam, au Siam et au Cambodge. Face à l’expansionnisme Nippon les USA mettent en place un embargo sur les matières premières à destination du Japon.
En Août 1940 a lieu la reddition officielle de l’Angleterre. Sir Oswald Mosley pronazi convaincu devient Lord-Protecteur d’Angleterre. L’Irlande, contrainte, devient un satellite du Reich et récupère de droit la région de Belfast. L’Ecosse et le Pays de Galles sont administrativement séparées de l’Angleterre. Les Allemands espèrent ainsi favoriser un collaborationnisme « Celte ». En Septembre 1940, Opération Félix : prise de Gibraltar par une action combinée des Allemands et de la Marine Italienne, soutenue par l’aviation Française depuis le Maroc, en représailles à l’agression de Mer El Kébir. Hitler redonne ce bout de terre aux Espagnols tout en y maintenant une garnison allemande. Le 28 Octobre 1940 l’Italie envahit la Grèce qui lui refuse la mise à disposition de port de guerre. Le prétexte est tout trouvé pour le Duce qui veut mener une guerre parallèle à l’Allemagne et agrandir son territoire au détriment d’un voisin moins puissant. Le 2 Mars 1941, La Roumanie, la Bulgarie et la Hongrie deviennent par voie diplomatique des états satellites de l’Allemagne. Un coup d’état en Bolivie porte au pouvoir une junte militaire qui, secondée par la légation Allemande du docteur Ernst Wendler et le Major Elias Belmonte, apporte tout son soutien officieux au Reich comme base arrière en Amérique Latine pour faire tomber tout le continent dans le giron Allemand. La Paz devient un nid d’espions Allemands qui infiltrent tous les gouvernements Sud Américains ainsi que les entreprises Latines. Le 6 Avril 1941 l’Allemagne sans déclaration de guerre envahit la Yougoslavie qui lui a interdit le libre passage de ses armées pour aller aider les Italiens empêtrés dans le conflit qu’ils mènent face aux Grecs. Les généraux Serbes pro-Alliés ont déposés le régent Paul qui voulait faire allégeance au Reich. Bénéficiant de complicités au sein des populations Croates, Slovènes et Bosniaques les troupes Allemandes en terminent avec l’armée de Belgrade en 11 jours. Le 28 Avril 1941 prend fin à son tour la “Bataille de Grèce“ où les Allemands venus en aide aux Italiens, lors de “l’Opération Marita“, brisent la résistance des Hellènes soutenus par des éléments Britanniques. L’état-major Britanniques préfère garder ses troupes en Egypte pour faire face aux Italiens qui s’enfoncent dans le désert. Les Parachutistes du général Studen sautent ensuite sans problème sur Héraklion et la Canée pour prendre possession des ports de Crête qui servent d’entrée de jeu de bases à la flotte Italienne et aux sous-marins Allemands en opération dans la Méditerranées contre la Royale Navy de l’Amiral Somerville. L’opération des paras étant un plein succès elle conforte Hitler dans la mise en œuvre d’opérations aéroportées. Ainsi, le 20 Mai 1941, les parachutistes Allemands du général Studen réitèrent leur exploit et envahissent l’île de Chypre au cours de “l’Opération Poséidon“. Dans la foulée les Premiers éléments d’une division Allemande débarque en Syrie le 28 Mai avec l’accord du gouvernement de Vichy pour prendre à revers les divisions britanniques stationnées en Egypte. Cette opération détourne, par son activité, la mise en place de l’invasion de la Russie Soviétique relative au “Plan 21“. Bien qu’averti d’une attaque probable Staline refuse de croire qu’Hitler va lancer son armée contre lui. Il en est conforté dans le fait que le 04 Avril 1941, deux divisions blindées Allemandes commandées par le général Rommel débarquent à Tobrouk pour soutenir l’offensive Italienne du général Graziani contre les Anglais retranché en Egypte. Dans le même temps les Italiens prennent pieds sur l’île de Malte au cours de “l’Opération Hercules“, selon un plan Japonais étudié à Tokyo et gracieusement donné au Duce. Les Paras Italiens Sautent sur Lavalette et s’emparent du port militaire. Une base aérienne y est tout de suite implantée pour surveiller la Méditerrranée.31 Mai-16 Juin 1941, Opération Barbarossa : En ayant toujours recours à la Blitzkrieg Hitler engage sans déclaration de guerre la Wehrmacht contre l’Urss. Comme écrit dans Mein Kampf il veut en finir avec les Slaves et créer pour les Allemands un “Espace Vital“ économique. Par de larges mouvements tournant la Heer encercle des armées entières de soldats Soviétiques. La Panzerwaffe fonce à travers les plaines Russes et balaye les armées Russes. Les purges de 1937 ont laissé celles-ci aux mains d’officiers inexpérimentés et les commissaires politiques sont toujours prêts à faire fusiller tout contestataire.

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Des contre attaques hasardeuses sont lancées de façons décousues contre les Landser. La prise de Minsk n’est qu’une formalité. Le maréchal Timochenko rassemble 6 armées pour stopper la Wehrmacht devant Smolensk : elles sont bousculées sans ménagement par les Panzers. Le 22 Juin 1941 l’Asia Korps, enfin au complet, du général Kesselring attaque la Palestine. Le 26 juin 1941 la Finlande entre en guerre contre l’Urss aux côtés des Allemands pour reconquérir les terres perdues dans ce qu’ils appellent la guerre de continuité. Un Coup d’état Irakien pro-Allemand fait tomber dans le giron du Reich tout le Moyen-Orient. Les Allemands de l’Asia Korps foncent sur la Perse et le pétrole du Golfe. Le 30 juillet 1941, les forces du Reich envahissent la péninsule Arabique. Himmler rencontre le Grand Mufti de Jérusalem et lui assure que le Reich mettra tout en œuvre pour que les musulmans débarrassés des Occidentaux soient fédérés dans une entité dont il aura la souveraineté. Une “Légion Arabe“ est constituée et est engagée dans les batailles du désert contre les Britanniques. Les compagnies pétrolières Américaines se retrouvent spoliées de leurs “biens“ et en appelle au gouvernement de Washington. Le Président des Etats-Unis indique au Führer sa désapprobation quand à la conduite de la guerre et des répercutions économiques qu’il en coûte aux USA. La missive reste lettre morte. Hitler invite simplement Donitz à renforcer le blocus de l’Atlantique Nord au cas où la Navy tenterait un coup de force. Juillet 1941, l’Espagne devient un satellite actif du Reich et Franco envoie la Division Bleue combattre les Communistes en Russie. Entre le 4 et le 27 août 1941 ont lieu les prises de Kiev, Belgorod et de Koursk : toute l’Ukraine dont le général Boudienny avait la responsabilité est aux mains des Allemands. Ceux-ci capturent 885 chars et 3700 canons. En Biélorussie, comme dans les Pays Baltes les armées du Reich apparaissent comme des forces de libération. Les SS y mettent en place le dogme politique de l’épuration ethnique avec le concours de supplétifs locaux. Les Soviétiques contre-attaquent depuis Rostov sous les ordres du général Yérémenko, le seul général qui est la confiance de Staline. Malheureusement pour Moscou le général Soviétique se révèle incompétent et les assauts russes tournent au désastre. Les unités d’infanterie subissent 80% de pertes et les blindées 95%. En France les collaborationnistes obtiennent des autorités d’occupation le droit de former la “Légion des volontaires contre le Bolchevisme“. Cette formation militaire ira combattre le Communisme en Russie aux côtés de d’autres troupes européennes de pays occupés par l’Allemagne.

9-18 Septembre 1941, Opération Typhon : les généraux Guderian, Von Kleist, Hoth, Leeb, Bock, Stulpnagel et Von Rundstedt font converger leurs armées sur la capitale Soviétique. Les divisions blindées du Heergruppe Mit foncent dans la plaine Russe. Le général Vlassov et le 4° corps blindé soviétique sont défaits et capturés. Depuis Toula et Kimry Moscou est encerclée. Déjà les troupes du Reich atteignent les faubourgs de la ville et les combats de rues montent en intensité. Staline rejette sur ses généraux et agents du renseignement le désastre en cours. Plusieurs militaires de hauts rangs sont fusillés pour trahison dont Joukov. Forts de leur expérience lors du siège de Londres les Allemands annihilent consciencieusement toute résistance dans l’agglomération. La panique est générale dans la cité en état de siège. Les officiers de la Stavka se rendent compte que tout est perdu. Ils éliminent Staline afin de pouvoir négocier avec les Allemands. Les Français de la LVF sont les premiers à atteindre la Place Rouge par - 40°. Des attaques soviétiques pour dégager la ville se multiplient sans coordination stratégiques avec tout ce que la mobilisation parvient à rendre disponible. Elles sont vouées à l’échec. La prise de Moscou est définitive le 20 Septembre. Le général Koniev avec ses troupes Sibériennes prennent position dans l’Oural en vue d’une éventuelle nouvelle contre-offensive. Mais sans l’aide Américaine du Lend-Lease l’Armée Rouge se retrouve sans munition. 300 sites industriels de production militaire sont tombés entre les mains des Allemands avant d’avoir être pu délocalisées. De son côté le général Vlassov, capturé par le Reich, appelle à la collaboration avec les Allemands.
Avec les revers Soviétiques les stratèges Japonais établissent de nouveaux plans pour envahir et annexer la Sibérie Orientale. Entre les 12 et 20 Septembre 1941 les divisions de Von Manstein prennent le contrôle de Rostov sur le Don et s’élancent vers le Caucase. Le 2 novembre l’état major du Groupe d’Armées A entre dans Stravropol et la croix gammée flotte sur l’Elbrouz. La Campagne contre les Soviétiques a couté 550 000 morts aux Allemands. Entre le 23 Octobre et le 3 Novembre l’Africa Korps du général Rommel perce le front Britannique à El Alamein en Egypte. Au Caire la panique s’empare des autorités Britanniques : l’administration évacue vers l’Inde. Le 27 Octobre deux navires de guerre Américains sont délibérément torpillés par un U-boot Allemand alors qu’ils croisaient en eaux Européennes. L’amirauté Us a voulu tester le blocus Allemand. L’acte reste sans suite, l’opinion Américaine étant ouvertement contre l’entrée en guerre de leur pays.

En Afrique du Nord l’Armee Africa roule à tombereaux ouvert depuis la Cyrénaïque vers Alexandrie et le Caire, en bousculant les restes de la 8° armée Britannique. Le 6 Novembre aux confins de la Mer Baltique les troupes du général Hoepner entrent dans Leningrad encerclé avec l’aide des Finlandais.

7 décembre 1941, sans déclaration de guerre préalable les Japonais attaquent Pearl Harbour. La 6° flotte du vice-amiral Mitsumi Shimizu signale les mouvements de la Pacific Flotte basé à Hawaï. Trois attaques successives sous la conduite de l’Amiral Nagumo détruisent le port de guerre, les cuirassés, les destroyers ainsi que les porte-avions sortis en mer. Le 9 septembre 1941, le Canal de Panama est endommagé par un sous-marin de poche Japonais qui explose au milieu de l’une de ses écluses et en endommage les structures bloquant le passage des navires de guerre entre l’Est et l’Ouest. Le 11 décembre le Reich et l’Italie déclarent la guerre aux USA. Sans retenue les U-boots coulent plusieurs navires américains dans le golf du Mexique. Des sous-marins Japonais attaquent les ports militaires Américains de la Côte Ouest et endommagent les infrastructures militaires des chantiers aéronavals. Des Commandos Allemands s’emparent des postes de contrôle du canal de Panama. Ces Brandebourgeois sont partis de la Colombie où le gouvernement pro Allemand leur a apporté toutes les facilités pour mener à bien leur opération. Les Américains acculés sur tous les fronts mobilisent leurs troupes et envoient des régiments de Marines pour reprendre le Canal. Les combats laborieux se déroulent jungle soutenu par l’US Air Force. Les Allemands solidement implantés mais inférieurs en nombre se replient néanmoins sur Bogota. Des renforts Américains débarquent en Colombie et plonge le pays dans la guerre où ils se frottent à l’armée Latine encadrée par des cadres de la Wehrmacht. Entre Janvier et mai 1942 ont lieu les invasions Japonaises, conduites par les généraux Homma et Terauchi des Philippines, de la Birmanie, de la Malaisie, de l’Indonésie et de Ceylan pour la domination de l’Asie dans une sphère de coprospérité. Au mois de Mars 1942, plusieurs hydravions quadrimoteurs Kawanishi H8k1 bombardent Pearl Harbor afin de perturber les réparations des navires précédemment attaqués et causer de nouveaux dégâts au port militaire. La flotte Anglaise de l’Amiral Somerville passée dans l’Océan Indien pour échapper aux avions torpilleurs Italiens est coulée lors de la “Bataille du Golf du Bengale“ par la Flotte de l’amiral Yamashita. Le 27 Mai Reinhardt Heydrich, Reichskommissar de Bohême-Moravie, est assassiné à Prague. Cet attentat donne lieu à une répression sanglante par les SS à l’encontre de toute contestation en Europe : 2 millions de personnes sont déportées pour trouble de l’ordre public. Afin de palier au manque de main-d’œuvre dans le Reich, Berlin impose le STO à l’ensemble des pays qu’elle occupe. Certains jeunes décident de prendre le maquis pour ne pas partir, mais les réseaux de résistance sans soutien logistique n’offrent qu’un pis allé illusoire à toute forme de contestation. Plusieurs réseaux sont démantelés et leurs membres, Communistes ou Gaullistes, sont passés par les armes.
28 Avril-11 Mai 1942, Bataille de la Mer de Corail : Sans couverture aérienne, du au manque des porte-avions, la flotte américaine du Pacifique Sud est coulée au large de l’Australie. L’Amiral Yamamoto ne veut pas perdre de temps et veut porter la guerre au plus loin de l’Archipel du Soleil Levant. Il veut établir des bases de défenses sur tous les atolls existant. Du 3 au 7 juin se déroule la bataille de Midway où les nouvelles unités navales de la flotte américaine sont envoyées par le fond : aucun des Catalina Us ne détectent la Flotte Japonaise qui avec ses 4 principaux porte-avions surclasse l’Us Navy. L’atoll de Midway est occupé et dans le même temps les Japonais de l’amiral Kakura débarquent dans les Aléoutiennes à Attu et Kiska. Le 7 Août les troupes de la Marine Impériale sous la conduite de l’amiral Ozawa débarquent à Guadalcanal et rendent opérationnel le terrain d’aviation de l’île. Le 24 Août l’Amiral Kondo s’empare des îles Salomon et coule la Task Force de l’Amiral Fletcher. Le 12 Septembre le général Japonais Hyukatake lance une attaque nocturne amphibie sur la Nouvelle Calédonie et prend possession de Nouméa. Toute une série de combats navals autour de Guadalcanal finit d’envoyer par le fond les restes de l’US Navy ce qui permet aux Nippons de constituer une ligne de défense imperméable pour s’opposer à une quelconque attaque américaine. L’Australie jusque là épargnée subit des bombardements menés depuis l’Indonésie et la base aéronavale de Rabaul.

Les Allemands du général Von Kleist et les Roumains du général Constantinescu prennent Sébastopol le 3 Juillet 1942 après de terribles bombardements. Le 9 Août les champs pétrolifères de Maïkop sont atteints, et la 6° armée Allemande du général Von Paulus entre dans Stalingrad le 23 Août 1942. Le Maréchal Von Manstein lance le 23 Novembre l’opération “Tempête D’Automne“ pour s’emparer d’Astrakhan sur la Mer Caspienne. Entre Novembre et Décembre les Soviétiques du général Volkhov lancent plusieurs attaques sur le Fleuve Chir et le Don au cours de l’opération “Saturne“. Hitler s’appuie sur ses Alliés Hongrois, Roumains et Italiens pour repousser les attaques Soviétiques. Pour marquer leur contribution dans la lutte contre le Bolchevisme les Italiens du général Messe, avec leurs maigres moyens, lancent une offensive en profondeur contre la ville d’Ufa : 400 cavaliers Transalpins chargent les Sibériens du général Timochenko retranchés dans la cité, aux pieds des monts Hercyniens. Au prix de pertes raisonnées Messe vient à bout de la résistance Russe et poursuit son offensive sur la ville de Perm. En Octobre 1942, les Allemands qui ont envahi le Caucase et prennent pieds en Afghanistan où la “Sturmbrigade Wallonie“ entre dans Kaboul. Depuis Moscou la Luftwaffe lance plusieurs raids d’escadrilles de Junker 89 “Uralbomber“ sur les foyers de résistance Russe en Sibérie. Le 7 décembre 1942, les Italiens et les Allemands du général Rommel entrent dans le Caire. Pour l’occasion Mussolini monté sur un cheval blanc célèbre la conquête de l’Egypte. Les troupes Allemandes du général Von Armin et les Italiens de l’Armee Africa sous les ordres du général Badoglio s’engagent alors dans la conquête de l’Afrique Orientale Anglaise. En Allemagne Les SS débloquent d’importants crédits pour le “projet Walhalla“ et le développement d’une bombe atomique. Dans le même laps de temps Wernehr Von Braun et Hermann Oberth font voler le premier V2 susceptible de transporter une charge explosive. Le 1° Janvier 1943 la 6° armée du général Von Paulus atteint Omsk en Sibérie Centrale. Cette cité marque la fin de l’avance Allemande en Asie, selon les accords secrets concernant l’occupation du territoire Soviétique conclus entre Allemands et Japonais. Le 2 Janvier 1943 les troupes Japonaises de l’Amiral Kurita commencent l’invasion de l’archipel d’Hawaï avec les fusillés marins de la 3° force spéciale de débarquement. Le 6 Janvier la “Flotte Combinée“ de l’Amiral Nagano met à mal le ravitaillement Américain de l’Archipel par le détachement naval spécial de l’Amiral Théobald. L’Abwehr met à la disposition des Japonais tous les renseignements glanés par l’espion “Cicéron“ en poste aux Etats-Unis.

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Celui-ci véritable “Œil de Berlin“ a réussi à s’introduire dans l’administration Américaine et est au fait de tous les mouvements militaires des Alliés.

Le 8 Janvier ce qui reste des institutions Soviétiques se rendent au général Von Manstein lors de l’opération “Citadelle“. Le 10 Janvier coïncide avec la prise du port de Mourmansk par la 19° armée Allemande du général Falkenhorst et les troupes Finnoises de l’Arctique lors de l’opération “Koltso“. Le 13 Janvier les Nippons s’emparent de Pearl Harbour et d’Honolulu après un assaut amphibie à la poussée irrésistible. La plupart des militaires Américains sont fusillés sur place après leur capture. L’Afrique du Sud est sollicitée par les services secrets de la gestapo pour sortir de la Guerre : une place de choix sera réservée aux Afrikaners pour la domination du continent Africain. Le 2 Mars 1943 la Flotte Mobile de l’Amiral Yamashina met en place un blocus à l’encontre de la côte Ouest américaine : tous les navires marchands sont coulés. Des hydravions porteurs de bombes incendiaires procèdent à la mise à feu des forêts avoisinantes de Los Angeles et de Port Orford.

Le 7 avril les Japonais déclenche l’opération “I“ : une attaque simultanée de 180 avions contre San Francisco. Ce raid rend inutilisable le port de guerre américain et répand la terreur parmi la population. Le 13 avril Los Angeles subit la même attaque de la part de la flotte de l’Amiral Omori. Le 9 Février 1943 les troupes américaines évacuent l’archipel Hawaïen. Le 27 Octobre des éléments de Marines Japonais sous les ordres de l’Amiral Nagumo se joignent aux Allemands qui combattent dans l’Isthme de Panama. Les troupes débarquées de la Garde Impériale contrôlent rapidement toute la périphérie de La Palma après de multiples combats contre des forces Us mal coordonnées.

Le 6 Novembre 1943, un détachement de l’Asiakorps conduite depuis la Perse par le général Knobelsdorff atteint la frontière Indienne. Le Leader Indien Chandra Bose forme une “Armée de libération Indienne“ au Pakistan : Azad Hind, avec les prisonniers de guerre Indiens anciennement au service des Britanniques et capturés pendant la Campagne d’Egypte. Himmler présente à Hitler la “division Azad Hind“ comme une force d’appoint pour la Wehrmacht, mais pour le Führer les Indiens ne sont que des coulis juste aptes à servir comme porteurs dans l’armée du train, pas des combattants. Néanmoins le Reichführer SS qui veut contrebalancer la Wehrmacht en alignant des effectifs conséquents enrôle à tour de bras tout ce qui veut se battre pour l’Ordre Noir.

Pour l’Amiral Yamamoto il faut en finir avec les Américains et les forcer à arrêter la guerre. L’Empereur l’autorise à mener une attaque amphibie ciblée sur les USA afin d’inciter le gouvernement Us a reconnaitre la suprématie du Japon sur le Pacifique. Du 12 au 29 Mai 12 000 “Marines Japonais“ débarquent au Sud de San Diégo depuis Honolulu et se retranchent dans la ville après de durs combats contre les troupes du général Hodge. Du 21 Juin au 27 Août 1943 la “Flotte Combinée“ de l’amiral Yamamoto harcèle toutes les installations militaires Américaines de la côte Ouest américaine par des raids aériens. Le 22 Septembre des commandos Nippones établissent des aérodromes et des têtes de ponts sur l’île de Vancouver.

Aux USA la mobilisation armée devient générale pour repousser l’attaque ennemie. Les civils armés se regroupent en milices civiles pour faire face à l’invasion. Les Japonais déclenchent alors l’opération “Vent de Guerre“, où des milliers de ballons gonflés à l’hydrogène et porteurs d’une bombe individuelle de faible puissance sont largués dans le ciel afin de détruire au hasard l’ennemi où qu’il soit. Les résultats sont peux probants. Ces ballons porteurs de bombes, ou Fusen Bakudan, ne sont armés que d’une charge anti personnelle.
En Avril 1943, Le général Haushofer, un proche d’Hitler, organise l'expédition “Condor“ pour trouver au Tibet un passage vers un monde souterrain : une Terre Creuse où devraient vivre des hommes supérieurs à l'homo sapiens. Ces hommes supérieurs seraient partis, il y a des milliers d'années du désert de Gobie pour trouver refuge sous terre, dans la chaîne montagneuse de l’Himalaya, face à une terrible catastrophe : le déluge, une météorite géante ? Plusieurs expéditions officielles avaient déjà eu lieu au Tibet dans les années 1930 sous la direction d’Ernst Schäfer, un explorateur, directeur de l'institut « Sven Hedin », pour rassembler des données contenues dans des livres sur la population locale et ses pratiques culturelles. Cette expédition est régie par l'Ahnenerbe, une société sectaire et élitiste de recherche fondée sur l'héritage des ancêtres bien sûr chapeautée par Himmler : grand ordonnateur de toute la mystique du 3° Reich, qui veut rompre avec l'église chrétienne découlant du judaïsme. Pour Haushofer le monde est lui-même une terre creuse et nous vivons sur sa croute intérieure. Militairement la théorie de la “Terre Creuse“ se traduit par plusieurs applications : En 1942, le docteur Hans Fishar, avec un commandement SS, alla installer sur l'île de Rügen des radars dans le but de détecter les mouvements de la flotte anglaise ancrée au Canada : la réflexion des ondes radar sur la paroi rocheuse aurait ainsi localisé les navires Britanniques. L'expédition fut jumelée avec la recherche d'un passage souterrain en Islande. Plusieurs autres expéditions suivirent celle de Rügen pour trouver le passage dont parle Jules Verne dans son “Voyage au Centre de la Terre“. Haushofer n’obtient pas les résultats escomptés mais continue ses recherches dans l’Himalaya avec des fonts privés et les deniers SS d’Himmler.

Le 3 Mai 1943 le Colonel Juan Perón soutenu par l’armée et l’Abwehr prend le pouvoir en Argentine suite à un coup d’état et établi un gouvernement pro allemand. Le bras droit de Perón, le colonel Gonzales, passe plusieurs accords commerciaux avec le Reich : denrées alimentaires et matières premières Argentines contre fournitures militaires Allemandes.
L’amiral Donitz obtient la possibilité de faire mouiller ses U-boots dans les ports et les anses de Patagonie afin de surprendre les navires marchands Alliés qui croisent dans l’Atlantique Sud. “Inspirons nous d’Adolf Hitler dans la paix comme dans la guerre“ tel est l’adage de Perón. Von Ribbentrop, le ministre des affaires étrangères du Reich assure les colonels que l’Argentine aura une place de choix dans l’Amérique Latine d’après-guerre. Au Brésil le président Vargas reste rétif quand à un engagement de son pays aux côtés de l’Axe. Plusieurs accords diplomatiques sans conséquence sont passés avec l’Allemagne mais cela s’arrête là. Hitler voit pourtant dans le Brésil la “Nouvelle Allemagne Latine“ et demande à Himmler de préparer une prise de pouvoir dans ce pays par des sympathisants. Une importante minorité germanique vit au Brésil et le Führer y voit l’opportunité de s’appuyer sur elle pour fomenter un coup d’état. Les allemands ont besoin du sable des plages Brésiliennes qui contient du Thurium pour la création de leur “bombe à désagrégation“.

Le 18 Mai 1943 l’Armee Africa de Von Armin vainc les régiments britanniques du général Gort en Tanzanie. Le 24 Juin 1943, avec la capitulation de 150 000 soldats Africains et Britanniques du général Wavell et la prise de Nairobi en Mai, les Sud-Africains sortent de la guerre en Août et signent des accords avec les Reich. Un gouvernement Afrikaner pro-Allemand est mis en place à Pretoria. L’Afrique du Sud forme alors L’Union Sud Africaine avec Les Rhodésies du Nord et du Sud, la Zambie et la Namibie. L’Italie se taille un Empire Africain à la mesure de l’ambition du Duce : Libye, Egypte, Soudan, Uganda, Ruanda, Burundi, les Somalies, l’Abyssinie, l’Ethiopie et le Kenya. Le Tanganyika, l’île de Zanzibar, le Katanga, le Malawi et le Mozambique forment l’Afrique Orientale Allemande. L’Angola revient à l’Espagne au détriment du Portugal qui perd toutes ses colonies africaines et asiatiques. Les restes du Congo Belge sont rattachés au Congo Français.
En Juin 1943 la Reggia Aéronautica réussit un coup d’éclat lors de “l’Opération S“: le bombardier Piaggio P-23 R effectue un raid sur New-York depuis Vigo en Espagne en y larguant une bombe de 200 Kg. Le Duce exulte en prouvant à son superbe alliés l’efficacité des “vols spéciaux“ Italiens. La panique s’empare des civils Américains qui se croyaient jusque là à l’abri de la guerre. Le gouvernement Us organise la protection de son littoral en y déployant des “gardes côtes“ susceptibles de détecter les attaques aériennes ennemies. Le 22 Novembre 1943, à la conférence du Caire, Ribbentrop pour l’Allemagne, l’évêque Titus Pour la Slovénie, le Comte Ciano pour l’Italie, l’Amiral Horthy et Szalasi pour la Hongrie, Mussert pour la Flandre, Franco pour l’Espagne, Quisling pour la Norvège, Hans Franck Reichskommissar pour la Pologne et la Galicie, Degrelle pour la Wallonie, Antonescu pour la Roumanie, Staf De Clerq pour la Flandre, Sir Oswald Mosley pour l’Angleterre, Ante Pavelic pour la Croatie, Arthur-Seyss-Inquart Reichskommissar et Anton Mussert pour les Pays-Bas, Milan Nedic pour la Serbie, Erich Koch Reichskommissar pour l’Ukraine, l'amiral Argyropoulos pour la Grèce, le général Russe Vlassov pour la Russie, le premier ministre Scavénius pour le Danemark, le maréchal Mannerheim pour la Finlande, Konrad Henlein pour les Sudètes, Le général Von Hagen pour les Pays Baltes, Boris III pour la Bulgarie et Laval pour la France sous la Présidence de Mussolini signent des accords sur la partition de l’Europe, de l’Afrique et les différentes sphères d’influences Européennes dans le Monde. C’est l’occasion pour le Duce de parader et de fanfaronner à son aise. A la conférence de Téhéran le 28 Novembre 1943, Ribbentrop, le Comte Ciano et le général Tojo pour le Japon signent des accords concernant les nouvelles zones d’influences politiques et économiques mondiales pour les trois nations dominantes.

Les Nippons entendent former plusieurs sphères de coprospérité sous leur contrôle : une dans l’Océan Indien, une dans le Pacifique Nord, une dans le Pacifique Sud et une sur le continent Asiatique. Le 30 Novembre les Japonais effectuent un nouveau raid meurtrier sur San Francisco. Dans l’Océan Indien ils débarquent en Inde via l’île de Ceylan. Les troupes du Général Terauchi s’emparent de Calcutta : Gandhi proclame l’indépendance de l’Inde et appelle les Indiens à se soulever contre ce qu’il reste de l’autorité Anglaise. Etranglée économiquement par un blocus maritime et continental la Chine ne peut plus soutenir son effort de guerre. Kumming est prise par les Japonais le 03 Décembre 1943. Shang Kaï-Chek s’enfuit aux Etats-Unis via un Catalina.
A l’Est de l’Europe, 12 millions de « personnes indésirables » sont déportées et mises à mort : sur place par des régiments de réserve de la Heer et dans des “camps de la mort“ gérés par les SS sous la férule de Rudolph Hoss. Les camps de concentration rapportent 18 milliards de Reichsmarks à l’Ordre Noir. Une partie des fonts est investie dans le projet “Walhalla“. La Gestapo d’Heinrich Muller a des ramifications dans tous les pays d’Europe et ratisse tous les opposants au régime nazi. Reinhardt Hendricks quand à lui supervise tout le mécanisme de l’horreur nazi. En France la “division Brehmer“ traque les résistants de tous bords dans le Sud Ouest. Les différents régimes des pays alliés ou occupés par le Reich mettent au service des Allemands différentes formations para militaires afin de faire taire les revendications libertaires. En France le Secrétaire d’état Darnand met sur pieds la “Milice“.

Le général Staube engage plusieurs batailles dans l’Oural pour en finir avec les poches de résistance Communiste du général Sokolov. L’Amiral Donitz fait faire des raids à ses Sous-marins dans les Caraïbes et dans le Golf du Mexique où croise la marine marchande américaine. Les restes de la Flotte Anglaise sont envoyés par le fond lors de la “Bataille Navale des Bahamas“. Le sous-marin U-511, Prototype armé de râteliers lance-roquettes de type Nelwerfer effectue un raid sur Norfolk en bombardant la ville. Hitler en pleine euphorie décide alors détendre l’hégémonie Allemande sur le continent Américain.

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Le Reich en a les moyens matériels et le Führer ne veut surtout pas laisser les Japonais s’emparer du sous continent Latin. Plusieurs contacts sont pris avec des militaires d’Amérique Centrale dans l’éventualité d’un conflit ouvert avec les USA : des bases navales serviraient d’appui à l’Axe. De leur côté les Italiens en coordination avec la kriegmarine organisent un raid contre New-York : des sous-marins de poche, des hommes-grenouilles et des torpilles pilotées du Groupe Gamma font sauter 10 cargos dans la rade. Pour se démarquer des Allemands et leurs prouver la compétence de leur matériel et de leurs pilotes les transalpins mettent au point “l’opération S II“ : des hydravions Cant Z-511 traversent l’Atlantique et larguent dans la Baie d’Hudson des vedettes rapides lance-torpilles qui coulent 3 destroyers Us. Une fois la mission effectuée les vedettes sont abandonnées, les marins récupérés par les hydravions et ceux-ci reprennent leur vol vers l’Argentine. Les Allemands qui ne veulent pas en rester là organisent “l’Opération Pastorius“ où 8 saboteurs font sauter les centrales électriques et les réservoirs d’eau alimentant New-York. La psychose devient totale chez les civils Américains qui voient des espions partout et commencent à s’en prendre à la population immigrée Italienne de little Italia et Harlem Italia. Fin 1943, la Turquie isolée devient satellite du Reich par la force des choses. Les Turcs jouant quand même la corde sensible en rappelant aux Allemands qu’ils étaient leurs alliés pendant la Grande Guerre.

Le 2 Janvier 1944 plusieurs Commandos SS débarquent à Cuba et s’emparent de la base US de Guantanamo. Une prise de contact avec le dictateur Fulgencio Batista y Zaldívar permet de s’assurer son soutien dans l’éventualité d’une attaque sur les USA par l’Atlantic-Flotte. Le Port de la Havane servira d’attache aux navires allemands. Batista cherchant a jouer sur les deux tableaux l’Abwehr décide de lui forcer la main : le 5 Janvier Porto Rico tombe entre les mains de Brandebourgeois qui depuis Aguada lancent un appel à la révolte contre le colonialisme américain .Le 9 Janvier l’armée Kwantung qui opérait en Chine commence la conquête de la Sibérie et la prise de Vladivostok par les Japonais est effective le 30 Janvier. Le 20 janvier 1944 l’Atlantic-Flotte effectue un bombardement aéronaval des Bahamas depuis les porte-avions Elbe, York et Graff Zeppelin. Durant cette campagne navale des Caraïbes le cuirassé allemand Scharnhorst envoie par le fond plusieurs navires de guerres américains croisant au large de la Côte Est. Les avions à réaction embarqués Messerschmitt 263 “Komet“ et 262 “Schwalbe“ surclassent les avions Alliés venus à leur rencontre. Le 22 Janvier l’Amérika Korps de Rommel, nouvellement promu Maréchal, débarque à la Havane. Les autorités Cubaines prises en défaut ne peuvent s’opposer à l’arrivée des forces du Reich. Des missiles balistiques V2 et des aires de lancement pour les Ailes volantes V1 sont mises en place au Nord de l’île. Le général allemand Walter Dornberger commence des tirs de “rockets“ contre les états du Sud des USA dès le 27 Janvier depuis des sites établis à l’avance par des sympathisants locaux encadrés par des Brandebourgeois. Le 30 Janvier les Japonais, sur ordre de l’Amiral Yamamoto, lancent un assaut général contre la Californie. Les divisions de la Garde Impériale du général Hata lancent des pointes jusque sur Las Vegas et Phoenix. Mal organisées et sans l’expérience du combat les troupes US sont bousculées et débordées par les vétérans de la “Guerre Chinoise“. Depuis des sous-marins de type Sen-Toku I-400 des hydravions embarqués Aichi M6a1 attaquent les villes côtières. Une nouvelle opération de ballons-bombes, “Fugo“, est lancée contre les états de l’Ouest. L’unité 731 commandée par le général Masaji Kitano a mis au point des ballons FU porteurs des germes et virus de la peste, du typhus, du choléra sous forme liquide et de la peste bovine. 9 300 Fusen Bakudan sont ainsi lâchés dans le ciel depuis Honolulu pour contaminer l’Amérique. La population civile en est terrorisée. Du 1 au 4 Février 1944 l’armée Kwantung, indépendante de ses mouvements lors de l’invasion de la Sibérie Soviétique par les Japonais, atteint Pavlodar, limite de son avance en Asie occidentale selon les accords passés avec l’Allemagne.

Le 4 Février 1944, prise de Delhi par les Japonais qui en terminent avec les forces Britanniques présentes en Asie. Les prisonniers sont orientés vers les camps de concentration basés en Birmanie. Une scission a alors lieu entre musulmans et hindouistes : l’Inde devient pro Japonaise et le Pakistan pro Allemand. Entre le 4 et le 24 Février les Nippons s’engagent dans l’opération “Ha-Go“ : une attaque amphibie est lancée contre la ville de Vancouver et la Colombie Britannique. Du 16 au 19 Février sur ordre de Rommel, toujours prompte à l’initiative, 10 divisions Allemandes débarquent sur les plages de Miami depuis l’île de Cuba : préparée dans le plus grand secret l’audacieuse “Opération Colombus“ n’est cependant pas passée inaperçue à Washington. L’avance est paralysée par un raid réactif et massif de la VIII Air Force qui opère depuis Charleston et qui mitraille les plages du débarquement. Entre les 18 et 22 Février les forces Américaines conduites par les généraux Patton à l’Est et Mac Arthur à l’Ouest contre-attaquent sur toutes les têtes de pont de l’Axe. Mais Allemands comme Nippons ne s’en laissent pas compter par les bleus de l’US Army, et le 1 Mars les Japonais brisent la ligne de défense Américaine dans les Rocheuses et prennent Portland. Le 8 Mars les villes de Raleigh et de Columbia subissent un bombardement par des missiles de type V2 tirés depuis Nassau dans l’archipel des Bahamas. Le 15 Mars le Capitole de Washington est bombardé par une escadrille d’Arados 234B qui, plus rapides que les intercepteurs Alliés, ont une impunité de mission sans limite. Entre le 7 et le 8 Mars les Nippons débarquent au Pérou lors de l’opération “Hu-Go“ afin d’établir des bases d’appui en Amérique Latine où une Importante communauté Japonaise s’est établie et a noyauté l’économie locale. Le 18 Mars 1943, les troupes du Maréchal Rommel occupent la Floride où se déroulent des combats de guérilla dans la jungle et les marécages. Le 19 Mars une rencontre secrète à lieu à la Nouvelle Orléans entre des fonctionnaires de l‘administration Allemande, des membres du Ku Klux Klan et des indépendantistes Québécois : il y est clairement dit que l’avance des Asiatiques en terre Américaine est inéluctable. Les Allemands proposent aux partisans du “White Power“ de créer un rempart face à cette menace : pour le direct après-guerre le Reich s’engage à reformer la Confédération Sudiste qui sera libre d’action en partenariat avec l’Allemagne et de lui attribuer un protectorat sur le Golfe du Mexique pour faire barrage aux Asiatiques. Le Québec deviendra indépendant et les terres Acadiennes seront rendues aux Francophones. Les états Nord Américains de l’Est seront rattachés administrativement aux états Anglophones Canadiens sous la férule de Fritz Kuhn leader nazi américain qui rassemble 25 000 sympathisants. Le 24 Mars, mises au courant de cette entrevue, les autorités Mexicaines entrent en pourparler avec Von Ribbentrop afin de se mettre sous la protection du Reich face à la menace du Japon qui pèse sur le continent Américain. Les Mexicains ne veulent pas n’ont plus être écartés de tractations politiques pouvant les concernés et avantageant les “yankee“. 1 août-2 octobre 1944, durant la “Bataille navale des Antilles“ le président du Conseil Laval engage la flotte Française contre des flottilles côtières Alliées. Après accord du Reich a lieu un débarquement des forces du gouvernement de Vichy dans les petites Antilles qui sont annexées à l’Empire français. 15 septembre 1944, a lieu la prise de l’île de Saint Domingue par les Espagnols du général Franco qui inclut Haïti dans l’espace Hispanique. Le 3 septembre 1944 des forces combinées de l’Axe alliant Allemands, Italiens, SS Européens, Espagnols, et des éléments Français conduits par le sturmbannfuhrer Jacques Doriot, sous les ordres du général Blumentrit débarquent au Mexique depuis Cuba. L’Europa Korps fonce alors sur Houston au Texas via Monterey. En Octobre 1944 a lieu l’explosion de la première bombe atomique Allemande dans la périphérie du camp de Dachau : de faible puissance l’explosion tue 200 prisonniers de guerre Russes servant de cobayes. Octobre 1944-février 1945, Les diplomates Japonais proposent à l’Australie et à la Nouvelle-Zélande de sortir de la guerre et de s’inclure dans la sphère de coprospérité du Pacifique Sud. 17 janvier 1945, prise de Panama par l’armée Colombienne avec des éléments de l’Axe.
L’Isthme avait été détaché de la Colombie par les Américains qui exploitaient le canal d’où un sentiment de revanche de la part des Sud Américains qui ne font pas de quartier aux GIs. 04-11 février 1945, a lieu la conférence de Delhi sur le partage du monde entre Allemands et Japonais qui y décident d’un partage du Monde entre “Grandes Puissances“. Avec leurs incursions respectives en territoire Américain les Nippons comme les Allemands pensent déjà à définir leurs zones d’influence en Amérique. Cet état de fait n’inclut pas pour autant une quelconque coopération militaire entre les puissances fascistes. Allemands comme Japonais se méfient les uns des autres et un racisme mutuel entretenu par l’idée qu’ils sont respectivement les meilleurs empêche toute action militaire concertée. Déjà l’Abwehr infiltre des agents asiatiques anti japonais au sein de l’administration de l’Empire du Soleil Levant. En Mars 1945 a lieu la seconde explosion de la bombe atomique Allemande mise au point par le docteur Kurt Diebner. L’explosion a lieu non loin de la ville de Tchernobyl en Ukraine où 800 prisonniers de guerre Soviétiques servant de cobayes sont tués. De leur côté les Japonais s’essayent à la recherche atomique mais n’en sont qu’aux prémices. Les savants Sakae Shimizu et Yoshiari Uemura travaillent à Kyoto sur la séparation de l’atome. Ayant accumulés du retard par rapport aux Allemands les Nippons préfèrent privilégier et orienter leurs études sur les armes bactériologiques. L’Unité Spéciale d’expérimentation Médicale 731 basée en Manchourie utilise tous les prisonniers de guerre qu’elle se fait “livrer“ pour tester ses “produits“. Le médecin-général Shiro Ishiï met au point de nouveaux Fusen Bakulen porteurs du virus de la peste alliés à une bombe anti personnelle. Durant “l’Opération PX“ 3 000 ballons s’envolent. Plusieurs d’entre eux tombent le 10 Mars 1945 sur le site d’Hanford où est produit le plutonium destiné à la bombe atomique Américaine. Contaminé et en partie miné l’endroit devient pour un temps inexploitable : le “projet Manhattan“ se trouve bloqué.

Avril 1945, “Bataille Navale de l’Atlantique Sud“ : les Argentins débarquent aux Malouines, en Géorgie du Sud et s’emparent des archipels Anglais qui jouxtent l’Antarctique. Ils entrent ainsi activement dans la guerre aux côtés des Allemands. Plusieurs accords diplomatiques sont passés entre le Reich et d’obscures commandants militaires carriéristes des différents pays de l’Amérique du Sud. Simultanément dans tout le sous continent ont lieu des coups d’état orchestrés par l’Abwehr qui instaurent un nouvel ordre des choses : L’Argentine annexe le Paraguay, la Bolivie et l’Uruguay. Au Brésil, Beja Vargas, frère du président en place, prend le pouvoir et fait entré son pays dans la guerre aux côtés des Allemands. Le Chili cède le territoire d’Arica au nouvel état Argentin, et en contre partie annexe les terres Antarctiques Anglaises. La Colombie récupère le Panama et est fédérée avec le Venezuela et l’Equateur. Les états d’Amérique Centrale sont regroupés en une fédération contrôlée par le Reich. Des bases navales allemandes sont ainsi ouvertes sur le Pacifique depuis le Guatemala, le Salvador et le Costa Rica. Les Japonais y voient déjà une ingérence dans leur sphère d’influence. Pour les Allemands il est sur que ces ports militaires représentent des points d’appui et de pression pour le direct après-guerre. Le 12 avril 1945, un commando SS infiltré à la Maison Blanche abat le Président et plusieurs membres du gouvernement Américain en pleine session lors d’une réunion de crise à Washington. L’état Américain laissé sans directoire sombre dans un capharnaüm indescriptible entre ceux qui veulent arrêter la guerre et ceux qui veulent continuer le combat. Les généraux Clark et Bradley tentent de rétablir une substantielle stabilité en s’appuyant sur l’armée. Les militaires sous la conduite du général Eisenhower organisent des nids de résistance dans les massifs rocheux. Le 28 avril 1945 Mussolini déclare depuis Rome l’Empire Italien Universel qui inclut une grande partie de l’Afrique, une bonne partie des Balkans, l’Albanie, le Monténégro, la Grèce et l’autorité sur la Mer Méditerranée. Le 30 avril 1945, Hitler décide d’en finir avec les USA. La planification du “Plan Noir“ de longue date établie prend tout son essor. Hitler compte sur son “arme miraculeuse“ pour faire plier la junte militaire Américaine qui régit les USA et encourage la résistance armée.

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Le 7 mai 1945 Hitler ordonne le bombardement Atomique de New-York : un missile balistique de type V4 comportant une ogive atomique, le “Missile New-York“, est tiré depuis les Bermudes et va s’écraser au cœur de la cité faisant 2 000 morts. Von Ribbentrop proposent l’armistice aux Américains. Ceux-ci refusent. Le 8 mai 1945 un nouveau missile V4 tombe sur Hartford et fait 1500 victimes. Pour leur démonstration de force les Allemands ont choisit des cibles des états du Nord afin de ne pas se mettre à dos les diplomates Sudistes avec qui ils entament des pourparlers à Miami. Le Maréchal compte sur la collaboration de ses interlocuteurs pour favoriser son Opération de débarquement sur les arrières des troupes fédérales qui bloquent l’avancée de ses divisions en Floride. Plusieurs V2 sont tirés contre Washington depuis l’Atlantique à partir de conteneurs submersibles tractés par des U-boots de type XXI du programme “Prüfstand XII“. Entre les 17 juillet et 2 août 1945, Rommel planifie les débarquements Axis de la 19° armée du général Rasp et de la 1° armée du général Fortsh sur Jacksonville, de la 11° armée du général Hitzfed et la 12° armée du général Wenck sur Savannah, et de la 15° armée du général Zangen et la 7° armée du général Felber sur Charleston. L’aviation embarquée du Reich couvre les débarquements qui ne rencontrent qu’une résistance de circonstance en terre Confédérée.

Entre le 20 novembre et le 1 octobre 1945, les troupes fédérales Américaines de l’Est, prises entre deux fronts sont obligées de refluer vers les Appalaches. Les régiments Allemands engagés dans la “Bataille des Bayous“ sortent enfin de Floride. De son côté l’Europa korps atteint Dallas en étrillant les régiments de Texas Rangers. Des vedettes rapides Allemandes remontent le fleuve Saint-Laurent et coulent des navires Anglais à quai dans le port de Montréal. Le port d’Halifax en Nouvelle Ecosse est enlevé lors d’un d’assaut de nuit par des commandos SS qui le livrent à la Heer. Plusieurs divisions blindées sous les ordres des généraux Busch, Model, Schultz et Woehle prennent ainsi pieds au Canada. Les villes de Québec, Montréal et Ottawa sont conquises dans la foulée par une réédition de la Blitzkrieg. Himmler et ses SS s’empressent alors de lever des supplétifs parmi la population Francophone locale. Les Forces Canadiennes Loyalistes se regroupent à Sudbury. Rattrapées par la 6° armée SS du général Paul Hauser elles y succombent au cours de la “Bataille des Grands Lacs“. Des bases de V1, V2 et V3 sont aussitôt installées à Niagara Falls. Le 2 Février 1946 les Japonais conquièrent enfin Vancouver. La résistance Canadienne se solde par la mise en ruine de la cité. Entre le 6 Février et le 3 Mars 1946, la “Bataille des Appalaches“ voit les dernières troupes fédérales Américaines se rendre au Maréchal Rommel. Afin de faire fléchir la population Nord Américaine Himmler décrète le bombardement systématique des villes “Yankee“. Une débauche de lancement de missiles balistiques de type V2 est alors entreprise. Ce régime de terreur acharné et sans concession conduit les militaires Américains à cesser le combat. Des familles entières sont écrasées sous les bombes volantes à ogives nucléaires. Dans les états du Sud la population Afro-américaine est prise à parti par les SS qui suivent l’avancée des troupes de la Wehrmacht en terre Américaine. Les einsatzgruppen liquident systématiquement tous les “villages noirs“ qui se trouvent sur leur chemin. Les Allemands bénéficient de la complicité d’éléments locaux qui guident les Axis dans leur opérations de “purification ethnique“. Plus de 2 000 000 personnes disparaissent ainsi. Les Japonais instaurent à San Francisco une administration regroupant l’état de Washington, l’Oregon, la Californie et le Nevada. Est ainsi créer “l’Union des Etats du Pacifique“ où sont inclues la Colombie Britannique et l’Alaska. Dans le même temps l’Australie et la Nouvelle-Zélande livrées à elles-mêmes signent la paix avec le Japon. Elles acceptent de faire partie de la “Sphère de Coprospérité du Pacifique Sud“ dont fait déjà partie le Pérou. L’Australie devient le refuge des Anglais et autres Britanniques qui fuient de par le Monde la terreur imposée par les nazis aux “gauchistes“, juifs et intellectuels. Les autorités Nippones encouragent cet exode en promettant la sureté aux exilés.
Les Japonais récupèrent ainsi intelligemment un grand nombre de savants et d’ingénieurs industriels et militaires qu’ils invitent à travailler pour eux, et bien sur contre le Reich. Au Nord la Sibérie Orientale joue le même rôle de terre d’accueil pour tous ceux qui fuient les tueries et les exactions des SS et de la Wehrmacht. Récupérés dans les camps communistes sibériens où Staline les avait fait déportés les savants Glouchko et korolev se mettent au service des Japonais : ils ont dans leurs projets la mise au point d’une fusée stratosphérique capable d’emporter une charge explosive de grande importance. Si les camps de concentration et d’extermination font en Europe de l’Est plus de 12 millions de victimes à raison de 24 000 personnes par jour, les einsatzgruppen de la Heer tuent à elles seules 6 millions de personnes en les fusillant entre 1941 et 1946 : résistants, populations Slaves, intellectuels, handicapés, juifs, officiers ennemis, professeurs des écoles, membres de l’administration soviétique meurent sous les balles Allemandes. Tous finissent par être tués, dénoncés par les supplétifs locaux de la SS. Les rares groupes de personnes qui ont réussi à s’échapper devant l’avance des forces du Reich s’installent en Sibérie Orientale et finalement à Vladivostok. Cette ville connait un essor démographique et économique sans précédant. De leur Côté les Allemands commencent à transformer l’île de Madagascar en un gigantesque camp de concentration où seront déportés les juifs du Maghreb, du Moyen-Orient, les indésirables et tous les repris de justice du Reich et de ses pays Satellites. Ainsi, peu à peu les camps de concentration Européens sont ils démembrés et disparaissent effaçant les preuves de l’abominable tuerie orchestrée par les Allemands.

Juin 1946, lors de la “Conférence d’Atlanta“ les Allemands mettent en place une administration redécoupant le visage de l’Amérique. Est ainsi créée “l’Union des Etats Fédéraux“ regroupant les Etats Nord Américains et Canadiens Anglophones, en s’appuyant sur une forte population d’origine Germanique concentrée autour de Saint-Louis. “La Confédération des Etats du Sud“ est reformée. Aux treize états originaux s’ajoutent le Missouri, l’Oklahoma et l’archipel des Bahamas. Le Québec devient indépendant. Les Espagnols annexent l’île de Saint-Domingue. Les Antilles dans leur ensemble sont annexées à l’Empire Français auquel s’ajoutent le Suriname et la Guyana. Les Bermudes deviennent une base navale Allemande. La Jamaïque et Porto Rico sont rattachés à Cuba. Dans le même temps les Japonais redessinent l’Asie : Le Viêt-Nam, le Laos, le Cambodge, la Malaisie et l’île de Bornéo sont rattachés au Siam. L’Indonésie et les Philippines deviennent indépendantes, mais leurs gouvernements d’opérette sont à la solde des Japonais. L’île de la Nouvelle-Guinée-Papouasie est donnée en gestion Administrative à l’Australie. Ce geste pouvant s’emblé incongru n’en est pas moins diplomatique et sa portée politique dépasse de loin une quelconque clémence. Les Nippons s’assurent ainsi de l’alliance militaire et économique des Australiens et des Néo-Zélandais en leurs laissant les mains libres dans l’autogestion de leur espace vital au sein de la Sphère de Coprospérité. Port Moresby connait à son tour un essor économique en devenant la plaque tournante du commerce pour le Pacifique Sud. Le reste des archipels de l’Océan Pacifique est incorporé à l’Empire Du Soleil Levant où fleurissent des bases aéronavales. Les Français de Polynésie spoliés de leurs biens s’expatrient en Argentine et les comptoirs Européens d’Inde et de Chine sont restitués à leurs pays d’origine. Allemands et Japonais imposent alors au Monde leur autorité politique, raciste et répressive. S’instaure alors une “Guerre Froide“ entre Allemands et Japonais qui se concrétise par le fait qu’entre 1946 et 1975 l’Abwehr finance plusieurs révoltes Asiatiques en Chine et en Indochine où les populations locales aptes à la guérilla se retranchent dans des foyers de résistance inexpugnables dans la jungle ou les massifs montagneux. En réponse de 1948-1953 les Japonais orchestrent en Amérique Centrale, Costa Rica et Salvador, une sanglante guerre civile. Ces conflits localisés donnent aux deux Grandes Puissances l’occasion de tester leurs nouvelles armes et de garder en alerte leurs armées.
Ainsi les Allemands n’hésitent pas à organiser des opérations de chasse aux “maraudeurs“ en Sibérie où ce qu’il reste des populations Slaves et “Oural-mongoliennes“ sont prises à partie au cours de manœuvres militaires à balles réelles qui tendent à endurcir les troupes. 1947, selon la volonté du Führer les monarchies doivent disparaitre. Les monarques ne sont que des profiteurs qui par leur faiblesse empêchent le développement intellectuel et personnel de l’individu. Hitler a toujours en tête la défaite de 1918 du à l’incompétence du Kaiser. Ainsi donc en s’appuyant sur les SS Himmler fait tomber l’une après l’autre les têtes couronnées d’Europe. La création de la République Sociale de Bulgarie est la première de ses réalisations.

1948, création de la République Sociale de Roumanie où la Garde d’Airain prend le pouvoir. La Flandre obtient son indépendance en faisant valoir sa différence “Germanique“ avec la Wallonie. L’Afrique du Sud par sa vassalisation au Reich annexe la Namibie. Une base navale de sous-marins est installée au Cap qui rayonne dans l’Atlantique Sud et l’Océan Indien. L’île de Ceylan devient indépendante et les Japonais, en réponse à l’implantation de bases Occidentales sur la côte Est Africaine, y implantent une énorme base navale couvrant tout l’Océan Indien. Avec l’éclatement de la Belgique Léon Degrelle, “le fils chéri du Führer“ obtient d’Hitler qu’une union douanière soit mise en place entre la Wallonie et la France. Degrelle entend jouer un rôle dans l’Europe Nouvelle et vise une place dans la future entité francophone qui va se mettre en place. D’ailleurs le regroupement des Peuples aboutit à ce que la Suisse soit partagée entre le Reich, l’Italie et la France en fonction des langues qui y sont parlées. L’Italie annexe la Principauté de Monaco. Andore reste partagée entre la France et l’Espagne. Si les départements du Nord de la France sont restitués au gouvernement Français qui est autorisé à rejoindre Paris, l’Alsace et la Moselle restent administrativement gérées par le Reich sans pour autant être annexées.1949, Création de la République Sociale de Hongrie par les Croix Fléchées. Les autorités Allemandes organisent l’exploitation des ressources des Pays du “Grand Est“ : une voie de chemin de fer relie Berlin à Moscou, via Kiev, et les terres arables sont distribuées aux vétérans de la Wehrmacht qui prennent leur retraite, bien qu’étant toujours en état d’alerte. Ils doivent mettre en valeur les plaines Russes avec une main d’œuvre locale réduite en servage.

1950, chasse aux partisans pros japonais dans les états de l’Est Américain. Certains intellectuels mettent en valeur les préceptes du Ying et du Yang qui, selon eux, s’accordent pour faire tourner le Monde. Léon Degrelle obtient l’union de la Wallonie à la France. 1951, traité de San Francisco entre le Japon et les pays Asiatiques et de l’Océan Pacifique dans la sphère de Co prospérité Japonaise : traité d’union militaire et économique en vu d’un conflit ouvert avec le Reich. En France la Mort du Maréchal Pétain donne lieu à une cérémonie grandiose où sont exaltées les vertus moralistes et la gloire du passé. Face au déchirement des leaders de partis, les Allemands mettent en place un gouvernement de circonstance sous la présidence de Marcel Déat du RNP, secondé par Albert Beugras et Simon Sabiani du PPF. Jacques Doriot est mort en Amérique pendant la Bataille des Appalaches, mitraillé par un avion Tomahawk. Joseph Darnand devient ministre de la guerre. Léon Degrelle, en tant qu’Oberführer, devient le grand ordonnateur de la SS pour les pays de langue Française. La Franche Comté, ou Comté Franc de Bourgogne, devient une terre militairement et administrativement régit par l’Ordre Noir. Elle est le siège d’où partent toutes ses ramifications pour la France, la Belgique, la Suisse, l’Espagne et l’Italie. La Bourgogne, terre mystique selon Himmler, doit devenir un sanctuaire SS au même titre que le territoire de Marienburg en Prusse, ou que le château de Wewelsburg près de la forêt de Paderborn. 1952, les Nippons exploitent l’Asie et l’Océanie à grande échelle : pêche, pétrole, minerais et matières premières.

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Les Nippons Financent la révolte des Mau Mau au Kenya contre les Italiens. L’aviation royale gaze entièrement leur territoire et décime 90% des insurgés. 1954-1962 : Déplacement des populations juives d’Afrique du Nord, d’Egypte, d’Amérique et du Moyen-Orient vers l’île de Madagascar. Sous couvert de la mise en œuvre de l’exploitation de l’île 9 millions de personnes décèdent dans des camps de concentration où sévissent le typhus, la malaria et le choléra. Tous les indésirables y sont envoyés. Une filière se met en place pour évacuer de l’île les déportés qui trouvent pour la plupart refuge en Australie.

1953, mort d’Adolf Hitler à 64 ans. Devenu épileptique le Führer ne sortait plus de sa demeure Bavaroise. Sa disparition donne lieu à des scènes d’hystérie collective. Comme selon sa volonté c’est l’Amiral Karl Donitz qui succède au “Guide de la Révolution Sociale et Nationale“ Allemande. Donitz s’empresse de rétablir le pouvoir des Junkers, des industriels et de la grande bourgeoisie sur l’ensemble du Reich. L’Amiral, avec le général Keitel, était le seul à avoir la confiance absolu d’Hitler. L’appareil du parti parasité par une cour de profiteurs et la mystique fantaisiste des SS n’ont amusé et servi les desseins du Führer que dans la mesure où il s’est servi d’eux pour éliminer ses opposants en les impliquant dans la plus abominable tuerie de l’humanité. L’Amiral a lui toujours gardé la tête sur les épaules en montrant à Hitler qu’il en avait percé la pensée. De plus ses U-boots se sont suivant ses plans toujours acquittés des missions les plus périlleuses. Donitz s’entoure alors de généraux de la Wehrmacht qui forment son gouvernement et forme une junte militaire d’où sont exclus les SS. Sans la protection de son maître Himmler et ses subordonnés n’ont d’autre choix que d’abandonner leurs oripeaux et de rentrer dans le rang ou de rejoindre l’Islande qui devient leur bastion. Restant néanmoins toujours liés au Reich les SS mettent en place de nombreuses bases dans l’Arctique, au Kazakhstan, en Amérique Centrale et du Sud. Obnubilés par la mystique ils recherchent la “Cité de l’Or“ et des traces d’êtres supérieurs dans les Andes. Le Maréchal de l’Air Goring est congédié et mis en retraite. Il finira ses jours dans ses domaines de Prusse-Orientale où il décédera des suites d’une orgie.

S’ouvre alors une période d’apaisement diplomatique et politique. Les relations avec le Japon sont normalisées. L’administration de l’Alsace et de la Moselle sont rendues à la France : le gouvernement Allemand comprend que pour normaliser ses relations avec une France devenue agricole à 70% seule compte pour elle le symbolisme de ses frontières : la paix en Europe est à ce prix, ce que n’avaient ni compris Bismarck ou Hitler. La Bohême-Moravie et la Pologne du Gouvernement Général deviennent autonomes au sein du Reich. La famille Royale de Suède est confortée dans ses fonctions, et au royaume sont annexées la Norvège et la Finlande pour former une Scandinavie unie. Les Allemands évacuent les Etats-Fédéraux d’Amérique mais y gardent des bases navales.

1955, la France accorde l’autonomie interne à la Tunisie et au Maroc qui deviennent indépendants en 1962 au sein d’une “Union Française“ de circonstance. Les Italiens chassent la population Turque de l’île de Chypre et réclament le retour de Constantinople au sein de l’Empire Transalpin. Déjà les armées du Duce sont prêtes à fondre sur Ankara. De leur côté les Tyroliens du Sud demandent leur rattachement au Reich. Pour dénouer cette situation de crise l’Amiral Donitz convoque les parties prenantes : Le territoire de Constantinople est cédé à l’Italie contre le Kurdistan qui intègre la Turquie. Celle-ci contrainte et forcée ne peut s’opposée au traité mais exige que ses ressortissants ne soient pas chassés de chez eux. Les Villages tyroliens de langue Germaniques sont inclus dans le Reich contre le payement de 2 millions de Reichsmarks Or.

1973, le général Pinochet soutenu par le Reich prend le pouvoir au Chili.

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Et si les Allemands et les Japonais avaient décidé d’en finir les uns avec les autres pour la Domination du Monde ?

Dès la fin de la guerre contre les Alliés Allemands comme Japonais mettent la main sur les savants des pays vaincus. Ainsi de nombreux ingénieurs Russes passés en Sibérie Orientale aident ils les Nippons à mettre au point des chars plus performants que les tankettes et les chars moyens habituellement utilisées par les Asiatiques. Des avions à réaction de type Kikka et Oka sont mis en chantier. Les nazis passent des accords avec les ingénieurs Américains travaillant sur le “projet Manhattan“ afin de rendre plus performante leur bombe à “désagrégation“. Ils travaillent pour leur part sur un bombardier transocéanique à long rayon d’action pouvant atteindre l’Asie depuis l’Amérique, la Moscovie ou l’Afrique de l’Est. Les SS, force armée politique du régime nazi, recrutent à tour de bras des volontaires pour gonfler leurs rangs en vue du conflit qui se dessine. Ainsi sont mise sur pieds :

- la Liebstandarte Adolf Hitler SS Panzer-division, composée de l’élite de la SS. Division de prestige, de parade et d’assaut sert en Amérique du Nord.
- la Das Reich SS Panzer-division, composée d’Allemands et division d’assaut sert en Amérique du Nord.
- la Totenkoff SS Panzer-division, composée de gardiens de camps de concentrations désireux de participés aux combats. Division d’assaut qui est engagé en Amérique.
- la Polizei SS Panzergrenadier-division, composée de policiers Allemands voulant être engagés sur le Front de l’Asie.
- la Wiking SS Panzer-division, composée de ressortissants des Pays Baltes et de Finlandais. Division d’assaut engagée en Amérique du Nord.
- la Nord SS Gebirgs-division, composée de Norvégiens. Division de Montagne engagée dans l’Himalaya.
- La Prinz Eugen SS Gebirgs-division, composée de volontaires yougoslaves d’origine Allemande. Division de maintien de l’ordre dans les Balkans.
- La Florian Geyer SS Kavallerie-division, composée d’Allemands. Engagée sur les arrières des divisions d’assaut pour traquer les partisans en Asie.
- La Hohenstaufen SS Panzer-division, composée d’Allemands. Division d’assaut engagée en Amérique du Nord.
- La Frundsberg SS Panzer-division, composée d’allemands. Division d’assaut engagée en Amérique du Nord.
- La Nordland SS Panzergrenadier-division, composée de Norvégiens. Engagée dans la lutte anti-partisans sur les arrières des divisions d’assaut servant en Asie.
- La Hitlerjugen SS Panzer-division, composée de jeunes Allemands de 14 à 21 ans désireux de combattre pour le Reich avant d’être incorporés dans la Liebstandarte. Division d’assaut engagée en Amérique.
- La Handchar Gebirgs-division der SS, composée de Bosniaques. Division de lutte anti-partisans sur l’ensemble du bassin Méditerranéen.
- La Galizien Grenadier-division der SS, composée d’Ukrainiens de Galicie. Elle sert au maintien de l’ordre en Europe de l’Est.
- La Lettische Grenadier-division der SS, composée de Lettons. Division d’assaut engagée en Sibérie.
- La Reichfuhrer SS Panzer-division composée d’Allemands et de volksdeutchen. Division d’assaut qui sert au Pakistan.
- La Götz Von Berlichigen SS Panzergrenadier-division, composée d’Allemands. Division d’Assaut engagée en Amérique du Nord.
- La Hortz Wessel SS Panzergrenadier-division, composée de volontaires Hongrois d’origine Allemande. Elle sert à maintenir l’ordre en Europe Centrale.
- La Lativa Grenadier-division der SS, composée de Lettons. Division d’assaut engagée en Sibérie.
- La Estland,Grenadier-division der SS, composée d’estoniens. Division d’assaut engagée en Sibérie.
- La Skandeberg Gebirgs-division der SS, composée d’Albanais et de Kossovars. Elle sert au maintien de l’ordre sur l’ensemble du bassin Méditerranéen.
- La Maria-Theresa SS Kavallerie-division, composée de volontaires Hongrois d’origine Allemande. Division d’assaut elle sert en Sibérie.
- La Nederland SS Panzergrenadier-division, composée d’Hollandais. Division d’Assaut qui est engagée en Asie.
- La Karstjäger Gebirgs-division der SS, composée de Slovènes et d’Italiens. Elle sert au Maintien de l’ordre en Europe Centrale.
- La Hunyadi Grenadier-division der SS, composée d’Hongrois. Division d’assaut qui est engagée en Asie.
- La Gombös Grenadier-division der SS, composée d’Hongrois et de Roumains. Division d’assaut engagée en Asie.
- La Langemarck SS Grenadier, composée de Flamands. Division d’assaut qui sert en Amérique du Nord.
- La Wallonien SS Grenadier-division, composée de Wallons : composée de Germains de langue Française, ainsi que de Français et d’Espagnols. Division d’assaut engagée en Asie Centrale et dans l’Himalaya comme troupe de montagne.
- La Italische / Barbarossa Grenadier-division der SS, composée d’Italiens. Division d’assaut engagée en Asie.
- La Russische Grenadier-division der SS, composée de Russes. Division d’assaut qui sert en Sibérie.
- La Kama Grenadier-division der SS, composée de Croates. Elle sert au maintien de l’ordre en Europe Centrale.
- La 30 Januar SS Grenadier-division, composée d’élèves des centres d’instruction de la Waffen SS qui souhaitent acquérir l’expérience du feu avant d’être versés dans l’unité de leur choix.
- La Charlemagne Grenadier-division der SS, composée de Français. Division d’assaut engagée en Sibérie.
- La Landstorm Nederland SS Grenadier-division, composée d’Hollandais. Elle sert au maintien de l’ordre en Europe de l’Ouest.
- La Polizei II SS Grenadier-division, composée d’Allemands. Elle sert au maintien de l’ordre dans le Reich.
- La Dirlewanger Grenadier der SS, composée de repris de justice. Elle sert au maintien de l’ordre dans les territoires de l’Est.
- La Lützow SS Kavallerie-division, composée d’Allemands et de volontaires Hongrois d’origine Allemande. Division d’assaut engagée en Sibérie.
- La Nibelungen SS grenadier-division : composée d’Allemands. Elle sert au maintien de l’ordre dans le Reich.
- La Englische / Lionheart Panzer-division der SS : composée d’Anglais. Division d’assaut basée en Afrique Centrale.
- La Scotland Panzergrenadier-division der SS : composée d’Ecossais. Division d’assaut basée en Afrique Centrale.
- La Britanien Panzergrenadier-division der SS : composée de Britanniques. Division d’assaut basée dans le centre du Canada Anglophone.
- La Azad Hind Gebirgs-division der SS : composée de Pakistanais et d’Afghans. Division de montagne basée à la frontière de l’Inde.
- La Cadanien Panzergrenadier-division der SS : composée de Canadiens Francophones. Division d’assaut basée dans l’Arctique Canadien.
- La Amérika Panzergrenadier-division der SS : composée d’Américains. Division d’assaut basée à la frontière des états de l’Union Fédérale.
- La Sud Afrikaner SS Panzergrenadier-division : composée de Sud Africains. Division d’assaut basée en Afrique.
- La Weissruthenische Grenadier-division, composée de Ruthènes. Elle sert au maintien de l’ordre dans les pays de l’Est.
- La Hellevetika SS Gebirgs-division : composée de Suisses Germaniques. Division de montagne d’assaut sert dans le Caucase et l’Himalaya.
- La Wotan SS Gebirgs-division : composée de Suédois. Division de montagne qui sert en zone Arctique de la Sibérie.

A cela s’ajoute la Légion des Volontaires Français (LVF) ou régiment n° 638 de la Heer, la Phalange Africaine basé en Tunisie, la Brigade Nord Africaine basée en Algérie, les Bagadou Stourm et le Bezen Perrot composant l’Armée Bretonne et la X Mas Franco-italienne. L’Armée Nationale française composée de régiments “Sénégalais“ monte la garde dans les colonies, et des régiments de “Tabors“ sont engagés dans les Montagnes Asiatiques. La Flotte Française mouille dans la Mer Caraïbe. Les pilotes de chasse des différents pays appartenant à l’Axe sont invités à servir dans la Luftwaffe, la NSKK Motorgruppe Luftwaffe, la Kriegsmarinewerftpolizei et la Kriegsmarine. Ainsi énormément de soldats Français servent dans la 21° Panzer Division armée avec du matériel provenant de l’Hexagone. Il en va de même pour les Anglais qui servent dans la 90° Division Légère d’Afrique. Les Russes servent dans la Russkaïa Osvoboditelnaia Armiia Vlasov qui va combattre en Sibérie. Les Espagnols servent au sein de la Wehrmacht dans la “Division Bleue“. L’armée Italienne sert en Afrique et en Orient et s’engage dans l’Océan Indien. Les armées d’Europe Centrale sont engagées en Asie et Sibérie. L’armée d’Espagnole Nationale sert sur le continent Américain.

La V-Waffe est dirigée par le brigadeführer Hans Krammer. Administrateur et organisateur hors paire il a supervisé la construction de plusieurs camps de concentration. Ses réalisations lui ouvre les portes des directions des “Programmes V“, de la production des avions à réaction et de la recherche nucléaire. L’emploi des V1 et V2 est redéfini : Ces Bombes Volantes en explosant dispersent des matériaux radioactifs sur l’objectif visé et contaminent les êtres vivants par radiation directe. On les appelle alors Uraniumbomben ou Bombes Radiologiques. Le Canon V3 devant tirer une ogive nucléaire est stationné en Amérique du Nord. Les Fusées Stratosphériques V4 porteuses de charges nucléaires sont mises en œuvre dans toute la sphère du Reich. Dans le même temps est mis au point le Bombardier Orbital “Silbervogel“ Raketenbomber par le scientifique Eugen Sänger. Cet avion vole à 21 880 Km/h et lâche sa “Bombe Sysmique“à 124 Km d’altitude dans un rayon de 640 Km depuis sa cible. Celle-ci tombe à 22 400 Km/h. Elle s’enfonce dans le sol de 110 mètres ou de 10 Mètres dans le béton et son impact doublé d’un cratère produit une onde de choc dévastant toute construction dans un rayon de plusieurs Km. Krammer fait mettre au point la Fusée Intercontinentale“ A9/A10 qui suivant une orbite spatiale emporte une charge nucléaire pouvant raser une ville entière de 200 milles habitants. Pour l’aviation à réaction les SS misent sur des appareils comme le Messerschmitt P 1101 (Chasseur), le Me P1108 (Bombardier), le Me 262 1a “Schwalbe“ (Chasseur), le Me 262 A-2 “Sturmvogel“ (Chasseur-bombardier), Le Me 262 B-1a 5Chasseur de nuit), le Henkel “Salamander“, le Bachem 349 B1 “Natter“ : avion fusée tirant 24 roquettes “Föhn“ depuis son nez, l’Arado 234 “Blitz“ ( Bombardier), le Me 263 “Komet“, Le Me 328 pouvant décoller depuis des sous-marins, le Henchel 132 ( Bombardier en piqué munis d’une charge de 500 Kg), l’aile volante Horten Gotha 229 (Chasseur), l’aile volante Horten XVIII ( bombardier emportant une charge atomique) aussi appelé Amérikabomber. A cela la Luftwaffe ajoute le Bombardier quadrimoteur Me 264 B pouvant effectuer des attaques nocturnes pour éviter la chasse adverse, et l’hydravion Blohm et Voss 222 “Wiking“ pouvant être ravitaillé en mer pour effectuer des missions à longues distances. De leur côté les Italiens perfectionne le bombardier Piaggio P-23 R qui peut effectuer depuis l’Afrique un vol aller jusqu’à Tokyo.

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Les japonais mettent au point les bombardiers quadrimoteur supers-lourds à long rayon d’action G8N1 Renzan Nakajima, Ki-74-II tachikawa, le Fugaku G10N1 Nakajima armé de 400 mitrailleuses placées sous le fuselage et tirant 6 400 coups / seconde, le Nakajima HA-54, Le Nakajima H-505, et le Nakajima NK 11A. La Chasse Impériale se renforce avec le Mitsubishi J8M1 Shusui (Chasseur), le Kyushu J7W1 “Shiden“, la copie du Me 262 : le Nakajima “Kikka“ étant un bombardier à réaction emportant une bombe de 800 Kg et l’avion fusée Yokosuka MXY-7 Ohka “Baka“ pouvant effectuer une attaque suicide en étant largué depuis le bombardier-porteur G4M “Betty“ ou catapulté depuis un site aménagé. L’état-major Nippon envisage de longues missions aériennes débouchant sur des bombardements atomiques au cœur du Reich : c’est le “Plan Z“. Le professeur Yoshio Nishina a réussi à mettre au point une bombe atomique Japonaise. Les scientifiques de l’Unité 731 préconisent “l’Opération Cerisier Fleurissant La Nuit“ où des pilotes Kamikazes transportant des virus de la peste iraient s’écraser en territoire Allemand. Les Officiers de l’Empire du Soleil Levant organisent les armées de leurs alliés :

- Les Australiens et les Néo-Zélandais sont regroupés au sein de l’Anzac : un corps d’armée propre aux Britanniques désireux de combattre les Allemands en Amérique du Nord et dans le Pacifique.
- Les Péruviens sont enrégimentés en “Troupes Andines“ de montagne. Ils sont rejoints par tous les Latinos luttant contre le fascisme en Amérique du Sud.
- Les Indiens se servant du matériel Britannique et engagés en Orient.
- Les Philippins, les Malaisiens, les Indonésiens et les Thaïlandais armés pour lutter en Asie et dans le Pacifique.
- Des Africains renégats regroupés en divisions et prompts à débarqués en Afrique pour “libérer“ leurs frères et leur terre.
- Les Américains de l’Ouest, et tous les ressortissants des Nations meurtries par les Allemands sont enrégimentés dans des brigades d’assaut blindées. Les chars de combat sont de facture Us ou Russe : Sherman ou T-34. Ils leurs sont associés des Katiouchas “lance-roquettes“ montées sur camions.
- Les Amérindiens voulant combattre les “Blancs“ sont endivisionnés par peuple au sein de la Nation Indienne et sert comme éléments de cavalerie sur les arrières ennemis.

Qui ouvrent les hostilités ? Difficile à dire avec deux régimes martiaux aussi imbus que fanatiques. Toujours est-il que le monde s’embrase et sombre dans un “Hiver Nucléaire“ planétaire où l’Humanité va régresser jusqu’à avoir un niveau de développement égal à celui du 17° siècle.

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Bon et bien voilà j'en ai fini avec la Seconde Guerre Mondiale et de ce qu'autait pu être le monde, selon moi, si les pays de l'Axe ou l'Union Soviétique avaient été amenés à le dominer. Régit par des Nations aussi bien racistes, qu'antisémites, qu'anti parlementaires et répréssives toutes qu'elles qu'elles soient la planète serait devenu n'en doutons pas un enfer égal à la parodie qu'est le film : " Brazil ". En ce qui concerne les camps de concentration ils servaient aussi bien de lieu de tuerie pour les déportés que de garnison pour les troupes Allemandes avant de partir pour le front : SS, Wehrmacht ou Alliés du Reich. Donc quand certains vieux soldats ont eu l'impudence d'affirmer qu'ils ne savaient pas ce qui se tramait en ces lieux....J'ai pour moi cette anecdote familliale dont je vous fait part : une jeune Polonaise, juive, avait trouvé refuge en France avant la guerre. Bien sur elle fut dénoncée par un quidam vichyste de son état. Elle fut déportée à Dachau par les soins du service public Français. Ce qui l'a sauva ? Sa beauté. Un jeune lieutenant Italien de l'armée du général Messe en garnison de ce camp de la mort allait rentrer chez lui. Il lui fit la proposition suivante : Epouse moi et je te sauve. Par quel miracle les SS ont ils laissé se faire la chose ? En tout cas Anna en eut la vie sauve. Certains aiment à dire qu'il y a une différence entre les SS gardiens de camp et les Waffen SS, soldats politisés et combattants en tant que tels. Il n'y a aucune différence : les Waffen SS proviennent des camps de concentration où ils avaient été affectés. Tous ? Bien sur les jeunes classes ont été directement versées dans leurs divisions d'assaut, mais si elles ont tenu garnison dans des camps de concentration, elles s'y sont entrainées et y ont monté la garde. Alors.... Tout comme les troupes de la Heer, car il serait illusoire de croire que les simples soldats de la Wehrmacht sont exclus d'actes de massacres généralisés. Il n'y a pas que les médecins SS qui ont commi de sales besognes : Pour soigner des soldats sur le front de l'Est des médecins de la Wehrmacht ont pour les besoins de greffes de peau dépiotés 300 enfants Russes. La médecine mène à tout.
Je ne vous dirais pas tout le mal que je pense du communisme : " Liberté Radieuse" est là pour en témoigner. Et puis si vous en doutez j'ai encore quelques anecdotes familliales très personnelles pour vous satisfaire.
Quand aux Japonais de ce bon Empereur Hirohito je ne dirais qu'une chose : ils ont été le pendant Asiatique des Allemands. Avec le cortège d'horreurs conjugué aux des camp de concentration où la vivisection humaine était monaie courante, où la vie des civils n'avait aucune valeur aux yeux des militaires, où la vie de ses propres soldats n'était que superflu le Japon de Tojo n'a rien eu à envier au Reich.
Les Italiens ? Ils ont été de biens meilleurs combattants que les Allemands ou la propagande Anglo-Saxonne n'ont voulu le dire. Il est toujours facile de rejeter sur les autres ses propres fautes ou de rabaisser un peuple en le traitant de lâche. Pour en avoir parler avec un ancien de l'Armée d'Afrique et un Français Libre de Leclerc les Campagnes de Lybie et de Tunisie n'ont pas été des parties de plaisir. N'oublions pas que l'Armee Africa était à 90% composée d'Italiens et ce n'est pas les 3 chars de l'Africa Korps qui ont tenu à distance la VIII° armée de Monty

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Pour ceux qui sont sur la région parisienne ce week-end :

Samedi 20 et dimanche 21 septembre : Journées du patrimoine
Au programme de ces Journées du Patrimoine, organisées par la ville de Bailly-Romainvilliers en collaboration avec l'Institut National de Recherches Archéologiqus Préventives :

Samedi 20 septembre, au Centre Culturel de la Ferme Corsange :
- 17 h : vernissage des expositions "Les fermes et maisons-fortes du territoire" et "Les fouilles archéologiques sur le secteur de Bailly."
- 18 h : conférence - débat "Les fouilles archéologiques, c'est notre histoire," animée par Erwan Bergot et Eddy Sethian.
- 19h30 : projection du film : "La ferme du donjon à travers l'histoire."

Dimanche 21 septembre : "Un dimanche sur le thème médiéval" au hameau de Bailly
- 11h30 : accueil
- 12h30 : repas médiéval
- de 14h à 17h : visite du hameau et de l'église, vols de rapaces, jeux de rôles, joutes d'escrime médiévale, musique médiévale, ateliers et animations costumées, cracheurs de feu et jongleurs

descriptionCulture Historique - Page 3 EmptyFête Médiévale

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Notre petite fête à thème médiévale fut réellement une réussite avec tous ce qui va avec : les rapaces, les escrimeurs-médiévaux, les musiciens, le repas, les jongleurs, etc.... cela a dépassé nos espérances, les badauds étaient enjoués et les enfants conquis. L'année prochaine ? Nous accueillerons des exposants, et j'envisage comme j'en ais déjà fait mention d'organiser une joute amicale sous la forme d'un tournoi où les participants nantis d'armes en latex-mousse-armes de GN s'affronteront pour le titre de "Champion". Cela pourra allier technique et, ou force (dans le respect de l'adversaire bien sur), sous le regard d'arbitres qui feront un décompte de points, en fonction des parties du corps qui seront touchées. Cela peut s'avérer être très sympa si le tout est régit et réunit des gens sérieux. si certain(e)s sont interessés....

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